Débutant
Inscrit: 25/06/2014 16:56
De 19, Bd de la These,13003,Marseille
Niveau : 1; EXP : 2 HP : 0 / 0 MP : 0 / 20
|
Confession d’un défaitiste…Un matin comme les autres…
Le jour commence à poindre à travers les volets ; Mon œil ouvre le bal de ce ènième jour. Je suis seul, fatigué, l’esprit pesant, si lourd, Si saturé des causes qui m’ont persécuté.
Mais TOI…tu n’es plus là . Tu es partie, chérie. Il fallait bien qu’un soir, tu me laissas la place, Pour un immense vide, avec le temps qui passe. Comment pouvais tu donc accompagner ma vie ?
Ma vie…d’un angoissé qui fait toujours la gueule ; Ma vie…d’un pleurnichard qui n’est jamais heureux ; Ma vie…d’un pauvre type qui marche sur des œufs, Inquiet, en permanence…tu te trouvais si seule.
Nous ne partagions rien, fermés, dans NOTRE cage ; Moi, perdu dans ma bulle, toi, étouffée de suivre. Nous étions le « complexe » essayant de survivre… Coupés des sentiments qui font le vrai partage.
AU BOUT DE NOTRE REVE, condamnés à un four… Et je savais « déjà  » ton adieu…avant toi. Tu as pris ta valise, un soir, sans grand émoi… Un soir, comme les autres, sur la fin d’un amour.
Tiens ! Une larme perle sous ma paupière close… Que vais-je devenir, après le grand échec ? Avions-nous espéré un adieu moins…si sec ? Même dans le jardin, se sont fermées les roses.
Depuis trente cinq jours, depuis trente cinq nuits, Les volets restent clos, fermés sur ton départ. Je végète, fantome, déjà si en retard… A rejoindre ma mort… Que deviens-tu, chérie ?
Je te voudrais heureuse, Amie, tu le mérites. Bah…je me laisse aller…il faut que je te quitte ; On m’attend, dans l’AILLEURS……….
DIS…C est quoi le bonheur ?
Posté le : 25/06/2014 20:22
Edité par Loriane sur 26-06-2014 13:59:36
|