Une barrière d’amour
Cloîtrée solitaire entre ses quatre murs Une pure main posée sur son cœur Qui de ses tendres caresses cache la blessure Pour princière effacer la vile, Ö vive douleur
Un passionné vague à l’âme divague Sur le long chemin du bel amour vague Couvrant de pleurs son corps qui se rague Au destin calamiteux que la passion ne drague
Elle se va d’une prière à la lune Que soit le nouveau printemps venu Entonnant mille couleurs nouvelles Pour coucher radieux un cœur sur son ciel
Que le bel oracle me dépose loin des ici Là bas où se renaissent l’amour des belles vies Quand au jardin du bonheur fleurit son paradis Protégé par une barrière d’amour, soucis à l’abri ©ƒC
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