Hello les amis,

Je me questionne aux abords de ces vacances bien méritées pour nous tous : Souhaitez-vous que nous continuions les défis hebdomadaires ou préférez-vous que nous fassions une pause et que nous reprenions à la rentrée ?

Merci de me livrer votre avis sur la question.

Couscous

Allez, je vais répondre le premier.
Je sens bien le break, histoire de reposer nos plumes, ensoleiller nos neurones et donner à Arielle le temps de refaire son retard (arf).
Bises
Donald le fourbe

Chère Couscous,

Je réagis en deuxième position, en diablotin.
Sans vouloir être des défis un assassin,
Qu'il me soit permis, sur un ton badin,
d'ajouter aux dires de Donald un brin :
Reposons nos neurones baladins,
deux mois seulement, enfin,
et puis nous reprendrons ce chemin,
qui, pour ma part, m'est bien divin.
Alors les défis seront notre nouveau destin.

Merci de nous offrir la possibilité de répondre à des défis. Ils sont stimulants. Ils nous permettent de nous dépasser, d'aller au delà de nous même.
J'ai beaucoup aimé y participer. Je souris encore au souvenir de l'enquête policière de Paul Hisser. Comme j'ai ri!

Bises et amitiés de Bourgogne.

Jacques

Perso. Rentrée OK. Bises.

TRANSFÉRÉ

hello!

Pour ma part, cela ne fait pas très longtemps que je participe aux défis alors je me demande si les vacances ne vont pas casser ma dynamique... J'ai vraiment du mal à avoir de la constance et les vacances sont un moment où j'ai le plus de temps.
Je serai donc d'avis qu'il faut nous donner quelques 'devoirs de vacances' histoire de ne pas perdre la main... Mais pas forcément avec les contraintes de temps des défis hebdo.

Bon, ce n'est qu'un avis qui se rangera vite à celui de la majorité.

Amitié,

Les vacances ne sont pas une période de vide.
Ce serait dommage que vous cessiez toutes activités au moment où certain sont plus disponibles.
Bien sûr il y aura des absents, mais il y aura aussi des présents plus actifs que jamais.
Mais ce n'est que mon avis, puisque je ne trouve pas assez de temps pour participer avec vous.et je le regrette.

Je constate que les avis sont partagés. Emma n'a pas tort, il n'y a jamais eu d'obligation de participer et chacun peut voir selon son emploi du temps.

En 2014, on avait maintenu le cap en juillet et août.

Laissons donc ainsi...

Merci pour vos avis éclairés.

Bisous de Couscous qui prépare ses valises...

Perso. Laisser ainsi. OK.Bises

J'étais tranquillement en train d’admirer le vol d’une mouche, un spectacle passionnant, quand Irina rentra dans mon bureau en mode furie.
— Don, il faut choisir maintenant !
— D’accord Irina, je vous épouse ! Nous irons célébrer notre mariage à l’église de votre choix, je me convertirai au socialisme et nous aurons dix enfants.
— Ce n’est pas le sujet, Don ! Concentrez-vous ! Delphine vous a envoyé un message sur les défis de juillet et août.
— Quelle était la question ?
— Vous avez déjà répondu.
— La chaleur estivale a fait fondre mes petites cellules grises, Irina. Faites au mieux et résumez moi l’affaire !

Irina me regarda telle la psychothérapeute devant son pire patient, un pauvre gars combinant Parkinson et Alzheimer avec un brin de schizophrénie et surtout un gros poil dans la main.
— Elle demande si la communauté des auteurs de l’Orée des Rêves doit continuer les défis pendant la période de congés estivaux ou remettre cet exercice littéraire à la rentrée de septembre. Dans votre première réponse, certainement sous le coup de l’émotion ou de la canicule, vous avez opté pour la deuxième solution.
— Alléluia !
— Ce n’est pas fini, Don ! D’autres ont répondu, nous sommes en démocratie. Les avis sont partagés entre continuer pendant juillet et août ou faire un break de deux mois. Ce sont les dernières nouvelles de ce mini-sondage.
— Quel rapport avec moi ?
— Aucun, Don ! Je comptais seulement sur un peu de compassion de votre part, ô vous détective privé plein de ressources et décideur devant l’Eternel.

Irina accompagna sa tirade par un battement de cils à la Rita Hayworth. Même si je connaissais son truc depuis des lustres, je tombais toujours dans son piège. Je n’y pouvais rien, la génétique m’avait affublé d’une faiblesse pour les grandes brunes aux longues jambes, dans une sorte de malédiction darwinienne où toutes les Irina du monde survivaient à l’inertie d’un univers dirigé par des gars comme moi. Je signai les papiers, coloriai quelques feuilles, balbutiai un ou deux « Agreuh » puis acceptai la première option, celle où le défi hebdomadaire continuerait sous les quarante degrés centigrade de l’été parisien, quand les juilletistes tordraient du cul sur la plage suivis par des aoutiens abonnés au pastis matinal. Irina me frotta le dos, me prit la patte dans sa main et me gratifia d’une caresse sur le nez avant de me renvoyer à la niche. J’en conclus que j’en étais quitte pour écrire quelques petites histoires pour répondre aux défis littéraires d’une organisation secrète et surpuissante plus connue sous le nom de l’Orée des Rêves.