Ainsi, il a fallu que les flammes déciment L’ancestrale forêt toisant ma cathédrale Pour que ces vils ‘’défieurs’’, daignent aligner les rimes Et reprendre la plume en entendant mon râle.
Isté le Bourguignon, par ce geste, espérant Être absous par les Dieux de ses péchés véniels. Qu’il en soit remercié, moi Quasi l’effrayant Je plaiderai, plus tard….., sa cause à l’éternel.
Car, il a du boulot le maitre de l’Eden, Sa croix n’a pas suffi à taire la sottise Des hommes plus enclins à promouvoir la haine, Que l’amour du prochain, prôné par son église.
Il suffit ‘’d’apprécier’’ les premiers commentaires De certains, avançant pour d’ambigües raisons, Que ce sinistre feu qui venait de l’enfer Était l’acte venant d’une autre religion…
Pourtant moi le bossu, aujourd'hui sans refuge, A celui-là jamais ne jetterai la pierre Nul ne peut ici-bas, se comporter en juge, Ou semer le mensonge et générer la guerre…
Car il est revenu le temps des cathédrales, Le monde doit entrer dans une nouvelle ère, Et tenter de sauver cette œuvre magistrale Créée par vos aïeux: Notre Dame la fière.
Il vous faut rebâtir, croyants, païens, athées, La preuve que ce monde, ce jour en déshérence, Peut faire naitre l’espoir de demains enchantés Et tarir à jamais l’ haïssable souffrance.
Moi Quasi, dans l’espoir d’une charpente neuve, Il me faut retrouver un nouvel habitat, Comme il s’agit pour moi d’une inédite épreuve, Je vais me retourner vers Stéphane Plaza ,
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