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De Montpellier
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Gabriel Fauré nait à Pamiers (Ariège) le 12 mai 1845, il meurt à Paris le 4 novembre 1924. Compositeur. "Fauré est le musicien des élégies, des confidences murmurées et de l’intimité; il rêve en musique et convie l’auditeur à partager son rêve de mansuétude universelle." Jean-Michel Nectoux
Il est le plus jeune des six enfants de Toussaint-Honoré Fauré (1810-1885) et de Marie-Antoinette-Hélène Lalène-Laprade (1809-1887). En 1849 la famille s'installe près de Foix, à Montgauzy où Toussaint-Honoré est nommé directeur de l'École normale. Fauré prend l'habitude de jouer l'harmonium de la chapelle, jouxtant l'école, il est conseillé par une vieille dame aveugle. En octobre 1854, après avoir obtenu une bourse, Fauré entre à l'École de musique classique et religieuse de Paris, communément appelée École Niedermeyer. En plus des études générales, il suit des cours d'orgue (Clément Loret), d'harmonie (Louis Dietsch), de contrepoint et de fugue (Xavier Wackenthaler), de piano de plain-chant, de polyphonie et de composition (Niedermeyer).
Le 28 juillet 1865, après avoir régulièrement obtenu des premiers prix de piano et de composition, il quitte l'école les études achevées, en remportant le premier prix de composition avec Le Cantique de Jean Racine (opus11).
Il obtient son premier poste d'organiste à la basilique Saint-Sauveur de Rennes, qu'il occupe de janvier 1866 à mars 1870. Il donne également quelques leçons de piano et compose intensément. En 1868 assure la partie d’harmonium dans le Faust de Gounod au Grand Théâtre de Rennes
Entre mars et août 1870 il est organiste (orgue de chœur) à l'église Notre-Dame-de-Clignancourt de Paris, il s'enrôle dans la Garde Impériale le 16 août (guerre franco-prussienne) et participe à plusieurs engagements dans la région parisienne.
Le 25 février 1871, un mois après la capitulation, il participe à la création de la Société Nationale de Musique (avec : César Franck, Ernest Guiraud, Camille Saint-Saëns, Jules Massenet, Henri Duparc, Jules Garcin Théodore Dubois, Paul Taffanel et Romain Bussière). Il habite alors avec son frère Arnaud à Paris (45 rue des Missions). Il est démobilisé le 9 mars 1871.
Il est pendant quelques semaines organiste de l'église Saint-Honoré d'Eylau dans le XVIe arrondissement de Paris. Pendant la Commune de Paris il réside à Rambouillet, l'été, il enseigne la composition à Cours-sous-Lausanne (en Suisse), où l'École Niedermeyer est réfugiée.
Il est de retour à Paris en octobre, et loge à l'emplacement actuel du 167 boulevard de Saint-Germain (qui était alors le 19 rue Taranne). Il tient l'orgue du chœur de l'église Saint-Sulpice, où Widor tient le grand orgue.
Il fréquente le salon de Saint-Saëns où se rencontre la société musicale parisienne, et au cours de l'année 1872, Saint-Saëns l' introduit dans le salon de Claudine Viardot, où il rencontre, en plus des fondateurs de la Société Nationale de Musique, Renan, Gounod, George Sand ou Flaubert.
En 1874, il est suppléant de Saint-Saëns à l'église de la Madeleine (Messager le remplace à Saint-Sulpice), et il déménage rue de Parme. Il est élu le 22 novembre 1874, Secrétaire de la Société Nationale de Musique.
En avril 1877 Théodore Dubois remplace Saint-Saëns au grand orgue de la Madeleine, Fauré est nommé maître de choeur. En 1877, il déménage rue Mosnier (IXe arrondissement de Paris). Il est fiancé quelques temps à Marianne Viardot, la fille de Pauline. Il compose à cette époque sa Première sonate pour violon, son Premier quatuor avec piano et la Ballade pour piano.
En décembre 1877 il est à Weimar où il rencontre Liszt qui trouve sa Ballade trop difficile à jouer.
En avril 1879 il est à Cologne où il assiste à la représentation de l' Or du Rhin et de La Walkyrie. Il passe l'été 1881 à Villerville en Normandie et y compose sa Messe basse pour chœur de femmes. En 1882, il rencontre de nouveau Liszt à Zürich.
Il se marie le 27 mars 1883 avec Marie Frémiet, la fille d'un sculpteur en vogue. Ils s'installent dans le XVIIe arrondissement de Paris, 93 avenue de Niel. Ils ont deux fils, Emmanuel (1883-1971) et Philippe (1889-1954).
Pour subvenir aux besoins de sa famille, il organise un service journalier à la Madeleine (son «travail de mercenaire»), et donne des leçons de piano et d'harmonie.
Ses musiques lui rapportent peu, son éditeur, qui vend ses partitions 50 francs pièce, ayant le tout des droits.
En 1886, il achève son second quatuor avec piano et déménage au 154 boulevard Malesherbes.
En 1885 l'Institut lui décerne le prix Chartier pour sa musique de chambre.
Le 16 janvier 1888, il dirige des esquisses de son Requiem à l'occasion des obsèques de H. Lesoufaché à l'église de la Madeleine. En mars 1888, il fait un premier voyage à Bayreuth en compagnie de Messager et y retrouve Debussy et Bréville.
En mai-juin 1891, il séjourne à Venise, où il est reçu par la princesse de Polignac, puis demeure brièvement à Florence. Il a une liaison avec Emma Bardac, qui sera la seconde épouse de Debussy. Il lui dédicace La bonne chanson et le Salve regina.
Le premier juin 1892, il est nommé inspecteur des conservatoires nationaux en province, en remplacement d'Ernest Guiraud. Il entame une longue série de voyages à Londres, où il se rendra chaque année jusqu'en 1900 (où ses amis les Maddisons, Frank Schuster et John Singer Sargent organisent des concerts privés).
Le 21 janvier 1893, une première version de son Requiem est donnée à l'église de la Madeleine (il ne sera finalisé dans son orchestration qu'en 1900), et le 26 octobre, pour les obsèques de Charles Gounod, il dirige la maîtrise alors que Saint-Saëns tient le grand orgue.
Le 19 mai 1894, il est candidat à l'Institut, mais Théodore Dubois est élu par 20 voix contre 4.
Le 10 Janvier 1896, il tient le grand orgue pour les obsèques de Paul Verlaine, et le 2 juin il succède à Théodore Dubois. Il subit un nouvel échec à l'Institut, Charles Lenepveu est élu par 19 voix contre 4.
Le 2 juin 1896 il succède à Théodore Dubois au grand orgue de l'église de la Madeleine, en octobre il succède à Massenet à la classe de composition du Conservatoire de musique. Ce poste lui avait été refusé quatre ans auparavant, car Ambroise Thomas trouvait sa musique trop révolutionnaire. Il a comme élèves : Ravel, Florent Schmitt, Koechlin, Louis Aubert, Roger-Ducasse, Enescu, Paul Ladmirault, Nadia Boulanger, Émile Vuillermoz.
En 1898, il compose une musique de scène pour la version anglaise de Pelléas et Mélisande de Maeterlinck (pour petit orchestre, qui est orchestré par Koechlin). Le 12 juillet, dans le cadre de l'Exposition universelle, son Requiem dans sa version chœur et orchestre est donnée sous la direction de Paul Taffanel.
Les 27 et 28 août 1900 il crée Prométhée à Béziers, dans un théâtre de plein-air devant 15.000 spectateurs. Cette œuvre est conçue pour trois ensembles de cuivres, 100 cordes, 12 harpes, chœurs et solistes. Cette œuvre sera redonnée au même endroit les 25 et 27 août 1901, et à Paris les 5 et 15 décembre 1907. Avec l'aide de Roger Ducasse, il en réalise une version pour orchestre symphonique qui est créée à l'Opéra de Paris le 17 mai 1817. C'est au cours de la première, à Béziers qu'il rencontre la pianiste Marguerite Hasselmans (sœur du violoncelliste et chef d'orchestre Louis Hasselmans) qui restera sa compagne.
De 1903 Ã 1921 il est critique musical au Figaro.
Le 5 avril 1903 il est fait Officier de la Légion d'honneur. Pendant l'été, il est sujet aux premiers troubles auditifs.
Entre 1904 et 1913 il enregistre une série de rouleaux pour la société Hupfeld and Welte-Mignon dont on a conservé ou réédité : 3e Romance sans paroles, 1ère Barcarolle, 3e Prélude, Pavane, 3e Nocturne, Sicilienne, Thème et variations, 1ère, 3e et 4e Valses-caprices.
Le 15 juin 1905, il succède à Théodore Dubois à la direction du conservatoire de musique de Paris. Il y entreprend quelques réformes qui lui valent le surnom de «Robespierre».
Il est élu en 1909 à l'Institut au fauteuil laissé vacant par Ernest Reyer.
En 1910 il entreprend un tournée de concerts qui le mène à Saint-Petersburg, Helsinki et Moscou.
La première de Pénélope le 10 mai 1913 à Paris est un triomphe, mais la faillite du Théâtre des Champs-Élysées, au mois d'octobre, interrompt les représentations, et la première guerre mondiale ne laisse pas envisager une reprise dans un autre théâtre
En 1917 il est élu président de la Société Nationale de Musique. Le 26 avril il est fait Grand officier de la Légion d'honneur, et le premier octobre suivant quitte la direction du Conservatoire. Le 20 juin 1922, on lui rend un hommage nationale à la Sorbonne.
Le 31 janvier 1923 il reçoit la Grande croix de la Légion d'honneur
Catalogue des Å“uvres
Op. 1 (1860-1971), Romances pour voix et piano (1. Le Papillon et la Fleur ; 2. Mai) op. 2 (1869-1876), Romances pour voix et piano (1. Dans les Ruines d’une Abbaye ; 2. Les Matelots) op. 3 (1871-1879), Romances pour voix et piano (1. Seule ; 2. Sérénade Toscane) op. 4 (1871), Romances pour voix et piano (1. Chanson du pêcheur (Lamento) ; 2. Lydia) op. 5 (1871-1879), Romances pour voix et piano (1. Chant d’Automne ; 2. Rêve d’Amour ; L’Absent) op. 6 (1876), Romances pour voix et piano (1. aubade ; 2. Tristesse ; 3. Sylvie) op. 7 (1871), Romances pour voix et piano (1. Après un Rêve (Levati sol que la luna è levata) ; 2. Hymne ; 3. Barcarolle) op. 8 (1871), Romances pour voix et piano (1. Au bord de l’eau ; 2. La Rançon ; 3. Ici-bas !) op. 10 (1874), Deux duos pour sopranos (1. Puisque ici-bas... ; 2. Tarantelle) op. 11 (1863-1864), Cantique de Racine, pour chœur mixte et piano ou orgue op. 12 (1875), Les Djinns, pour chœur mixte et piano ou orchestre, sur un poème de Victor Hugo op. 13 (1875-1876), Sonate pour violon et pian1., en la majeur [conducteur] op. 14 (1878), Concerto pour violon et orchestre (Allegro ; Andante)t op. 15 (1879), Quatuor pour piano et cordes n° 1, en ut mineur op. 16 (1878-1879), Berceuse pour violon et piano [aussi pour flûte et piano, violoncelle et piano, violon ou violoncelle et orchestre] [ violon ou violoncelle et piano] op. 17 (1863), Trois Romances sans paroles pour piano (1. Andante, quasi allegretto, en la bémol ; 2. Allegro molto, en la mineur ; 3. Andante moderato, en la bémol) op. 18 (1880), Romances pour voix et piano (1. Nell ; 2. Le Voyageur ; 3. Automne) op. 19 (1879), Ballade (fa dièse) [avec orchestre, 1881] [version piano seul] op. 20 et 68 (1872-1873), Suite d’orchestre en fa (Allegro - Andante - Gavotte - Finale) — op. 68 (1895), Allegro Symphonique, arrangement pour piano à 4 mains par Léon Boëlmann de l’Allegro initial de la Symphonie en fa op. 20. op. 21 (1880), Poème d'un jour, sur des poèmes de Ch. Grandmougin (1. Rencontre ; 2. Toujours ; 3. Adieu) op. 22 (1881), Le Ruisseau, pour 2 voix de femmes et piano ou petit orchestre op. 23 (1882), Trois mélodies, pour vois et piano ( 1. Les Berceaux ; 2. Notre Amour ; 3. Le Secret) op. 24 (1883), Élégie, en ut mineur, pour violoncelle et piano [aussi pour violon et piano, violoncelle et orchestre] op. 25 (1881-1882), Impromptu n° 1 en mi bémol majeur, pour piano op. 26 (1881-1882), Barcarolle n° 1 en la mineur, pour piano op. op. 27 (1883), Deux mélodies, pour voix et piano (1. Chanson d’Amour ; 2. La Fée aux Chansons) op. 28 (1882), Romance en si bémol majeur, pour violon et piano [aussi pour violon et orchestre] op. 29 (1882), La Naissance de Vénus, scène mythologique pour soli, chœurs et orchestre op. 30 (1883), Valse-Caprice n° 1 en la majeur, pour piano op. 31 (1883), Impromptu n° 2 en fa mineur, pour piano op. 32 (1883), Mazurka en si bémol, pour piano op. 33 (1875-1883), Trois Nocturnes pour piano (1. en mi bémol mineur ; 2. en si majeur ; 3. en la bémol majeur) op. 34 (1883), Impromptu n° 3 en la bémol, pour piano op. 35 (1884), Madrigal, quatuor vocal pour soprano, alto, ténor et basse, ou chœur, avec piano ou orchestre op. 36 (1884), Nocturne n° 4 en mi bémol majeur, pour piano op. 37 (1884), Nocturne n° 5 en si bémol majeur, pour piano op. 38 (1884), Valse-Caprice n° 2 en ré bémol majeur, pour piano op. 39 (1884), Quatre mélodies (1. Aurore ; Fleur jetée ; 3. Le Pays des Rêves ; 4. Les Roses d’Ispahan) op. 40 (1884), Symphonie en ré mineur op. 41 (1885), Barcarolle n° 2 en sol majeur, pour piano op. 42 (1885), Barcarolle n° 3 en sol bémol majeur, pour piano op. 43 (1886), Deux mélodies (1. Noël ; 2. Nocturne) op. 44 (1886), Barcarolle n° 4 en la bémol majeur, pour piano op. 45 (1886), Quatuor n° 2 pour piano et cordes, en sol mineur op. 46 (1887), Deux mélodies (1. Les Présents ; 2. Clair de lune) op. 47 (1887-1888), Deux motets (1. O Salutaris, en si pour baryton et orgue ; 2. Maria, Mater Gratiæ, pour soprano et mezzo-soprano ou ténor et baryton et orgue) op. 48 (1887-1890), Messe de Requiem, pour soprano, baryton, choeur, orgue et orchestre (1877, révisé en 1887-1990, orchestré en 1899) [réduction pour orgue] op. 49 (vers 1888), Petite pièce en sol, pour violoncelle et piano op. 50 (1887), Pavane, pour piano (aussi version pour chœur et orchestre) [ pour flûte ou violon et piano, version Bussière] [pour violoncelle ou alto et piano, version Bussière] op. 51 (1888), Quatre mélodies (1. Larmes ; 2. Au Cimetière ; 3. Spleen ; 4. La Rose) op. 52 (1888), Caligula, musique de scène pour chœur et orchestre op. 54 (vers 1890), Ecce Fidelis Servus, motet pour soprano, ténor et baryton, accompagnement d’orgue et de contrebasse op. 55 (vers 1890), Tantum ergo, motet pour soprano ou ténor solo, chœur, accompagnement d’orgue, piano ou harpe et de contrebasse op. 56 (1893-1896), Dolly , six pièces pour piano à 4 mains (1. Berceuse ; 2. Mi-a-ou ; 3. Le jardin de Dolly ; 4. Kitty-Valse ; 5. Tendresse ; 6. Le Pas espagnol [orchestration par Henri Rabaud en 1906] op. 57 (1889), Shylock, musique de scène pour orchestre (1. Chanson (Edmond Haraucourt) ; 2. Entr’acte ; 3. Madrigal (Edmond Haraucourt) ; 4. Épithalame ; 5. Nocturne ; 6. Final) op. 58 (1891), Cinq mélodies, dites de Venise (1891), pour voix et piano sur des poèmes de Verlaine (1. Mandoline ; 2. En sourdine ; 3. Green ; 4. À Clymène ; 5. C’est l’extase) op. 59 (1887-1893), Valse-Caprice n° 3 en sol bémol majeur, pour piano op. 60 et 89 (1891-1905), Quintette n° 1 en ré mineur, pour piano et quatuor à cordes (1891-1894, révisé de 1903 à 1905) op. 61 (1892-1893), La Bonne Chanson (1892-1893), pour voix et piano, sur des poèmes de Verlaine 1. Une Sainte en son auréole ; 2. Puisque l’aube grandit ; 3. La lune blanche luit dans les bois ; 4. J’allais par des chemins perfides ; 5. J’ai presque peur, en vérité ; 6. Avant que tu ne t’en ailles ; 7. Donc, ce sera par un clair jour d’été ; 8. N’est-ce pas ? ; 9. L'hiver a cessé) [aussi version pour voix, piano et quatuor à cordes] op. 62 (1893-1894), Valse-Caprice n° 4 en la bémol majeur, pour piano op. 63 (1894), Nocturne n° 6 en ré bémol majeur, pour piano op. 63 bis (1894), Hymne à Apollon, chant grec du IIe siècle av. J.-C., accompagnement pour harpe, flûte et 2 clarinettes op. 65 (1894), Deux motets (1. Ave verum corpus, pour 2 voix de femmes et orgue ; 2. Tantum ergo, pour 3 voix de femmes et orgue) op. 66 (1894), Barcarolle n° 5 en fa dièse mineur, pour piano op. 67 (1895), Deux motets (1. Salve Regina, pour voix et orgue ou piano ; 2. Ave Maria, pour ténor ou baryton et orgue ou piano) op. 68 et 20 (1872-1895), Suite d’orchestre en fa (Allegro - Andante - Gavotte - Finale) — op. 68 (1895), Allegro Symphonique, arrangement pour piano à 4 mains par Léon Boëlmann de l’Allegro initial de la Symphonie en fa op. 20. op. 69 (1894), Romance en la majeur, pour violoncelle et piano op. 70 (1895), Barcarolle n° 6 en mi bémol majeur, pour piano op. 72 (1896), Pleurs d’or, pour mezzo-soprano et baryton, avec accompagnement de piano op. 73 (1897), Thème et Variations en ut dièse mineur, pour piano [orchestré par D. E. Inghelbrecht en 1927] op. 74 (1887), Nocturne n° 7 en do dièse mineur, pour piano op. 75 (1897), Andante, pour violon et piano op. 76 (1897), Deux mélodies (1. Le Parfum impérissable ; 2. Arpège) op. 77 (1898), Papillon, pour violoncelle et piano, ou violon et piano op. 78 (1893), Sicilienne , pour violoncelle ou violon (flûte) et piano [aussi versions pour piano seul et pour orchestre] op. 79 (1898), Fantaisie pour flûte et piano [ orchestré par Aubert en 1957] op. 80 (1898), Pelléas et Mélisande, musique de scène pour orchestre (1. Prélude ; 2. Fileuse ; 3. Molto adagio (mort de Mélisande), avec intercalation de la Sicilienne) op. 81 (vers 1900), Fileuse, de la Suite de Pelléas et Mélisande; transcription pour piano d’Alfred Cortot op. 82 (1899-1900), Prométhée, tragédie lyrique avec soli, trios, chœurs et mélodrames avec orchestre op. 83 (1896), Deux mélodies (1. Prison ; 2. Soir) op. 84 (1896-1902), Huit pièces brèves pour piano (1. Capriccio en mi bémol ; 2. Fantaisie en la bémol ; 3. Fugue en la mineur ; 4. Adagietto en mi mineur ; 5. Improvisation en ut dièse mineur ; 6. Fugue en mi mineur ; 7. Allégresse en ut ; 8. Nocturne n° 8 en ré bémol) op. 85 (1902), Trois mélodies (1. Dans la Forêt de septembre ; 2. La Fleur qui va sur l’eau ; 3. Accompagnement) op. 86 (1904), Impromptu n° 6 en ré bémol majeur, pour harpe op. 86b (1913), Impromptu n° 6 en ré bémol majeur, pour piano (d’après l'op. 86) op. 87 (1904), Deux mélodies (1. Le plus doux chemin ; 2. Le Ramier) op. 88 (1901), Le Voile du bonheur, musique de scène pour la pièce de G. Clémenceau op. 89 et 60 (1891-1905), Quintette n° 1 en ré mineur, pour piano et quatuor à cordes (1891-1894, révisé de 1903 à 1905) op. 90 (1905), Barcarolle n° 7 en ré mineur, pour piano op. 91 (1905), Impromptu n° 4 en ré bémol majeur, pour piano op. 92 (1906), Le Don silencieux, pour voix et piano, sur un poème de Jean Dominique op. 93 (1906), Ave Maria, pour 2 sopranos et orgue ou piano op. 94 (1906), Chanson, pour voix et piano, sur un poème d' Henri de Régnier op. 95 (1906-1910), La Chanson d’Ève, mélodies sur des poèmes de Charles Van Lerberghe (1. Paradis ; 2. Prima Verba ; 3. Roses ardentes ; 4. Comme Dieu rayonne ; 5. L’aube blanche ; 6. Eau vivante ; 7. Veilles-tu, ma senteur de soleil ? ; 8. Dans un parfum de roses blanches ; 9. Crépuscule ; 10. Ô Mort, poussière d’étoiles) op. 96 (1908), Barcarolle n° 8 en ré bémol majeur, pour piano op. 97 (1908), Nocturne n° 9 en si mineur, pour piano op. 98 (1908), Sérénade pour violoncelle et piano op. 99 (1908), Nocturne n° 10 en si mineur, pour piano op. 101 (1909), Barcarolle n° 9 en la mineur, pour piano op. 102 (1909), Impromptu n° 5 en fa dièse mineur, pour piano op. 103 (1909-1910), Neuf Préludes, pour piano (1. en ré bémol ; 2. en ut dièse mineur ; 3. en sol mineur ; 4. en fa ; 5. en ré mineur ; 6. en mi bémol mineur ; 7. en la ; 8. en ut mineur ; 9. en mi mineur) op. 104 (1913), Deux pièces, pour piano (1. Nocturne n° 11 en fa dièse mineur ; 2. Barcarolle n° 10 en la mineur) op. 105 (1914-1915), Deux pièces, pour piano (1. Barcarolle n° 11 en sol mineur ; 2. Barcarolle n° 12 en mi bémol) op. 106 (1914-1915), Le jardin clos, mélodies sur des poèmes de Lerberghe (1. Exaucement ; 2. Quand tu plonges tes yeux dans mes yeux ; 3. La Messagère ; 4. Je me poserai sur ton cœur ; 5. Dans la Nymphée ; 6. Dans la pénombre ; 7. Il m’est cher, Amour, le bandeau ; 8. Inscription sur le sable) op. 107 (1915), Nocturne n° 12 en mi mineur, pour piano op. 108 (1916-1917), Sonate n° 2 en mi mineur, pour violon et piano op. 109 (1917), Sonate n° 1 en ré mineur, pour violoncelle et piano op. 110 (1918), Une Châtelaine en sa tour, pour harpe op. 111 (1918), Fantaisie en sol, pour piano et orchestre op. 112 (1919), Masques et Bergamasques, suite d’orchestre (1.Ouverture ; 2. Menuet ; 3. Gavotte ; 4. Pastorale) op. 113 (1919), Mirages, mélodies sur des poèmes de la Baronne de Brimont ( 1. Cygne sur l’eau ; 2. Reflets dans l’eau ; 3. Jardin nocturne ; 4. Danseuse) op. 114 (1919), C’est la Paix !, mélodie pour voix et piano op. 115 (1919-1921), Quintette n° 2 en ut mineur, pour piano et quatuor à cordes op. 116 (1921), Barcarolle n° 13 en ut majeur, pour piano op. 117 (1921), Sonate n° 2 en sol mineur, pour violoncelle et piano op. 118 (1921), L’Horizon chimérique, cycle de mélodies sur des poèmes de Jean de la Ville de Mirmont (1. La Mer est infinie ; 2. Je me suis embarqué ; 3. Diane, Séléné ; 4. Vaisseaux, nous vous aurons aimés) op. 119 (1921), Nocturne n° 13 en si mineur, pour piano op. 120 (1922-1923), Trio en ré mineur, pour violon, violoncelle et piano op. 121 (1923-1924), Quatuor à cordes en mi mineur s. op. (vers 1880), Benedictus s. op., Cadence pour le Concerto en ut majeur K 491, de W. A. Mozart
écouter : http://www.dailymotion.com/video/x2io ... -melisande-op-80-no_musichttp://youtu.be/RtQkVWxjJoQ sicilienne http://www.youtube.com/watch?v=U5Y0uQ ... g-9BRiofnfedeD4NthkECvNOq
Posté le : 04/11/2012 13:43
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