Le Malin ne rit plus quand je montre mes armes, Mon visage blafard, mon frère sur la croix. Le Pater veut crier sa détresse sans larmes En regrettant déjà de m'avoir promu roi.
Je suis leur gamin sale aux paroles sans charmes, Un chasseur compulsif affamé de corps froids. Ils craignent mon courroux, mes soldats et gendarmes Venus les dégager de leur chemin étroit.
Les vitraux vont saigner d'une pisse toxique, Les pentacles briller dans la nuit magnifique D'un sursaut de la Terre aux couleurs rouge sang.
Dansons tous dans le feu quand notre maison craque Sous les cris et les pleurs de cette fête braque. Je ne suis plus enfant, juste mort et puissant.
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