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Accueil >> xnews >> T'oublier - Poèmes - Textes
Poèmes : T'oublier
Publié par Axelle le 12-06-2019 20:16:18 ( 567 lectures ) Articles du même auteur



Ressentir cette chance
J'en rêve encore
Me soulager de ta présence
De tes baisers et de ton corps
Je survis par la force de ton souvenir
Je souris quand je me rappelle
De ta bouche sur la mienne, languir
Que demain jamais ne nous appelle

Rassurée par ta peau qui m'apaise
Apaisée de tes mots qui me bercent
L'espoir que jamais tu ne me blesse
L'envie et la peur qu'à jour tu me perce
Aveuglée, je ne t'ai pas vu
Prendre la fuite la où je ne sais pas
Là où je ne pourrai plus
Te prendre dans mes bras

Naïve, jamais je n'ai douté de ta sincérité
Illusion des premiers instants
J'oubliais l'humain et sa cruauté
J'oubliais qu'aimer n'est plus suffisant
Crédule, ma vue brouillée par mon cœur
Mon cœur trompé par ton regard
Je croyais aux mots du beau parleur
Les preuves s'accumulaient, accrochée a mon désespoir

Anéantie, je me rappelle ce que j'ai appris
Aveuglement je t'ai cru
Sans scrupule tu es parti
Dans la tourmente je me suis perdue
Le manque de toi m'a brisée
Le temps m'a assuré
Qu'oublier est a ma portée
Ce vide n'est pas une fatalité.









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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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