Faut croire qu’il ne suffisait pas Que sévissent le corona, Semant la mort sur la planète, Comme jadis le fit la peste, Il a fallu que les radios, La télé, les réseaux sociaux, Nous abreuvent de leurs lumières Fourbes, inexactes ou mensongères.
Dès lors on vit des spécialistes Bardés de diplômes authentiques Nous expliquer leurs ressentis Sur la maudite pandémie Et des docteurs de pacotille Venus là pour quelques lentilles Et conseiller la profession Par des:’’ y a qu’a’’, où des ‘’faut qu’on’,
Dénonçant les invraisemblances Etablies, de la gouvernance, Qui a négligé l’infection, Par beaucoup trop de prétention. Et comme il leur faut exister, De trouver les têtes à couper !!!, Alors que la priorité C’est cette guerre à remporter
Et pendant que des gens s’échinent Après ce virus, né en Chine, Sur les ondes il y a des farauds, Venus briller, faire les beaux ; Mais à vouloir péter plus haut, Que ne leur permet leur cerveau, Leurs neurones vont trouver tanière, Dans le méat de leur derrière…
Sachant qu’il sera toujours temps Après, de faire le bilan, De dénoncer le manquement Reconnu du gouvernement. Car loin de ces allégories, Les soignants au prix de leur vie, Sauvent des gens, c’est plus utile, Que ces jacasseries futiles !!!
Le poète avance l’idée, Que beaux seront les jours d’après, Que le soleil plus généreux, Réchauffera les malheureux…. Mais l’homme est bien trop exclusif Pour un demain, pour tous, festif. Adam avait croqué la pomme, Seule leçon reçue par l’homme….
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