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Accueil >> xnews >> Ô Mère tu es partie - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : Ô Mère tu es partie
Publié par modepoete le 04-02-2019 00:06:22 ( 593 lectures ) Articles du même auteur



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Ô Mère tu es partie

O Père ! Mère s en est partie
Elle ne me dira plus jamais
Les câlins que je cherchais
Quand mon cœur était gris
¤
Elle ne prendra plus la main
Me racontant au matin juste
L’histoire d’un demain illustre
En prédisant mon sain destin
¤
J’entends sa voix dans le noir
Frissons des ondes sur ma peau
D’un ange sortant d’un tombeau
Pour me redonner un pur espoir¤

Et le vent vient en refrain
D’un souffle frais m’apporter
Tes pensées au ciel retrouvées
Pour câliner mon esprit aubain

Ta chansonnette au matin d’été
Me rappelle sage nos bonheurs
Quand tes genoux ravaudeurs
Raccommodaient mes yeux usés
¤
Tu savais réconforter mon âme
De mots sains toujours prévoyants
Que je glanais trésors rayonnants
Sur ma sagesse, surfin de ta flamme
¤
Tu ne crochèteras plus le napperon
Quand tu ciselais ma merveilleuse vie
Au boudoir de ton devoir la lampe revit
De ton souvenir dans mon grand salon
©ƒC



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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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