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Accueil >> xnews >> Une pensée pour Couscous................. - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : Une pensée pour Couscous.................
Publié par Titi le 16-03-2019 12:00:30 ( 831 lectures ) Articles du même auteur



Visite à Bruxelles…..

…et chacun de moquer son petit appendice,
Tout en citant son nom ratifié: Manneken-Pis,
Alors que nul vraiment, ne connait son histoire,
Que je vais vous conter, préparer vos mouchoirs !!!

Tout d’abord permettez qu’en l’instant je m’emporte
Sur cette idée reçue, que les femmes colportent……
Qui voudrait que les hommes ne fassent réflexion
Qu’avec ce pédoncule sis dans leur caleçon !!!!

Après cet aparté, revenons à Bruxelles
Ou ‘’ le petit Julien’’ expose sa vaisselle, *
Ses bijoux de famille aurait dit l’incongru.
Mais dans un tel endroit, ces mots grivois sont tus !!!

Car nous sommes en ce lieu sur un site lyrique,
Ou l’on doit s’exprimer de façon poétique,
Et nul n’est plus décent, empreint de bienséance,
Que Sergio honorant Bruxelles de sa présence !!!! *

Mais là n’est pas l’objet, car le dessein du jour ;
Faisant de ce poème un sommet de l’humour
Est version 2019 un pays tout plat et son curieux symbole:
Un p’tit gosse effronté exposant sa babiole…..

Qui n’a jamais pissé un beau jour en plein air,
Propose à cet instant de lui jeter la pierre,
Il est des circonstances ou la chose pressante
Impose d’alléger sa prostate en urgence !!!

Faisant fi d’allusions de certains pisse-froids,
Qui feront remarquer qu’il y a des endroits,
Prévu à cet effet, pour soulager l’envies.
Je m’insurge et leur crie :’’payer pour faire pipi ??’’

Car il en est ainsi au monde d’aujourd’hui,
Partout l’on doit payer, et plus rien n’est gratuit,
A ce rythme, un édile bientôt aura l’idée,
De nous faire payer l’air ‘’impur’’ respiré.

Mais une fois de plus, du sujet, je dévie,
Et une chose urgente à l’instant me convie
Car je suis désolé, mais il me faut partir:
J’ai une envie pressante, qu’il me faut assouvir ……….



* Manneken Pis, également appelé à l'origine "Petit Julien", d’après la légende

* La modestie n’est pas la qualité première du poète tourangeau !!





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Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
Istenozot
Posté le: 17-03-2019 13:41  Mis à jour: 17-03-2019 13:41
Plume d'Or
Inscrit le: 18-02-2015
De: Dijon
Contributions: 2303
 Re: Une pensée pour Couscous.................
Cher Serge,

J'ai beaucoup ri à la lecture de ton poème plein de verve et d'humour.
Te lire et te relire est un enchantement et me fait replonger dans les années difficiles où je vous ai trouvé, vous toutes et vous tous, et bien sûr Couscous. Vous m'aviez beaucoup aidé au milieu de ces moments de poésie que vous m'offriez, avec un ses aiguisé du partage et de l'amitié.
Je dois t'avouer que les écrits de Couscous me manquent. He! Iste est un sentimental d'ici et d'ailleurs!

Et puis Bruxelles est une ville à laquelle je me suis attaché et dans laquelle je me rends maintenant périodiquement, car y vit notre chère fille Laure.

Aussi, je ne résiste pas au plaisir de te proposer à nouveau le poème que j'avais écrit en 2017 pour faire un clin d'oeil au tien.

Etant soumis aux caprices de ma prostate
Qui me freinent bien dans mes élans urinaires,
Voir ce petit Manneken-Pis si débonnaire,
Dans cette action, emplit mon âme de stigmates.

Avec cette cascade, il n’est pas diplomate,
Car, face à lui, je suis un valétudinaire.
Mais me dit-il, pour toi, je suis un visionnaire :
Amuse-toi, ris, souris, en digne primate.

Laisse-toi porter par les rires de l’Orée.
Qu’ils ferment la porte au monde de tes ennuis,
Et qu’au milieu de tes amis, tu sois réjoui.

J'espère que tu vas bien.

Amitiés de Dijon.

Jacques
Titi
Posté le: 17-03-2019 14:27  Mis à jour: 17-03-2019 14:27
Administrateur
Inscrit le: 30-05-2013
De:
Contributions: 1622
 Re: Une pensée pour Couscous.................
Merci Isté de ton message.

Je reviens d'un séjour à Binche et de son carnaval, et nous en avons profité pour visiter Bruxelles et son célèbre garnement.


Aussi en ai je profiter pour reposter ce défi de l'époque.

J'espère que tu vas bien dans ta Bourgogne chérie,


Pour ma part j'ai retrouvé le site de l'ORée hélas,
passablement délaissé et ou l'agitation n'est plus ce qu'elle était!!!

Heureusement ton frangin est fidèle et maintient le cap.


Bon dimanche et à bientôt sur le site
Donaldo75
Posté le: 17-03-2019 15:04  Mis à jour: 17-03-2019 15:04
Plume d'Or
Inscrit le: 14-03-2014
De: Paris
Contributions: 1111
 Re: Une pensée pour Couscous.................
Salut titi,

Je retrouve le titi de la poésie déconneuse, marrante, en plus dans un contexte belge.


Une fois de plus, la rigolitude a été de bon cœur. Et il en faut de nos jours.

Allez !

Donald
Titi
Posté le: 17-03-2019 20:05  Mis à jour: 17-03-2019 20:05
Administrateur
Inscrit le: 30-05-2013
De:
Contributions: 1622
 Re: Une pensée pour Couscous.................
Donald , que serait le monde sans rigolitude sinon un peuple de rouspéteurs patentés jamais content de son sort, et ne désirant changer le monde, que sous réserve que ce dernier soit son pré carré!!!!

Ah, mais M...…, c'est déjà le cas !!

Amitiés Donald et à bientot, peut être sur Oniris ou j'hésite à déposer ma prose.
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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