Désordre mondial.
Mes hommages à Paname ou ailleurs, on est tous en cage comme des rats mages dans cette histoire de peurs. Pas très beau à voir tout çà, on est encore là faut garder espoir quand même, et qu'on nous prenne pour des poires est l'autre problème à voir : on nous laisse un peu de bouffe on nous esbrouffre, nous les hommes et les femmes à ne plus pouvoir se serrer la main, si on peut encore dire je t'aime et la tendre à son voisin sans la toucher, biensûr gantée sans attendre dans le ciel à scruter les étoiles, après le scrutin, on peut sortir le chien pour pas le laisser maculer la salle à manger, c'est déjà la merde et toujours les mêmes au change qui y perdent. Car on a changé de vie mais j'ai pas le même avis que toute la clique qui mérite des claques que j'invite à prendre ses clics et ses clacs en un clic. On passe son temps sur la toile à chercher les infos qu'on dévoile sur ce virus qui est dans le bus et dans l'air, plein de mystères sur la plage arrière de l'île du ministère. Moi çà me chauffe le derrière, il n'a pas de frontière, on a mis les barrières et les gestes avec, et les masques aux becs, Je tourne à sec. Qu'ils arrêtent de nous prendre la tête qu'on peut sortir juste à la fenêtre. Faut se oindre de gel qu'à force on va leur mettre où ? Est-ce qu'on est dans un rêve ou, c'est quand que je me lève ? Le cauchemar j'en ai marre, il est déjà tard. Dans ma gueule c'est leur lave que je bave et tous les quart d'heure je me lave, je suis fou, je veux sortir de mon trou je suis à bout. Entendre tous ces marabous. Je vous en prie et je prie, laisse-moi vivre il me reste encore des vivres, j'ai des pates plein les pattes, du P.Q. plein le cul, j'en ai plein les mains ouh, j'ai raté le saupalin faut se faire du bien dans ce monde immonde où, on nous inonde jusqu'à nous noyer et toucher couler à la télé guidés, la crise a bon dos et la pandémie dans les hôpitaux sâturés de maux comprenez des mots ce que vous voulez. Hors de moi.
Des ordres mondiaux.