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Accueil >> newbb >> Francis Ford Coppola [Les Forums - Photographe/Peintre]

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Francis Ford Coppola
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L e 7 Avril 1939 Francis Ford Coppola


naît à Détroit dans le Michigan aux US.
Ce grand réalisateur, scénariste et producteur américain sera récompensé cinq fois aux Oscars, il a remporté deux fois la Palme d'or au Festival de Cannes. En dehors du monde du spectacle, Coppola est aussi vigneron, éditeur de magazine et hôtelier. Il est titulaire d'un diplôme de l'Université Hofstra où il a étudié le théâtre et a obtenu un MFA en réalisation cinématographique à l'UCLA Film School. Il est surtout connu pour la Trilogie Le Parrain et Apocalypse Now, qui dépeint avec faste la guerre du Vietnam.
Il est le père des réalisateurs Sofia et Roman Coppola, le frère de Talia Shire et l'oncle des deux acteurs Nicolas Cage et Jason Schwartzman.

Enfance

Francis Ford Coppola est le fils de Carmine Coppola, originaire de Bernalda dans la région de Basilicate en Italie, le premier flûtiste de l’Orchestre symphonique de Détroit, et d'Italia son épouse. Il est le cadet de leurs trois enfants. Deux ans après sa naissance, Carmine devient premier flûtiste de l’Orchestre symphonique de la NBC et emménage avec sa famille à Long Island. C'est là que le jeune Francis passe le reste de son enfance. Souffrant de poliomyélite, il passe une grande partie de sa jeunesse alité, ce qui favorise son imagination, avec l'improvisation, à la maison, de spectacles de marionnettes. En utilisant la caméra 8 mm de son père, il fait ses tout premiers films en amateur à l'âge de 10 ans. Après le lycée, il part étudier le théâtre à l’Université Hofstra. Il met en scène plusieurs spectacles d'étudiants, regrettant de n'être pas doué pour l'écriture dramatique. En assistant à une projection d'Octobre, d'Eisenstein, il décide d'abandonner le théâtre pour le cinéma. Il s'inscrit à la MFA en réalisation de l’école UCLA Film School où il rencontre Jim Morrison dont la musique, comme d'autres morceaux emblématiques de l'époque, sera plus tard intégrée à la bande originale de son célèbre film Apocalypse Now.

Au début des années 1960, il débute sa carrière en faisant des films à petit budget sous la houlette de Roger Corman, puis en étant crédité du scénario de quelques grosses productions internationales telles Paris brûle-t-il ? de René Clément. Sa première œuvre notable, comme réalisateur, remonte à l'ère de ses collaborations avec Corman : Dementia 13. Après son diplôme de fin d'études obtenu grâce à la réalisation de Big Boy, Coppola se voit offrir les rênes de l'adaptation cinématographique de la comédie musicale de Broadway Finian's Rainbow, mettant en vedette Petula Clark dans son premier film américain au côté du vétéran Fred Astaire.
Le producteur Jack Warner, rendu perplexe par l'allure hirsute du cinéaste, le laisse livré à lui-même et limite le budget de production. Coppola emmène sa distribution à Napa Valley pour tourner les séquences d'extérieur. Ces scènes tranchent radicalement avec les attentes des studios hollywoodiens. Traiter un genre démodé comme la comédie musicale est d'une grande complexité à l'époque. Le résultat est une semi-réussite, mais le travail de Coppola avec Clark contribue sans doute à crédibiliser l'incursion de la chanteuse dans le monde du cinéma. Durant cette période, Coppola habite temporairement avec son épouse et sa famille à Mandeville Canyon à Brentwood (Californie).

George Lucas

En 1969, il fonde avec son ami George Lucas les studios American Zoetrope, basés à San Francisco. Le studio produit alors le THX 1138 de ce même Lucas, dont l'échec ruine les ambitions de Coppola. Contraint d'accepter une commande de studio, il réalise Le Parrain d'après le roman éponyme de Mario Puzo. Le gigantesque succès de cette superproduction dont la cheville ouvrière est le producteur Robert Evans, ramène le cinéaste à l'indépendance et ressuscite ses rêves de conquête d'Hollywood.

Les deux premiers Parrains

En 1971, Coppola gagne un Oscar pour le scénario de Patton, film biographique sur le Général George Patton, réalisé par Franklin J. Schaffner. Cependant, sa réputation de grand cinéaste n'est reconnue qu'après avoir co-écrit le scénario et réalisé les deux premiers volets de la grande saga sur la mafia italo-américaine : Le Parrain (1972) et Le Parrain - 2e partie (1974). Les deux œuvres sont récompensées par l'Oscar du meilleur film, devenant ainsi les premiers, et pour l'instant encore les seuls films à suite à en être les détenteurs. Le Parrain - 2e partie lui vaut également l'Oscar du meilleur réalisateur perdu pour l'opus précédent et ravi au favori Roman Polanski, en lice avec Chinatown.

"Conversation secrète"

Entre les deux Parrain, Coppola prend le temps d'écrire et de mettre en scène un film d'espionnage au style plus personnel : Conversation secrète qui conte l'histoire d’un couple dont l'homme est soupçonné d'être impliqué dans un meurtre et qui est mis sur écoute par un expert en surveillance joué par Gene Hackman. Le film, sorti en salles en 1974, marque largement son époque puisqu'il est contemporain de l'affaire du Watergate. Conversation secrète se voit nommé dans la catégorie "meilleur film" aux Oscars en 1975, ce qui fait de Coppola le premier cinéaste et l'un des deux seuls (avec Steven Soderbergh, 26 ans plus tard) à avoir réalisé deux films concourant dans cette catégorie la même année. Juste avant que Le Parrain - 2e partie ne triomphe à la cérémonie des Oscars en raflant six statuettes et doublant le record du premier volet, Conversation secrète obtient la Palme d'or au Festival de Cannes 1974.

"Échecs"

Pendant cette période il écrit le scénario de l’infructueux succès critique et commercial Gatsby le Magnifique d'après le roman éponyme de Francis Scott Fitzgerald, mettant en vedette Mia Farrow et Robert Redford. Il produit également le film de George Lucas, THX 1138. Aussi, Coppola investit-il à ce moment-là dans le City Magazine de San Francisco dont il s'autoproclame rédacteur en chef, engageant un tout nouveau personnel, y compris la fille d’un criminel : l'écrivain Susan Berman, fille de David Berman. Bien qu'acclamée dans le milieu de la presse, l'affaire périclite rapidement. Le dernier numéro est publié en 1976.

"Apocalypse Now"

Après ces échecs, Coppola goûte à l'autre plus gros succès critique et public de sa carrière avec Apocalypse Now. Il a travaillé durant cinq ans pour élaborer un premier scénario avec John Milius de ce projet de transposition dans le cadre de la guerre du Vietnam du récit Au cœur des ténèbres de Joseph Conrad. À l'origine, Lucas devait mettre en scène le film. Cependant, celui-ci préfère s'atteler à la réalisation de La Guerre des étoiles et Coppola reprend, sans l'en avertir, le projet "Apo" ce qui brouille les deux amis durant plusieurs années. Le film fait l'objet d'une production démentielle au cœur de la jungle des Philippines, engloutissant plus de 30 millions de dollars d'un budget initialement fixé à 16 millions, s'étalant sur 18 mois de tournage et nécessitant l'impression de plusieurs dizaines de kilomètres de pellicule.
Le dictateur Marcos accorde son soutien à la production, prêtant ses hélicoptères et ses avions de chasse destinés à la traque des rebelles. Les appareils sont visibles dans la célèbre séquence du bombardement d'un village sur l'air de la Chevauchée des Walkyries de l'opéra Die Walküre de Richard Wagner. À la base, le rôle de Willard est attribué à Harvey Keitel avec lequel Coppola commence le tournage. Mais suite à plusieurs différends, Keitel est remercié au profit de Martin Sheen. Les catastrophes s'enchaînent sur le plateau : un typhon ravage le décor, Sheen est victime d'une crise cardiaque et Marlon Brando, qui avait promis de perdre du poids, débarque sur le tournage obèse, sous la dépendance de stupéfiants et en ayant à peine lu le script. La star ignore totalement son texte. Effrayé à l'idée de devoir interrompre son travail, Coppola dissimule l'état de santé de son acteur principal aux producteurs. Il fait d'ailleurs venir son frère des États-Unis durant sa convalescence afin d'en faire une doublure pour des plans de dos. Il décide aussi de filmer Brando dans la pénombre et en fait un personnage à la limite du visible. À la fin de l'année 1976, Coppola fait un premier retour aux États-Unis avec des centaines d'heures d'images qui s'avèrent être totalement inutilisables.
Dépassé et happé par la démesure de son entreprise et la mission démiurgique de son ouvrage, Coppola se drogue et est sujet à des crises mystiques, s'identifiant aux causes des tribus locales. Il perd 40 kilos, sombre pratiquement dans la folie et tente de mettre fin à ses jours. Devenu mégalomane, irascible et paranoïaque, il remodèle chaque semaine l'équipe de tournage au gré de son humeur. À cette époque, il s'adonne à des dépenses somptuaires et engloutit près de 150 000 dollars par jour pour assouvir ses lubies, se faisant livrer des centaines de steaks congelés des États-Unis, du champagne et plusieurs produits de luxe. Il réclame aussi la construction d'une piscine derrière la propriété qu'il loue. À bout de force, l'équipe organise plusieurs révoltes et mutineries à l'encontre du metteur en scène. Quand Coppola boucle finalement le tournage et rentre définitivement aux États-Unis, il est accompagné de 250 heures d'images. Alors que le calvaire du tournage est terminé, la production se retrouve avec des centaines d'heures d'images à traiter et aucune des premières versions du film ne convient au réalisateur. L'équipe du montage est mise à rude épreuve et Coppola reste vague quant à la vision parfaite de son film. Le chef-monteur, Dennis Jakob, perd presque la raison et menace de brûler les kilomètres de bandes. Le montage "Work-In-Progress" d'Apocalypse Now est finalement prêt pour 1978. Il est à peu près semblable à celui de la version" Redux", à l'exception de la scène dans la plantation française où le héros connaît une brève histoire avec une fille d'anciens colons d'Indochine qu'interprète Aurore Clément. D'autres séquences, encore jamais vues à ce jour, montrent Willard coucher avec une playmate qui lui tire des cartes de tarot. L'aventure du tournage fera l'objet en 1991 d'un documentaire, Au cœur des ténèbres, réalisé par Fax Bahr et George Hickenlooper. Il intègre de nombreuses séquences et images d'archives tournées à l'époque par Eleanor Coppola. Après trois ans de préparation, le film sort en salles en 1979. Cette odyssée dans l'horreur guerrière et le trip mystique, d'une puissance visuelle hypnotique, inégalée dans l'œuvre du cinéaste, vaut à ce dernier une seconde Palme d'or cannoise, partagée cette fois-ci avec l'Allemand Volker Schlöndorff pour Le Tambour, une autre grande adaptation littéraire.

Tumulte des années 1980 et 1990

Même si la production avec Lucas d'œuvres de cinéastes tels qu'Akira Kurosawa pour Kagemusha, l'ombre du guerrier s'avère lucrative, Coppola doit faire face à de nouveaux revers financiers. Coup de cœur (1982) et Cotton Club (1984) sont des désastres commerciaux. Le budget de Cotton Club était à l'époque le plus élevé de l'histoire du cinéma : pression qui l'opposa d'ailleurs juridiquement au producteur Robert Evans qu'il voulait interdire de présence sur le plateau. Ces deux échecs successifs achèvent ses ambitions. Criblé de dettes, Coppola est alors obligé de tourner des « films de commande » tels que Captain Eo avec Michael Jackson, réalisé en 3D pour les parcs d'attraction Disney, un des sketchs du film New York Stories, Le Parrain, 3e partie, Dracula ou encore Jack. Il doit désormais se contenter d'une activité de producteur : il finance notamment le premier film de sa fille Sofia, Virgin Suicides (1999), ainsi que Frankenstein (1994) de Kenneth Brannagh et Sleepy Hollow (1999) de Tim Burton. Il ne renonce pas néanmoins de temps à autre à la réalisation d'œuvres personnelles comme Peggy Sue s'est mariée (1986), Tucker (1988).

Années 2000

En 2001, il sort la version redux de son chef d'œuvre Apocalypse Now dans un montage remanié présentant des séquences inédites, coupées en 1979.
Il continue à produire les films de sa fille : Lost in Translation (2003) ou Marie-Antoinette (2006), mais également le premier de son fils Roman : CQ (2001).
Dix ans après L'Idéaliste, il revient à la réalisation, en 2007, avec L'Homme sans âge, inspiré de la nouvelle Jeunesse sans jeunesse de Mircea Eliade. Ce retour n'est pas un succès : le film n'attire pas un public suffisant et est globalement rejeté par la critique. Il obtient 30 % au « tomatomètre » sur Rotten Tomatoes (en dessous de 60 %, le film est considéré comme « pourri ») et n'engrange que 2 380 362 dollars de recettes mondiales4
En 2009, sort Tetro qui est plutôt bien accueilli par la critique et les spectateurs et obtient 71 % au « tomatomètre » sur Rotten Tomatoes. Dans ce film, tourné majoritairement en noir et blanc, il livre des éléments très autobiographiques à travers le personnage incarné par Vincent Gallo. Le film se déroule en Argentine où il a été tourné en partie en langue espagnole.
Il est le président d'honneur du 37e Festival du cinéma américain de Deauville en septembre 2011. La même année, il réalise Twixt, un film d'horreur avec Val Kilmer et Elle Fanning. Le film n'est projetté que dans quelques festivals comme Toronto et Turin, avant de sortir dans quelques pays en 2012.

Å’uvre


Thèmes abordés

Si les thèmes explorés sont vastes, on retrouve, chez Coppola, certains motifs répétés d'un film à l'autre : l'homme confronté à la perversion du pouvoir politique ou mafieux, la violence, l'expiation, la rédemption, la catharsis, la désagrégation de la cellule familiale, la jeunesse désœuvrée, la mort et la folie. On remarque également une certaine obsession pour le temps, montré sous de multiples travestissements : retrouvailles avec une adolescence révolue afin d'évincer les erreurs futures (Peggy Sue s'est mariée), éternité douloureuse d'une âme en quête de l'amour perdu (Bram Stoker's Dracula), thème littéraire de la jeunesse éternelle (L'Homme sans âge) ou encore transcription scénarisée de la propre vie du metteur en scène, passée et présente (Tetro). Coppola est de plus très influencé par l'opéra dont s'inspirent largement ses scénarii et ses mises en scène. La scène finale du Parrain 3, qui se déroule à l'opéra de Palerme, en est un exemple notable.

Style

On note deux grandes périodes dans l'œuvre de Coppola. Dans la première partie de sa carrière, il réalise des films à grand spectacle très coûteux, à la démesure assumée. Il passe alors du film de gangsters fastueux, épique et tragique, épousant la structure d'un roman-feuilleton (la trilogie du Parrain, Cotton Club) à une forme de trip mystique, baroque et dantesque (Apocalypse Now). Apocalypse Now témoigne justement d'un style grandiloquent, caractéristique de la première époque Coppola : expérimentations sonores, montage sophistiqué, surimpressions, travellings vertigineux, plans contemplatifs, bande originale saturée, décors et éclairages stylisés (aplats ocres, lumières en faisceau, violents clairs-obscurs etc.), effets fantastiques (vapeurs enveloppantes, brumes colorées...). On retrouve cette envergure esthétique dans certaines réalisations tardives, notamment Bram Stoker's Dracula même si Coppola développe déjà à partir des années 1980, grâce à des films comme Peggy Sue s'est mariée et Rusty James, une tonalité plus personnelle, représentative de la seconde partie de sa carrière.
Dans une deuxième période assez récente à partir de L'Homme sans âge, le réalisateur réduit peu à peu les dépenses de ses films, et donc leur grande ambition même s'il n'abandonne pas certaines recherches plastiques (mélange du noir et blanc et de la couleur, incrustations numériques...). Ce cheminement l'amène à Tetro, au style sobre et intimiste, puis à Twixt où il repart à zéro et réalise à la fois un film d'étudiant qui ne se prend pas au sérieux, une plongée singulière dans l'atelier de son art poétique, le fantastique, la série B, la réinterprétation de légendes, l'hommage à Edgar Allan Poe... puis une lamentation personnelle qu'exprime son alter ego : le personnage d'écrivain à la dérive incarné par Val Kilmer qui tente d'écrire pour fuir le souvenir de sa fille décédée (Coppola a connu ce malheur dans sa vie privée : il a perdu son fils Gian-Carlo dans un accident de speedboat en 1986). Le cinéaste a affirmé[réf. nécessaire] qu'après ce film, il se redirigerait vers la grosse production ambitieuse, avec sans doute une approche plus mûre et moins ostentatoire.

Personnalité

« Napoléon du cinéma »
Personnage fantasque, mégalomane, on le surnomme parfois à juste titre « le Napoléon du cinéma ». Doté d'un orgueil monstrueux que n'ont pas atténué les échecs, Coppola ne laisse jamais indifférent, il se montre volubile, arrogant, extraverti, doté d'une remarquable capacité à enfoncer les portes qu'on ferme devant lui. Il est typique des « auteurs-tyrans » qui considèrent les autres comme des pions pour mener à bien leur propre ambition démiurgique. Apocalypse Now est certainement le film qui a transcendé cette nature pour devenir un chef-d'œuvre cinématographique sur la folie, la guerre, la nature sauvage et l'impérialisme.

Tournages en famille

Coppola a souvent travaillé avec des membres de sa famille. Il fait jouer ses deux fils dans Le Parrain dans une scène de combat de rue et dans les funérailles de Don Corleone. Sa sœur, Talia Shire, joue Connie Corleone dans la trilogie et sa fille Sofia Coppola incarne un rôle important dans la troisième partie. Son père Carmine Coppola a co-écrit plusieurs musiques de ses films.

Filmographie


Réalisateur

Année Titre français Titre original (si différent)Remarque
1961 L'ouest sauvage et nu Tonight for Sure
1962 The Bellboy and the Playgirls Co-réalisé avec Fritz Umgelter
L'Enterré vivant Premature burial En tant qu'assistant-réalisateur. Film de Roger Corman
1963 L'Halluciné The Terror film de Roger Corman, en tant qu'assistant-réalisateur et producteur associé
Nebo zovyot / Battle Beyond The Sun (titre américain) film russe ; Coppola responsable de l'adaptation américaine sous le pseudonyme de Thomas Colchart
Dementia 13
1966 Big Boy You're a Big Boy Now
1968 La Vallée du bonheur Finian's Rainbow
1969 Les gens de la pluie The Rain People
1972 Le Parrain The Godfather
1974 Conversation secrète The Conversation Palme d'or et prix du jury œcuménique, lors du Festival de Cannes 1974
Le Parrain - 2e partie Mario Puzo's The Godfather: Part II
1979 Apocalypse Now Palme d'or lors du Festival de Cannes 1979.
1982 Coup de cœur One from the Heart
1982 Faerie Tale Theatre Série TV - épisode Rip Van Winkle
1983 Outsiders The Outsiders
Rusty James Rumble Fish
1984 Cotton Club The Cotton Club
1986 Captain Eo film musical en 3D de 17 minutes, mettant en scène Michael Jackson, qui est diffusé dans les parcs d'attractions Disney
Peggy Sue s'est mariée
Peggy Sue Got Married
1987 Jardins de pierre Gardens of Stone
1988 Tucker Tucker : The Man and His Dream
1989 New York Stories segment La vie sans Zoé (Life Without Zoe)
1990 Le Parrain - 3e partie Mario Puzo's The Godfather: Part III
1992 Dracula Bram Stoker's Dracula
1996
Jack
1997 L'Idéaliste The Rainmaker
2007 L'Homme sans âge Youth Without Youth
2009 Tetro
2012 Twixt

Scénariste

1966 : Propriété interdite (This Property Is Condemned), de Sydney Pollack, avec Nathalie Wood, Robert Redford et Charles Bronson
1966 : Paris brûle-t-il ? de René Clément avec Jean-Paul Belmondo, Charles Boyer, Leslie Caron et Jean-Pierre Cassel
1970 : Patton de Franklin J. Schaffner avec George C. Scott
1973 : Nos plus belles années (The Way We Were) de Sydney Pollack (participation non créditée5)
1974 : Gatsby le Magnifique (The Great Gatsby) de Jack Clayton avec Robert Redford, Mia Farrow et Bruce Dern
Distinctions principaleS

Coquille d'or au Festival de Saint-Sébastien en 1969 pour Les gens de la pluie
Lauréat de l'Oscar du meilleur film en 1971 pour Patton
Lauréat de l'Oscar du meilleur scénario original en 1971 pour Patton
Nommé à l'Oscar du meilleur réalisateur en 1973 pour Le Parrain
Lauréat de l'Oscar du meilleur film en 1973 pour Le Parrain
Nommé à l'Oscar du meilleur film en 1974 pour pour Conversation secrète
Palme d'or au Festival de Cannes 1974 pour Conversation secrète
Nommé à l'Oscar du meilleur film en 1975 pour Apocalypse now
Nommé à l'Oscar du meilleur scénario original en 1975 pour Apocalypse now
Nommé à l'Oscar du meilleur réalisateur en 1975 pour Apocalypse now
Palme d'or au Festival de Cannes 1975 pour Apocalypse now
Lauréat de l'Oscar du meilleur film en 1975 pour Le Parrain - 2e partie
Lauréat de l'Oscar du meilleur réalisateur en 1975 pour Le Parrain - 2e partie
Lauréat de l'Oscar du meilleur scénario adapté en 1975 pour Le Parrain - 2e partie
Coquille d'or au Festival de Saint-Sébastien en 1984 pour Rusty James
Nommé à l'Oscar du meilleur réalisateur en 1991 pour Le Parrain 3
Nommé à lOscar du meilleur film en 1991 pour Le Parrain 3
Irving G. Thalberg Memorial Award en 2011 pour sa carrière de producteur

liens à regarder

http://www.dailymotion.com/video/x80g ... e_shortfilms#.UV3rn7Qxq0w scène mythique (français)
http://youtu.be/B-tjFsT2pcI apocalypse now le film en espagnol
http://youtu.be/rEXbMzAUO7U extrait Le parrain II
http://www.youtube.com/watch?v=Bg_doL ... e&list=PL03A67E557671E159 Italien
http://youtu.be/VcFwUo_cGiw l'oscar pour le parrain II




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Posté le : 07/04/2013 16:20
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Re: Francis Ford Coppola
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Apocalypse Now ce chef d'Å“uvre !

Posté le : 07/04/2013 16:40
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Re: Francis Ford Coppola
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Je n'ai jamais vu Apocalypse Now, il va falloir que je comble cette grave lacune...

Sa fille Sofia fait d'excellents films aussi (Lost in translation, avec Bill Murray et Scarlett Johansson, épatants)

Posté le : 07/04/2013 18:21
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Re: Francis Ford Coppola
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Apocalypse Now est un film très important, mais je ne l'ai pas vu non plus, car je suis handicapée par les émotions, je suis allée en salle lorsqu'il est sorti et je suis, moi aussi, sortie !!
Le spectacle des bombardements, la destruction des personnes mais aussi le spectacle de la beauté de la vie quotidienne, un village, de simples maisons de palmes, un groupe d'enfants et soudain par l'acte de quelques hommes l'enfer, la destruction, la terreur, les cendres, le noir ... je ne peux pas, je ne peux pas du tout ...
Cette semaine je vous ai trouvé le film entier mais en espagnol seulement.
Avec une telle action, le fait de mal comprendre les dialogues et peut-être secondaire, nous connaissons tous l'histoire de la guerre du Viet-nam.
Je suis gâtée cette semaine parce que "Attila le hun" est aussi un film des années 54/55 où ma mère m'avait emmenée. Dés le début du film, je suis sortie de la salle en courant, hurlant et pleurant, je suis sortie en larmes : "les chevaux, les pauvres chevaux, ils ont peur, ils ont mal , sniff, sniff..." Mais les guerriers aussi ils meurent, m'a dit ma mère, " je m'en fous, c'est bien fait pour eux, ils z'avaient qu'a pas se battre" .
Et Barnum, le cirque, je déteste, je l'ai bien caché à mes enfants lorsqu'ils étaient petits, pour ne pas gâcher leur plaisir, mais ce chapiteau, j'y ai froid, ça pue, les clowns ne me font pas rire, les bêtes me font de la peine, elles n'ont rien à faite là, les magiciens nous font croire des trucs faux et nous prennent pour des couillons, quand aux trapézistes ils me terrorisent, j'ai trop peur qu'il tombent, j'ai les mains moites de trouille, et la musique !! ? la musique et les cuivres font beaucoup trop de bruit ... en gros j'aime pas, mais alors pas du tout.
Voilà donc trois articles dont les sujets ne me séduisent personnellement pas trop, mais il n'y a pas que moi, alors chuttt .... j'espère que cela va plaire aux autres, en tout cas c'est plein de renseignements intéressants malgré tout.
Merci

Posté le : 07/04/2013 20:08
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Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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