Texte pouvant être fredonner sur l'air''Les passantes'' de G Brassens
Je voudrais dédier ce poème, A tous ceux et celles qu’on aime, Sans jamais le dire, ou l’avouer; A tous ceux, lorsque vient la peine, Qui vous fracasse et vous entraine, Vous aident à pouvoir continuer.
Pour nos proches et amis sincères, N’attendons pas le cimetière, Que la camarde donne le la, Pour s’aviser, que c’était hier, Qu’on devait, pour les êtres chers, Verser des larmes, … mais de joie…
Puisse cette infection qui sème, Tant de misère et trop de peine, Poser cette interrogation: Le temps qui passe et nous entraine En maitrisons nous bien l’aubaine En faisons-nous !'usage, bon???
Et sommes-nous trop égoïste, Pour ne pas comprendre le risque, Si l’avant, doit dicter l’après, Que vivre demain comme hier, Fera un monde de misère, Pour nos enfants qu’on dit aimer…
Puissions-nous, un jour, reconnaitre, Quand la terre nous a vu naitre, Offrant des rêves infinis, Comme était belle la planète, Avant que bientôt elle pète Montrant que les hommes ont failli !!!
Pensant, crédules que nous sommes, Que Dieu ou le diable en personne, Allaient accepter sans mot dire, Les errements des enfants d’Eve, Qui ont détruit les plus rêves Par gout, vers son prochain, de nuire.
Bientôt la nuit laissera place, A un horizon, sans menace, A un avenir plus serein, Quand les enfants feront la ronde, Autour d’une terre féconde, En ayant la main dans la main
Alors il faudra du courage, Pour qu’on puisse tourner la page, D’un hier qu’on avait prédit, Car faute de ce repentir, On bâtira un avenir, Semblable au passé…. d’aujourdhui…
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