Rêver à cette paix
Ma colère a déchiré le temps
Pestant contre le mauvais de la guerre
Incrédule de la vie comme naguère
Je voudrai couper l’avenir du dément
Les démons de la tristesse
Se sont emparés sans rémission
Du fléau de l’immensité des aversions
Celui de mon esprit dépourvu de délicatesse
Il frappait contre le roc de ma pensée
Pourquoi! Cherchait-il l’ouverture
Lui permettant de comprendre les blessures
De tous ces enfants morts par fatuité
Faut-il survivre hors la conformité de la liberté
A tous ces outrages que le temps ne peut
Ne veut éteindre dans l’habilité d’un couvre feu
Lâche, il se va, d’indifférence pour ces maltraités
Comment l’arrêter pour geler les instincts
De ceux qui prône la mort au nom de quoi
Au nom de qui, pour qui ; gens trop sournois
Ils vous offrent l’enfer comme merveille d’un destin
Mon sang extirpe de sa lave, bouillon de rudesse
Un petit reste de lucidité s’agrippant à la solidarité
Pour rêver, oui pouvoir rêver avec autorité
A cette paix qui à nos pieds vit dans sa paresse
O gens d’affabilité donnez lui ce pouvoir
Pour prendre le temps de recouvrir
Notre monde des innocents et les faire sourire
A cette vie d’éternité comme assurance du devoir
©ƒC