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De Montpellier
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Le 13 septembre 1924 naît Maurice Jarre,
à Lyon 5ème, compositeur français de musiques de scènes et de musiques de films, mort le 29 mars 2009, à 84 ans, à Malibu États-Unis. Maurice Jarre est le fils du directeur technique de Radio Lyon, André Jarre. Compositeur, Chef d'orchestre, ses films les plus notables sont Lawrence d'Arabie Le Docteur Jivago, Paris brule-t-il ?, La Fille de Ryan, Le Message, Le Lion du désert, La Route des Indes, Witness, Le Cercle des poètes disparus, Ghost Dans les années 1940, il épouse France Pejot ancienne résistante 1914-2010. Leur fils Jean-Michel naît le 24 août 1948. Le couple divorce en 1953 et Maurice part aux États-Unis. En 1965, il épouse l'actrice Dany Saval et une fille, Stéphanie, naît en 1966. Ils divorcent peu après. Fin 1967, il épouse l'actrice Laura Devon 1931-2007 ; il adopte son fils, Kevin Jarre 1954-2011. Le couple divorce en 1984. Il épouse, en 1984, Fong F. Khong, d'origine chinoise, qui l'accompagnera jusqu'à sa mort.
En bref
Maurice Jarre s'est intéressé assez tard à la musique. Timbalier de formation, Jarre débute à la Compagnie Renaud-Barrault en 1946, formant un duo avec Pierre Boulez au piano et aux ondes Martenot, mais Jarre s'intéresse très vite à la composition. On lui commande en 1948 sa première musique de scène pour Le Gardien du Tombeau, de Franz Kafka. Il devient directeur musical du Théâtre national populaire durant douze années 1951-1963. Il compose les mythiques trompettes, la fanfare d'accueil de Lorenzaccio, qui retentit en juillet lors de chaque représentation du Festival d'Avignon dans la Cour d'honneur du Palais des Papes. Parmi les musiques de scène composées alors pour le T.N.P. il faut remarquer, outre Lorenzaccio déjà cité, les musiques de Richard II, Macbeth, Le Prince de Hombourg, Nucléa, Meurtre dans la cathédrale, Don Juan, Le Médecin malgré lui, Ruy Blas, La Découverte du Nouveau-Monde. Il est à remarquer que Maurice Jarre compose une nouvelle musique de scène pour Lorenzaccio, cette fois lors de la reprise de cette pièce à la Comédie-Française dans la mise en scène de Franco Zeffirelli. Sa carrière dans la musique de film démarra dans les années 1950 pour des courts métrages des compositions pour les films de Georges Franju, Jacques Demy, Alain Resnais notamment puis des longs métrages à partir de 1958 La Tête contre les murs de Georges Franju. C'est également dans les années 1950 que Maurice Jarre composa l'indicatif de fin d'émission de la station de radio française Europe . Sa carrière hollywoodienne ne démarra véritablement qu'en 1962 avec Lawrence d'Arabie, un film qui scella la collaboration du réalisateur David Lean avec Jarre. Il a composé de très nombreuses musiques de films dont celles de Lawrence d'Arabie 1962, Le Docteur Jivago 1965, Paris brûle-t-il ? 1966, Les Damnés 1969, Soleil rouge 1971, Le Message 1976, Jésus de Nazareth 1977, Shogun 1980, Le Lion du désert 1981, Witness 1985, Gorilles dans la brume 1988, Le Cercle des poètes disparus 1989, Ghost 1990 ou L'Échelle de Jacob 1990. En 1996, il compose la musique du film vivement critiqué de Bernard Henry-Lévy, Le Jour et la Nuit, qui a voulu reproduire le style de David Lean. Jarre a aussi composé des œuvres de concert majeures et écrit cinq ballets dont Notre-Dame de Paris pour l'Opéra de Paris. Lors du Festival de Berlin en février 2009, il reçoit un Ours d'Or pour l'ensemble de sa carrière. C'est sa dernière apparition en public. Atteint d'un cancer, il meurt le 28 mars 2009 dans sa villa de Los Angeles à l'âge de 84 ans. Il fait partie des très rares artistes français à avoir été honorés par une étoile au Hollywood Walk of Fame à Los Angeles.
Sa vie
Maurice Alexis Jarre naît à Lyon le 13 septembre 1924. Il envisage d'abord une carrière d'ingénieur et ce n'est qu'à l'âge de seize ans qu'il découvre véritablement la musique, lorsque son père, qui travaille à la Radio de Lyon, amène quelques disques à la maison. « J'en ai passé un, il s'agissait de la Deuxième Rhapsodie hongroise de Liszt, arrangée et enregistrée par Leopold Stokowski. Je venais de découvrir quelque chose qui allait bouleverser ma vie : le son. » Conscient que sa vocation est tardive, il travaille de manière acharnée et choisit d'apprendre les percussions car « il était déjà trop tard pour devenir violoniste ou clarinettiste ». Il intègre en 1943 le Conservatoire national supérieur de Paris, où il étudie les percussions avec Félix Passerone – dont un des élèves a été Pierre Henry–, l'orchestration avec Louis Aubert et la composition avec Arthur Honegger, qui l'initie à la musique de film. Devenu un excellent percussionniste, Maurice Jarre est engagé par la Compagnie Renaud-Barrault, où il se lie d'amitié avec Georges Delerue et Pierre Boulez : Maurice Jarre y joue de toutes les percussions – des timbales au xylophone –, Pierre Boulez est au piano ou aux ondes Martenot. En 1951, Jean Vilar invite le jeune compositeur à écrire, pour le festival d'Avignon, la musique de scène de la pièce de Heinrich von Kleist Le Prince de Hombourg, où triomphe Gérard Philipe. En août 1951, Vilar est nommé directeur du Théâtre national populaire (T.N.P.) ; il demande immédiatement à Maurice Jarre d'en devenir le directeur musical et le chef d'orchestre. Jarre, qui conservera cette fonction jusqu'à la fin du mandat de Vilar, en 1963, va composer les musiques de scène de plus de soixante-dix pièces différentes, de Shakespeare, Brecht, von Kleist, Musset, Marivaux, Pirandello, Cocteau, Camus... Disposant d'un orchestre de trente musiciens, il dirige lui-même ses propres compositions. C'est à lui que l'on doit les célèbres sonneries du T.N.P. Parallèlement à la musique de scène, Maurice Jarre commence en 1952 à composer pour l'image : il écrit une musique pour un court-métrage de Georges Franju, Hôtel des Invalides, qui connaît une certaine notoriété. Jarre va rapidement se consacrer quasi exclusivement à la musique de film, composant pour Franju (Le Théâtre national populaire, 1956 ; La Tête contre les murs, 1958 ; Les Yeux sans visage, 1960 ; Pleins feux sur l'assassin, 1961 ; Thérèse Desqueyroux, 1962 ; Judex, 1963), Alain Resnais (Toute la mémoire du monde, 1956), Jacques Demy (Le Bel Indifférent, 1958), Jean-Pierre Mocky (Les Dragueurs, 1958), Jean-Paul Rappeneau (Chronique provinciale, 1958), Henri Verneuil (Le Président, 1961)... La musique du documentaire d'Alain Resnais Toute la mémoire du monde repose essentiellement sur la répétition, sur un long ostinato qui n'enjolive à aucun moment le propos du film. L'étrangeté que secrète cet ostinato confère au film un caractère volontairement non réaliste, ce qui peut paraître paradoxal pour un documentaire. Mais il ne faut pas oublier que la Bibliothèque nationale, sujet du film, est un lieu de mémoire. Et c'est là que se situe le remarquable travail de Resnais et de Jarre : amener le spectateur à éprouver la sensation d'être hors de l'espace et hors du temps. En 1962, Maurice Jarre signe la musique du film Cybèle, ou les Dimanches de Ville-d'Avray de Serge Bourguignon. Sam Spiegel, producteur de David Lean, voit ce film, en apprécie la partition et demande à Maurice Jarre de venir à Hollywood pour travailler sur Lawrence d'Arabie. C'est le début, pour le compositeur français, d'une longue et riche carrière aux États-Unis. Avec Georges Delerue, Maurice Jarre est le plus important compositeur français de musiques de films de la seconde moitié du XXe siècle, mais aussi un des plus controversés : ses partitions flamboyantes pour Hollywood lui vaudront la notoriété auprès du grand public en même temps que le rejet de la part d'une critique rigoriste. Hollywood
Pour beaucoup de cinéastes, la musique constitue une facette secondaire de leur œuvre. Mais, à l'instar de certains scénaristes ou directeurs de la photographie, des compositeurs ont su mener à bien des collaborations privilégiées et suivies avec des réalisateurs. Quelques exemples illustres inscrits dans l'histoire du cinéma – au premier rang desquels Bernard Herrmann et Alfred Hitchcock, John Williams et George Lucas – prouvent heureusement qu'une véritable symbiose peut s'instaurer entre un réalisateur et un compositeur. C'est le cas de David Lean et de Maurice Jarre, dont la collaboration se concrétisera par quatre films et trois oscars pour la meilleure partition originale : Lawrence of Arabia (Lawrence d'Arabie, 1962, oscar), Doctor Zhivago (Docteur Jivago, 1965, oscar), Ryan's Daughter (La Fille de Ryan, 1970) et A Passage to India La Route des Indes, 1984, oscar. Pour la bande originale de Lawrence d'Arabie, Lean avait tout d'abord pensé à Aram Khatchatourian pour la musique de caractère arabe et à Benjamin Britten pour la partition « britannique », Jarre étant censé signer la musique du générique. Khatchatourian ne put quitter l'U.R.S.S. et Britten exigea un an et demi pour écrire la partition. Sans demander l'avis de David Lean, Sam Spiegel décida que Richard Rodgers composerait 90 p. 100 de la musique et Maurice Jarre 10 p. 100. Mais les premiers envois de Rodgers au réalisateur ne furent pas convaincants et Lean réussit, en 1962, à imposer Maurice Jarre pour l'intégralité de la bande originale de Lawrence d'Arabie. Un thème unique parcourt tout le film, dont il accélère, anticipe, rompt ou fige le déroulement dramatique. Jarre déclarera : « Il me semblait important d'avoir un thème principal unique que l'on pouvait ensuite décliner à l'infini plutôt que de perturber le public avec une multitude de thèmes différents. » Pour Docteur Jivago, Maurice Jarre compose ce qui va devenir la référence classique pour Hollywood, le « leitmotiv » de cette partition – la célèbre « chanson de Lara » – constituant le plus sûr garant du romanesque. Si le thème unique – que l'on retrouve avec la valse de Paris brûle-t-il ? de René Clément (1966) – constitue une sorte d'image de marque pour le compositeur, il établit cependant les limites de ses interventions à l'intérieur d'un film. Sans nier le bénéfice de l'impact au premier degré que représente la reconnaissance immédiate d'un thème pour le spectateur et la possibilité de le fredonner sans difficulté, force est de constater que le choix d'une politique thématique en matière de musique de film bloque le genre, et le relègue à un rang accessoire. La musique de Maurice Jarre pour Lean dépassera heureusement ce simple rôle de médiateur entre le public et le film dans leurs deux dernières collaborations, La Fille de Ryan et La Route des Indes. Car Lean a toujours considéré que ce n'est pas par l'illusion de la réalité que le cinéma s'est donné un statut d'art réaliste, mais par le développement d'une toile de fond romanesque, le romanesque constituant la traduction culturelle de l'idée de réel. Et, par sa désuétude, la musique de Jarre contribue largement à ouvrir le champ romanesque. Après le succès immense de Lawrence d'Arabie, Maurice Jarre va travailler avec les plus grands réalisateurs d'Hollywood : Fred Zinnemann (Behold a Pale Horse – Que vienne l'heure de la vengeance –, 1964), John Frankenheimer (The Train – Le Train –, 1964 ; Grand Prix, 1966 ; The Fixer – L'Homme de Kiev –, 1968), William Wyler (The Collector – L'Obsédé –, 1965), John Huston (The Life and Times of Judge Roy Bean – Juge et hors-la-loi –, 1972 ; The Man who would be King – L'Homme qui voulut être roi –, 1975), Peter Weir (The Year of Living Dangerously – L'Année de tous les dangers –, 1982 ; The Mosquito Coast, 1985 ; Witness, 1985 ; Dead Poets Society – Le Cercle des poètes disparus –, 1989 ; Fearless – État second –, 1994), Clint Eastwood (Firefox – L'Arme absolu –, 1982)... Il a également travaillé avec Roger Vadim (Barbarella, 1967), Luchino Visconti (La Caduta degli dei – Les Damnés –, 1969), Alfred Hitchcock (Topaz – L'Étau –, 1969), Volker Schlöndorff (Die Blechtrommel – Le Tambour –, 1979 ; Die Fälschung – Le Faussaire –, 1981)... Utilisant à ses débuts des effectifs restreints, Maurice Jarre a adopté à Hollywood, un style symphonique tirant parti de toutes les ressources d'un grand orchestre. Il a également parfaitement su mettre à profit l'« exotisme » des films : la partition de Lawrence d'Arabie recourt ainsi largement aux modes chromatiques et inclut dans son instrumentation un instrument rarement utilisé au cinéma, les ondes Martenot ; celle de Docteur Jivago manifeste l'influence de Borodine, use de la balalaïka et de chants populaires russes. Dans les années 1980, Maurice Jarre s'intéressera aux sons électroniques, échantillonnés et mixés avec ceux d'instruments acoustiques – comme dans Witness, qui ne nécessite que cinq exécutants –, ou aux formations traditionnelles, comme dans The Year of Living Dangerously, dans lequel figure un gamelan javanais. Maurice Jarre a également composé des ballets (le plus connu est Notre-Dame de Paris, composé pour l'Opéra de Paris en 1964) et de la musique pour orchestre (Mouvements en relief, 1954 ; Passacaille à la mémoire d'Honegger, 1956 ; Polyphonies concertantes, pour piano, trompette, percussion et orchestre, 1959 ; Mobiles, pour violon et orchestre, 1961.Juliette Garrigues
Å’uvres de concert
Trois danses pour ondes Martenot et percussion Passacaille à la mémoire d'Arthur Honegger pour orchestre Ronde de nuit, pour orchestre Mobiles pour violon et orchestre Suite ancienne pour piano et percussion Couleurs du temps pour 5 cuivres, cordes, timbales et percussion Le Premier Jour du printemps pour percussion Cantate pour une démente pour voix, chœur et orchestre Étoiles de midi Concerto pour cordes et percussion Polyphonies concertantes pour piano, trompette, percussion et orchestre Concerto pour EVI et orchestre Mouvements en relief pour orchestre Béatitudines pour chœur Sinfonietta Ballets Fâcheuse Rencontre Le Jardin de Tinajatama Notre-Dame de Paris Masques de femmes Le Poète assassiné Winter War Les Filles du feu Maldoror Divers Loin de Rueil, comédie musicale Ubu Le Palais du vent violent Armida, opéra-ballet Giubileo pour chœur et orchestre Ruisselle, opéra
Récompenses
Une étoile porte son nom sur la promenade de la gloire d'Hollywood.
Il a été récompensé de trois Oscars de la meilleure musique de film, chaque fois pour un film de David Lean :
1963 : Lawrence d'Arabie 1966 : Docteur Jivago 1985 : La Route des Indes
Récompensé également de quatre Golden Globes de la meilleure musique de film :
1966 : Docteur Jivago 1985 : La Route des Indes 1989 : Gorilles dans la brume 1996 : Les Vendanges de feu
autres récompenses
1985 : 7 d'or, catégorie : Meilleure musique / Meilleure musique originale, pour Au nom de tous les miens 1986 : César d'honneur 1989 : BAFTA de la meilleure musique de film pour Le Cercle des poètes disparus 1991 : Récompense « Top Box Office Films » par l'American Society of Composers, Authors, and Publishers, pour Ghost 1997 : Prix SACD, catégorie : Musique 1999 : Hommage du Festival du cinéma américain de Deauville 2005 : Prix du cinéma européen European Award d'honneur-Contribution européenne au cinéma mondial 2009 : Ours d'Or d'honneur pour l'ensemble de sa carrière
Nomination pour
1963 : Golden Globe de la meilleure musique de film, avec Lawrence d'Arabie 1964 : Oscar de la meilleure musique de film, avec Les Dimanches de Ville d'Avray 1967 : Golden Globe de la meilleure musique de film, avec Paris brûle-t-il ? 1973 : Golden Globe de la meilleure musique de film, avec Juge et Hors-la-loi 1973 : Oscar de la meilleure chanson originale, avec Juge et Hors-la-loi (pour la chanson Marmalade, Molasses & Honey) 1976 : Golden Globe de la meilleure musique de film, avec L'Homme qui voulut être roi 1978 : Oscar de la meilleure musique de film, avec Le Message 1986 : Oscar de la meilleure musique de film, avec Witness 1986 : Golden Globe de la meilleure musique de film, avec Witness 1987 : Golden Globe de la meilleure musique de film, avec Mosquito Coast 1989 : Oscar de la meilleure musique de film, avec Gorilles dans la brume 1991 : Oscar de la meilleure musique de film, avec Ghost
Filmographie cinéma
Années 1950
1957 : Le Feu aux poudres de Henri Decoin 1959 : La Tête contre les murs de Georges Franju 1959 : Les Dragueurs de Jean-Pierre Mocky 1959 : La Bête à l'affût de Pierre Chenal 1959 : Les Étoiles de midi de Marcel Ichac 1959 : Vous n'avez rien à déclarer ? de Clément Duhour
Années 1960
1960 : Les Yeux sans visage de Georges Franju 1960 : La Main chaude de Gérard Oury 1960 : La Corde raide de Jean-Charles Dudrumet 1960 : Drame dans un miroir (Crack in the Mirror) de Richard Fleischer 1960 : Recours en grâce de László Benedek 1961 : Le Puits aux trois vérités de François Villiers 1961 : Le Président d'Henri Verneuil 1961 : Pleins feux sur l'assassin de Georges Franju 1961 : Le Grand Risque (The Big Gamble) de Richard Fleischer 1961 : Amours célèbres de Michel Boisrond 1962 : Le Soleil dans l'œil de Jacques Bourdon 1962 : Les Oliviers de la justice de James Blue 1962 : L'Oiseau de paradis de Marcel Camus 1962 : Ton ombre est la mienne d'André Michel 1962 : Thérèse Desqueyroux de Georges Franju 1962 : Le Jour le plus long (The Longest Day) de Ken Annakin, Andrew Marton, Darryl F. Zanuck et Bernhard Wicki 1962 : Les Dimanches de Ville d'Avray de Serge Bourguignon 1962 : Lawrence d'Arabie (Lawrence of Arabia) de David Lean 1963 : Un roi sans divertissement de François Leterrier 1963 : Judex de Georges Franju 1964 : Et vint le jour de la vengeance (Behold a Pale Horse) de Fred Zinnemann 1964 : Le Train (The Train) de John Frankenheimer et Bernard Farrel 1964 : Week-end à Zuydcoote de Henri Verneuil 1965 : L'Obsédé (The Collector) de William Wyler 1965 : Le Docteur Jivago (Doctor Zhivago) de David Lean 1966 : Paris brûle-t-il ? de René Clément 1966 : Les Professionnels (The Professionals) de Richard Brooks 1966 : Un hold-up extraordinaire (Gambit) de Ronald Neame 1966 : Grand Prix de John Frankenheimer 1967 : La Nuit des généraux (The Night of the Generals) d'Anatole Litvak 1967 : La Vingt-cinquième heure d'Henri Verneuil 1968 : Pancho Villa (Villa Rides) de Buzz Kulik 1968 : Cinq cartes à abattre (5 Card Stud) de Henry Hathaway 1968 : L'Homme de Kiev (The Fixer) de John Frankenheimer 1968 : Isadora de Karel Reisz 1969 : The Extraordinary Seaman de John Frankenheimer 1969 : Les Damnés (La Caduta degli dei) de Luchino Visconti 1969 : L'Étau (Topaz) d'Alfred Hitchcock
Années 1970
1970 : Las Vegas, un couple (The Only Game in Town) de George Stevens 1970 : El Condor de John Guillermin 1970 : La Fille de Ryan (Ryan's Daughter) de David Lean 1971 : Une saison en enfer (Una stagione all'inferno) de Nelo Risi 1971 : Trois soirées au Plaza (Plaza Suite) d'Arthur Hiller 1971 : Soleil rouge de Terence Young 1972 : Jeanne, papesse du diable (Pope Joan) de Michael Anderson 1972 : Juge et Hors-la-loi (The Life and Times of Judge Roy Bean) de John Huston 1972 : De l'influence des rayons gamma sur le comportement des marguerites (The Effect of Gamma Rays on Man-in-the-Moon Marigolds) de Paul Newman 1973 : Le Piège (The MacKintosh Man) de John Huston 1973 : Les Noces de cendre (Ash Wednesday) de Larry Peerce 1974 : Grandeur nature de Luis GarcÃa Berlanga 1974 : L'ÃŽle sur le toit du monde (The Island at the Top of the World) de Robert Stevenson 1975 : Mandingo de Richard Fleischer 1975 : La Brigade du Texas (Posse) de Kirk Douglas 1975 : Mr. Sycamore de Pancho Kohner 1975 : L'Homme qui voulut être roi (The Man Who Would Be King) de John Huston et John Foreman 1976 : Le Message (The Message / Ar Risala) de Moustapha Akkad 1976 : Parole d'homme (en) (Shout at the Devil) de Peter R. Hunt 1976 : Le Dernier nabab (The Last Tycoon) d'Elia Kazan 1977 : Crossed Swords de Richard Fleischer 1977 : Il était une fois la légion (March or Die) de Dick Richards 1978 : La Tortue sur le dos de Luc Béraud 1978 : Two Solitudes (en) de Lionel Chetwynd 1979 : Le Tambour (Die Blechtrommel) de Volker Schlöndorff 1979 : Qui a tué le président ? (Winter Kills) de William Richert 1979 : The Magician of Lublin (en) de Menahem Golan
Années 1980
1980 : The Black Marble (en) de Harold Becker 1980 : The American Success Company de William Richert 1980 : The Last Flight of Noah's Ark (en) de Charles Jarrott 1980 : Resurrection de Daniel Petrie 1981 : Le Lion du désert (Lion of the Desert) de Moustapha Akkad 1981 : Le Faussaire (Die Fälschung) de Volker Schlöndorff 1981 : Le Dernier clairon (Taps) de Harold Becker 1982 : Firefox, l'arme absolue (Firefox) de Clint Eastwood 1982 : Docteurs in love (Young Doctors in Love) de Garry Marshall 1982 : Don't Cry, It's Only Thunder (en) de Peter Werner 1982 : L'Année de tous les dangers (The Year of Living Dangerously) de Peter Weir 1983 : Au nom de tous les miens de Robert Enrico 1984 : Top Secret! de Jim Abrahams, David Zucker et Jerry Zucker 1984 : Dreamscape de Joseph Ruben 1984 : La Route des Indes (A Passage to India) de David Lean 1985 : Witness: Témoin sous surveillance (Witness) de Peter Weir 1985 : Mad Max: au-delà du dôme du tonnerre (Mad Max Beyond Thunderdome) de George Miller et George Ogilvie 1985 : La Promise (The Bride) de Franc Roddam 1985 : Enemy (Enemy Mine) de Wolfgang Petersen 1986 : Tai-Pan (en) de Daryl Duke 1986 : Mosquito Coast (The Mosquito Coast) de Peter Weir 1986 : Les Guerriers du soleil (en) (Solarbabies) d'Alan Johnson 1987 : Le Palanquin des larmes de Jacques Dorfmann 1987 : Shuto shoshitsu de Toshio Masuda 1987 : Sens unique (No Way Out) de Roger Donaldson 1987 : Liaison fatale (Fatal Attraction) d'Adrian Lyne 1987 : Julia et Julia (Giulia e Giulia) de Peter Del Monte 1987 : Gaby: A True Story de Luis Mandoki 1988 : Wildfire de Zalman King 1988 : Pleine lune sur Parador (Moon over Parador), de Paul Mazursky de Paul Mazursky 1988 : Gorilles dans la brume (Gorillas in the Mist: The Story of Dian Fossey) de Michael Apted 1988 : Distant Thunder (en) de Rick Rosenthal 1989 : Le Ciel s'est trompé (Chances Are) d'Emile Ardolino 1989 : Le Cercle des poètes disparus (Dead Poets Society) de Peter Weir 1989 : Prancer de John D. Hancock 1989 : Ennemies, une histoire d'amour (Enemies: A Love Story) de Paul Mazursky
Années 1990
1990 : Ghost de Jerry Zucker 1990 : Solar Crisis de Richard C. Sarafian 1990 : La Mort sera si douce (After Dark, My Sweet) de James Foley 1990 : L'Échelle de Jacob (Jacob's Ladder) d'Adrian Lyne 1990 : Un ange... ou presque (Almost an Angel) de John Cornell 1991 : Ta mère ou moi (Only the Lonely) de Chris Columbus 1991 : Cruel dilemme (en) (Fires Within) de Gillian Armstrong 1992 : Rakuyô de Rou Tomono 1992 : La Différence (School Ties) de Robert Mandel 1992 : Agaguk (Shadow of the Wolf) de Jacques Dorfmann 1993 : Mr. Jones de Mike Figgis 1993 : État second (Fearless) de Peter Weir 1995 : Les Vendanges de feu (A Walk in the Clouds) d'Alfonso Arau 1996 : The Sunchaser de Michael Cimino 1997 : Le Jour et la nuit de Bernard-Henri Lévy 1999 : Sunshine d'István Szabó
Années 2000
2000 : Je rêvais de l'Afrique (en) (I Dreamed of Africa) de Hugh Hudson
Télévision
1952 : Hôtel des Invalides de Georges Franju (documentaire) 1956 : Toute la mémoire du monde d'Alain Resnais (documentaire) 1956 : Le Théâtre national populaire de Georges Franju (documentaire) 1956 : Sur le pont d'Avignon de Georges Franju (documentaire) 1957 : Le Bel indifférent de Jacques Demy (court-métrage) 1959 : Vel' d'Hiv de Guy Blanc et Frédéric Rossif (documentaire) 1960 : De fil en aiguille (TV) 1961 : Loin de Rueil (TV) 1961 : Le Temps du ghetto de Frédéric Rossif (documentaire) 1962 : Othello (TV) 1962 : Les Travestis du diable (documentaire) 1963 : Les Rustres (TV) 1963 : Les Animaux de Frédéric Rossif (documentaire) 1963 : Pour l'Espagne de Frédéric Rossif (documentaire) 1963 : Mourir à Madrid de Frédéric Rossif (documentaire) 1965 : Le Dernier matin d'Arthur Rimbaud de Jean Barral (court-métrage) 1965 : Le Dernier matin de Guy de Maupassant de Maurice Fasquel (court-métrage) 1972 : Jean Vilar, une belle vie de Jacques Rutman (documentaire) 1974 : Great Expectations (TV) 1975 : The Silence (TV) 1977 : Jésus de Nazareth (Jesus of Nazareth) (feuilleton TV) 1978 : The Users (en) (TV) 1978 : Mourning Becomes Electra (feuilleton TV) 1978 : Ishi: The Last of His Tribe (en) (TV)
Année 1980
1980 : Shogun (TV) 1980 : Shogun (feuilleton TV) 1980 : Enola Gay: The Men, the Mission, the Atomic Bomb (TV) 1981 : Vendredi ou la vie sauvage (TV) 1982 : Coming Out of the Ice (TV) 1984 : The Sky's No Limit (TV) 1984 : Samson and Delilah (TV) 1985 : Au nom de tous les miens feuilleton TV 1986 : Apology TV 1988 : Le Meurtre de Mary Phagan The Murder of Mary Phagan TV 2001 : 'Topaz': An Appreciation by Film Critic/Historian Leonard Maltin vidéo 2001 : In Love with the Desert (vidéo) 2001 : 1943 l'ultime révolte Uprising TV
Films biographiques
Bandes Originales - Maurice Jarre
Posté le : 13/09/2015 23:18
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