Bien loin dans mon destin ! J'ai nagé dans le déluge un certain matin. Emporté dans son tourbillon violent J'ai valsé sur les vagues au gré du vent. J'ai vécu aussi l'enfer et sa haine. La dérision dans sa géhenne
Au seuil de l'au-delà Lorsque déchaîner, la terre parla. Le sol, a fui mes pas. Alors j'ai dansé sur la terre. À la cadence de ses grondements Dans son terrible tremblement
En colère, la terre trembla. Épouvantée, la peur parla. Faisant taire les langues de vipère Les arrogants et leurs misères Laissant place aux commentaires Ces,, comment - taire cette terre ?
Et dans cette immense clameur Autour de moi, la foule est en pleure. Terrifiée, dans mes bras, ma fille pleura. Contre moi, ma mère pria. Implorant le Seigneur dans ses prières Le silence de notre mère la terre.
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