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De Bretagne
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Voici une liste des personnalités végétariennes ou végétaliennes qui peut peut-être vous intéresser (cela m'a étonné que Bouddha soit dans cette liste, je plaisante...):
Albert Einstein Albert Schweitzer Azouz Begag (Ministre français) Benjamin Franklin Bouddha Charles Darwin Epicure François d’Assise Isaac Newton Israel Gelfand (grand mathématicien) Lamartine Léon Tolstoï Leonard de Vinci Mahatma Gandhi Mr Martin Luther Montaigne Nikola Tesla Philippe Starck Platon Plutarque Prince Pythagore Rajendra Pachauri (président du GIEC, et prix Nobel de la Paix 2008) Reine Sophie d’Espagne Matthieu Ricard (Moine bouddhiste, traducteur français du Dalai Lama) Steve Paul Jobs (Co-fondateur de Apple) Théodore Monod Thomas Edison Voltaire Yann Artus Bertrand (photographe) Zoroastre
Regardez ce que j'ai trouvé d'autre:
Friedrich Nietzsche
« Toute la philosophie antique était orientée sur la simplicité de la vie et enseignait une certaine sobriété. De ce point de vue, le peu de végétariens par philosophie ont fait plus pour l’humanité que tous les philosophes modernes et tant qu’ils n’auront pas le courage de chercher un mode de vie totalement différent et de l’indiquer comme exemple, ils ne porteront aucun fruit. »
Emile Zola :
« La cause des animaux passe avant le souci de me ridiculiser. »
Voltaire :
« Qu’y a-t-il de plus repoussant que de se nourrir continuellement de chair de cadavre ? »
Marguerite Yourcenar :
« Soyons subversifs. Révoltons-nous contre l’ignorance, l’indifférence, la cruauté, qui d’ailleurs ne s’exercent si souvent contre l’homme parce qu’elles se sont fait la main sur les bêtes. Rappellons-nous, s’il faut toujours tout ramener à nous-mêmes, qu’il y aurait moins d’enfants martyrs s’il y avait moins d’animaux torturés, moins de wagons plombés amenant à la mort les victimes de quelconques dictatures, si nous n’avions pris l’habitude des fourgons où les bêtes agonisent sans nourriture et sans eau en attendant l’abattoir. » « Les animaux sont mes amis et je ne mange pas mes amis. »
Albert Schweitzer :
« Jadis, le fait de croire que les hommes de couleur étaient vraiment des hommes et devaient être traités humainement passait pour une folie. Aujourd’hui, on considère comme éxagéré de prétendre qu’un des devoirs imposés par l’éthique rationnelle est de respecter ce qui vit, même dans ses formes inférieures. Mais un jour, on s’étonnera qu’il ait fallu autant de temps à l’humanité pour admettre que des déprédations insouciantes causées à ce qui vit sont incompatibles avec l’éthique. »
Thomas Henry Huxley :
"L’homme vint avant la hâche et le feu, il ne pouvait donc pas être omnivore." "Le seul animal qui existe ayant une morphologie omnivore est l’ours, qui a quelques dents pointues et les autres plates."
Cuvier :
"L’anatomie comparée nous enseigne qu’en toute chose, l’homme, ressemble aux animaux frugivores, et en rien aux carnivores... Ce n’est qu’en déguisant la chair morte rendue plus tendre par des préparatifs culinaires, qu’elle est sucesptible d’être mastiquée et digérée par l’homme chez qui, de la sorte, la vue des viandes crues et saignantes n’excite pas l’horreur et le dégout."
Thomas Edison :
"Je suis végétarien et anti-alcoolique : ainsi je peux faire un meilleur usage de mon cerveau".
Mahatma Gandhi :
"Je crois que le progrès spirituel exige de nous que nous cessions de tuer les autres êtres vivants pour nos besoins corporels". "La grandeur d’une nation et ses progrès moraux peuvent être jugés de la manière dont elle traite les animaux". « S’abstenir de viande est d’un grand secours pour l’élévation de l’âme. »
Albert Einstein :
"Rien ne peut être aussi bénéfique à la santé humaine et augmenter les chances de survie de la vie sur terre que d’opter pour une diète végétarienne".
Léonard de Vinci :
"J’ai très tôt renoncé à la viande et un jour viendra où les hommes tels que moi proscriront le meurtre des animaux comme ils proscrivent aujourd’hui le meurtre de leurs semblables".
Pythagore :
"Tant que les hommes massacreront les animaux, ils s’entre-tueront. Celui qui sème le meurtre et la douleur ne peut récolter la joie et l’amour".
Darwin :
"Peu d’hommes pourraient supporter pendant 5 minutes l’observation d’un animal se débattant, avec un membre écrasé ou déchiqueté". "La classification des formes, des fonctions organiques et des régimes a montré d’une façon évidente que la nourriture normale de l’humain est végétale comme celle des anthropoïdes et des singes, que nos canines sont moins développées que les leurs, et que nous ne sommes pas destinés à entrer en compétition avec les bêtes sauvages ou les animaux carnivores."
Émile Zola :
"Pourquoi la souffrance d’une bête me bouleverse-t-elle ainsi ? Pourquoi ne puis-je supporter l’idée qu’une bête souffre, au point de me relever la nuit, l’hiver, pour m’assurer que mon chat a bien sa tasse d’eau ? [...] Pour moi, je crois bien que ma charité pour les bêtes est faite de ce qu’elles ne peuvent parler, expliquer leurs besoins, indiquer leurs maux. Une créature qui souffre et qui n’a aucune moyen de nous faire entendre comment et pourquoi elle souffre, n’est ce pas affreux, n’est ce pas angoissant ?"
Romain Rolland :
« La cruauté envers les animaux et même déjà l’indifférence envers leur souffrance est à mon avis l’un des péchés les plus lourds de l’humanité. Il est la base de la perversité humaine. Si l’homme crée tant de souffrance, quel droit a-t-il de se plaindre de ses propres souffrances ? »
Theodor Adorno :
"Auschwitz commence partout où quelqu’un regarde un abattoir et pense : ce sont seulement des animaux."
Jeremy Bentham
"Les français ont déjà réalisé que la peau foncée n’est pas une raison pour abandonner sans recours un être humain aux caprices d’un persécuteur. Peut-être finira-t-on un jour par s’apercevoir que le nombre de jambes, la pilosité de la peau ou l’extrémité de l’os sacrum sont des raisons tout aussi insuffisantes d’abandonner une créature sensible au même sort. (...) La question n’est pas : "Peuvent-ils raisonner ?" ni "Peuvent-ils parler ?" mais "Peuvent-ils souffrir ?"’
Lamartine
"Ma mère était convaincue, et j’ai gardé à cet égard ses convictions, que tuer les animaux pour se nourrir de leur chair et de leur sang est l’une des plus déplorables et des plus honteuses infirmités de la condition humaine ; que c’est une de ces malédictions jetées sur l’homme par l’endurcissement de sa propre perversité. Elle croyait, et je crois comme elle, que ces habitudes d’endurcissement du coeur à l’égard des animaux les plus doux, ces immolations, ces appétits de sang, cette vue des chairs palpitantes, sont faits pour férociser les instincts du coeur."
Posté le : 01/09/2017 14:20
Edité par lagouttedo sur 03-09-2017 01:02:54
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