O mon Amour semblable à nul autre
O ma passion à nulle autre dévote
A présent que j’ai mon homme,
Célibat, je ne suis plus des vôtres !
Finis les temps de disette pour mon cœur
La pénurie à la superette au rayon du bonheur
Finies les soirées à se mortifier
En tenant la chandelle
Et les plats réchauffés en portions individuelles
A présent, mon Amour présent,
Nous multiplierons les marques de tendresse
Sur les bancs publics
Nous serons ces inséparables, en promotion perpétuelle
Des bonheurs du couple
Au nez et à la barbe de ceux qui nous jugeaient hier Indignes d’être aimés.