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2 Utilisateur(s) anonymes
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Défi du 31 octobre 2015 |
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Plume d'Or
Inscrit: 14/03/2014 18:40
De Paris
Niveau : 29; EXP : 25 HP : 0 / 706 MP : 370 / 22240
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Bonjour les Loréens,
Le défi de cette semaine tourne autour des emmerdeurs. Imaginez vous dans une situation où un tiers vous pourrit la vie, soit quotidiennement soit sporadiquement. Amora, la déesse de la colère (je cite un épisode d'Asterix le gaulois) vous monte-t-elle au nez ? Ou, plus zen que la majorité, estimez vous que s'emporter est indigne de votre sens de la vie ? Ou, plus atteint que le Témoin de Jéhovah lambda , vous remettez vous à une entité supérieure pour vous débarrasser de l'importun ? Ou ?
Bref, rien de nouveau sous le soleil puisqu'on est souvent l'emmerdeur d'un autre.
Ne vous emmerdez plus, laissez votre plume régler vos problèmes que ce soit en vers, en nouvelle, en haïkus ou en chanson. On n'a pas tous les jours l'occasion de refaire le monde.
Ce texte s'auto-détruira dans cinq secondes. Bonne chance, Loréen.
Donald
Posté le : 31/10/2015 05:29
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Re: Défi du 31 octobre 2015 |
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Administrateur
Inscrit: 30/05/2013 12:47
Niveau : 34; EXP : 7 HP : 0 / 826 MP : 540 / 27944
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Mon cher Donald; j'ai, de suite, à la lecture du défi quelques noms qui me reviennent en mémoire et pour lesquels le qualificatif d'emmerdeurs sied à merveille!!!
Mais peut être ne faut il pas indiquer nommément les personnes auxquelles je pense????
Alors ça, Donald , ca m"emmerde déjà profondément!!!
Dommage, je songeais, en autre, Ã un bourguignon qui parle de chopines, sans que jamais nous n'en voyons la couleur.........!!!
Bon allez, je cesse mes élucubrations, qui vont commencer à emmerder les défieurs!!!!
A plus tard, sur ce défi qui devrait plaire, permettant de parler comme le dit Charles, pas celui de Colombey!!!!!, ce nos emmerdes, de nos amis , de nos amours!!!!
Posté le : 31/10/2015 07:51
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Le bonheur est une chose qui se double,..…..si on le partage …
Titi
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Re: Défi du 31 octobre 2015 |
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Plume d'Or
Inscrit: 10/07/2014 10:51
De vignes de la pettie fin
Niveau : 19; EXP : 7 HP : 0 / 451 MP : 140 / 13800
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Cher Donald
Oh la la!! Voilà un sujet que je connais bien...l'emmerdeur.. Il est un être à part.....j'ai souvent été son "emmerderesse"...
Ce défi me titille.......
Je vais y réfléchir
Belle et lumineuse journée!
Athéna
Posté le : 31/10/2015 10:24
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Re: Défi du 31 octobre 2015 |
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Plume d'Or
Inscrit: 18/02/2015 13:39
De Dijon
Niveau : 39; EXP : 1 HP : 190 / 950 MP : 767 / 27329
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Bonjour cher Donald,
Cela m'aurait emmerdé que ton texte s'auto détruise avant que je ne puisse le lire. Non mais! Sois rassuré, je parle du message et pas de Donald. Oh là là !
Aujourd'hui, il y a beaucoup de choses qui m'emmerdent. Et je t'avouerais volontiers qu'il en est de même avec certaines gens. Aussi devrais-je pouvoir te répondre aujourd'hui, demain ou après demain, à moins qu'une emmerdeuse ou qu'une emmerdeur ne décide de m'en empêcher. Je ne pense pas que cela ne m'arrête beaucoup!
Je pars m'emmerder! Pardon, je pars répondre au défi de notre ami Donald.
Amitiés de Dijon.
Jacques
Posté le : 31/10/2015 10:36
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Re: Défi du 31 octobre 2015 |
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Administrateur
Inscrit: 30/05/2013 12:47
Niveau : 34; EXP : 7 HP : 0 / 826 MP : 540 / 27944
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Mon Dieu, qu’il s’emmerdait ce Saint abandonné, Jamais, nul paroissien, ne venait le prier, Il aurait, tellement, voulu s’approprier Des fidèles assidus, qu’il aurait pardonné De ces pêchés véniels, comme tromper sa femme, Par erreur ou méprise, pas de quoi faire un drame!!!
Aussi, il se plaignit auprès du grand patron, De ce manque de foi, envers lui, menaçant De jeter l’auréole, préférant vivre sans, D’autant que posé là , au dessus du citron, Ce halo accentuait ses rides autour les yeux : Car on peut être Saint, tout en restant gracieux !!
Son Dieu, lui dit alors, le monde a évolué, Il bien loin le temps ou les gens t’encensaient Pour un petit miracle, quelques vœux exaucés, Aujourd’hui c’est la pub, qui peut te louanger. Regarde le Titi sans talent, sans vergogne, Pour faire parler de lui, sur l’ORée fanfaronne!!!
Distribue tant et tant des cartes de visites, Auprès des braves gens, sur toute la planète, En promettant prodiges, bonheur et paillettes A tous ceux qui demain, te feront sollicite. Par contre exclue les chieurs et tous les emmerdeurs, Qui veulent la crémière et puis l’argent du beurre !!!!
Dés lors, ce fut la gloire on pria le bon Saint, Car il tenait promesses, tout comme les politiques, Qui eux aussi promettent,……… de piquer tout ton fric, Il était loué le bougre, sauf par les gens malsains, Les chieurs, les emmerdeurs qui n’avaient pas reçu, La carte de visite, et en étaient déçus !!!!
Mais sais-tu, le prénom, toi lecteur de l’ORée, De ce Saint si loué !! fais toi un peu violence !! Fais parler ton cerveau, étale nous ta science, A moins que la raison, qui te fasse ignorer, Ce prénom est le fait que tu n’as pas reçu, La carte de visite !!!!, …………comment l’expliques tu………………….. ?????
Ce modeste écrit juste pour, au plus vous faire rire, au moins vous faire sourire, sachant que sur l'ORée, les chieurs et emmerdeurs n’ont pas droit de cité !!! Bien que …, bien que……..j’ai quelques noms en tête,…….mais bon, on n’est pas là pour se fâcher…. !!!!!
Je vous embrasse, vous poètes dont on sait que votre prose vient souvent emmerder les bien-pensantes idées reçues!!! pour mon plus grand bonheur!!!!
Posté le : 31/10/2015 11:38
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Titi
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Re: Défi du 31 octobre 2015 |
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Plume d'Or
Inscrit: 14/03/2014 18:40
De Paris
Niveau : 29; EXP : 25 HP : 0 / 706 MP : 370 / 22240
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Une punkitude versifiée, voilà ce que je retiens de ce texte, mon cher kjtiti. Un vert démarrage sur ce défi. Je sens qu'on va se lâcher cette semaine. Donald
Posté le : 31/10/2015 19:20
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Re: Défi du 31 octobre 2015 |
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Plume d'Or
Inscrit: 18/02/2015 13:39
De Dijon
Niveau : 39; EXP : 1 HP : 190 / 950 MP : 767 / 27329
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Cher Donald, Chères Loréennes et chers Loréens,
D'après notre ami Serge, me voilà donc un peu emmerdeur! Je suis donc passé voir mon analyste et voici ce qu'il en ressort, ma réponse au défi que j'ai appelée : "l'emmerdeur vous salue"
Je dois vous le dire, je suis un emmerdeur ! Je suis de cette compagnie avec candeur, Et tant je vous l’affirme avec un ton farceur. Mais ne vous y trompez pas, c’est avec ardeur !
Je suis un modeste poète très aboyeur, Qui se mêle bien de tout ici et ailleurs. J’aime mettre dans un texte mon grain de sel Pour l’éclairer de mes émotions personnelles.
Parfois d’un auteur je veux lui prendre la tête Alors que dans des égarements il s’entête. Je dois vous le dire, je suis un emmerdeur. Contre lui, je peux devenir très pinailleur.
Dans un tel équipage, je vais ronchonner, Et dans l’insistance je vais m’abandonner, Pour encourager l’auteur à se corriger. Je deviens alors un emmerdeur affligé.
Contre mes écrits, je peux tout autant râler, Les trouvant de la beauté vraiment décalés. Mais évitons entre nous d’enfoncer le clou, Dans l’âme de votre serviteur, sans tabous.
Car je joue plus l’emmerdeur que je ne le suis ; Par ses débordements, je ne suis pas conquis, Même si j’aime parfois emmerder le monde, Pris par le désir taquin de créer la fronde.
Je suis loin d’être le plus grand dans cette ronde Où tant d’êtres humains peuvent avoir de la faconde. Que pensez vous des coupeurs de cheveux en quatre, Qui se masturbent bien l’esprit et s’idolâtrent, Et trouvent à vous redire des choses sur le tout, Sans s’éloigner de vos petits riens jusqu’au bout ? ET tous ceux qui tirent des conclusions hâtives, Les conduisant à des conclusions abusives ! Les voyez vous ces grands raseurs qui grandiloquent Et se perdent dans des discours qui nous provoquent ? Les apercevez vous ces petits hobereaux Méprisants et menaçants derrière leurs barreaux, Se comportant en vrais tyrans persécuteurs ? Ce sont eux vraiment les authentiques emmerdeurs. Et les humains qui rejettent la faute sur autrui Espérant que la leur se soit évanouie ! Je n’oublie pas non plus ceux qui ne tentent rien Se trouvant dans l’action sans doute béotiens ! Et les intellos foireux aux idées obtuses, Tentant de vous imposer des actions confuses. Je vous l’affirme, ce sont eux les emmerdeurs. J’arrête là la liste de ces castrateurs.
Dites vous qu’ils sont sous toutes les latitudes. Renvoyons les donc tous à leurs chères études. Un emmerdeur constant nous pousse à la quiétude. Un emmerdeur absent nous fait aimer la solitude.
Sans les emmerdeurs nous serions bien esseulés, Aussi, votre serviteur, sans être aculé, S’engage auprès du grand poète Kjtiti A venir le voir un jour prochain en ami, Avec un grand Bourgogne et des verres assortis.
Mes ami(e)s, je vous souhaite à toutes t à tous un bon dimanche de la Toussaint.
Amitiés de Dijon.
Jacques
Posté le : 31/10/2015 23:13
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Re: Défi du 31 octobre 2015 |
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Plume d'Or
Inscrit: 14/03/2014 18:40
De Paris
Niveau : 29; EXP : 25 HP : 0 / 706 MP : 370 / 22240
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On attend tous la réponse de notre ami Titi face à cette envolée d'Istenozot. Je sens qu'on va bien rigoler. Donald
Posté le : 01/11/2015 10:36
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Re: Défi du 31 octobre 2015 |
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Plume d'Or
Inscrit: 14/03/2014 18:40
De Paris
Niveau : 29; EXP : 25 HP : 0 / 706 MP : 370 / 22240
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Une vocation est née Ce bruit commença à l’énerver. A neuf heures du matin, en plein Jeux Olympiques, un connard d’ouvrier perçait des trous dans le mur de l’appartement du bas. Alexandre avait pris deux semaines de congés pour profiter tranquillement des olympiades australiennes et depuis trente minutes, il entendait uniquement le vacarme insolent de marteaux, de perceuses, de rabots et de ponceuses. La malchance continuait. Déjà qu’au travail son patron lui avait brusquement demandé de prendre du recul et de réfléchir à son avenir, une façon élégante de lui signifier qu’il ne faisait pas l’affaire et que son contrat à durée déterminée ne donnerait pas embauche. Alexandre en avait vraiment marre : il accumulait les stages en entreprise, les formations professionnelles et les tests d’aptitude sans compter les rendez-vous inutiles à l’agence pour l’emploi. Le constat restait identique : quel que soit son interlocuteur, une maitrise de philosophie c’était bien pour briller en société mais un handicap pour trouver un travail. En plus, il avait continué dans cette voie ce jusqu’au doctorat, sur un sujet pointu connu seulement par de vieux professeurs d’université éparpillés aux quatre coins de la planète. Alors quand un employeur daignait enfin le rencontrer, malgré sa jolie cravate bleue et son beau costume gris, ses cheveux coupés court et sa tête de bon gaulois, Alexandre récoltait toujours la même réponse : « vous êtes trop diplômé pour un agent de maîtrise et pas assez qualifié pour un cadre ». A croire que ces gars pleins aux as, censés redresser notre riche pays en pleine crise économique, cherchaient des clones ou des robots, des jeunes gens formatés par des cursus spécialisés, des profils mono-tache ou des fourmis humaines. Alexandre tangentait les trente ans. Tous ses copains d’école avaient mieux choisie leur filière d’étude après le baccalauréat. L’un avait fait médecine, l’autre ingénieur en informatique alors que lui rêvait d’écrire des livres, de disserter sans fin sur la vie, en bref de couper les cheveux en mille vingt quatre. Il ne voulait pas non plus enseigner l’art de penser à des adolescents mal torchés, à des matheux boutonneux dans un lycée de province pour terminer sa vie mariée à une autre enseignante, blasée et aussi moche que coincée. Dans cette optique réduite, il s’était inscrit sans nulle hésitation au sein d’une faculté parisienne dans un cursus de lettres, à l’âge de dix-huit ans innocent et naïf. La technique du français ne le passionnait pas mais il avait toujours été un élève studieux dans les matières littéraires alors bien qu’il poursuivait une terminale scientifique pour faire plaisir à maman et flatter l’égo paternel. Les quelques cours de philosophie, coefficient deux aux épreuves finales durant cette dernière année de secondaire, tournaient dans sa mémoire comme autant de découvertes, de mondes merveilleux et de batailles épiques entre esprits vifs ou génies. Il avait adoré. Une passion était née. Maman avait pleuré quand il avait déchiré le dossier pourtant accepté de sa classe préparatoire en école de commerce ou en section de mathématiques supérieures. Papa l’avait privé de son argent de poche durant tout son été quand il avait annoncé qu’il suivrait désormais des études de penseur et qu’il ne deviendrait pas chirurgien comme lui ou pharmacien telle sa mère. « Voilà ma pauvre histoire » se dit soudainement Alexandre. « Je végète dans le studio de ma copine en bon squatteur bourgeois, pendant qu’elle s’éclate à fond dans son travail et pour corser le tout un sombre prolétaire, un casseur de murs, un peintre à deux francs, vient me casser les pieds avec son matériel de bricoleur du lundi. » « Je vais arrêter ça de suite ! » Alexandre prit ses cliques et ses claques puis il descendit d’un étage et il frappa à la porte. Personne ne vint ouvrir. Alexandre recommença pour la forme avant de pénétrer sans nulle invitation dans l’appartement. Un homme d’une cinquantaine d’années se tenait devant le mur du salon une perceuse à la main. Alexandre lui cria quelques mots dans un brouhaha électrique. Après quelques minutes l’ouvrier se tourna, lui faisant face enfin, hébété et surpris de voir qu’un importun était rentré sur son chantier du jour. Le jeune lui intima l’ordre d’éteindre sa perceuse ce qui évidemment énerva le quinquagénaire qui hurla sa colère dans un langage étrange, mélange d’espagnol et d’argot parisien. Le ton monta rapidement : d’abord faite de petites flammes la discussion devint un grand feu de forêt. Le vieux dit au jeune que lui il travaillait, que ce n’était pas le cas de tout le monde et qu’il n’avait pas de comptes à rendre à un petit fainéant. Alexandre passa de l’orange au rouge et puis au noir, plus proche de la guerre nucléaire que de la table ronde. Soudain, l’erreur bête survint : le roi de la perceuse leva le bras en signe de menace, son engin à la main toujours vibrionnant dans un vacarme infernal. Alexandre réagit et il lui saisit le poignet puis il retourna la machine contre son propriétaire, forant sans retenue un gros trou dans son crane comme s’il voulait le purifier de ses mauvaises manières empreintes de grossièreté. Son adversaire gisait désormais sur le sol du salon au milieu des outils, des rouleaux de papier peint et des pots d’adhésif. Alexandre ne dit plus rien car la situation lui échappait complètement et cette fois il sût qu’il fallait réagir vite. A partir de ce moment-là , le compte à rebours criminel commença. Sa copine rentrait en principe vers sept heures mais il dût prendre en considération le paramètre urbain : la présence de voisins dès la fin de l’après-midi. Alexandre emballa le cadavre dans de la toile cirée, celle prévue pour protéger le sol des projections de peinture et amenée dans ce but par l’infortunée victime qui ne se doutait pas qu’elle serait son linceul. Ensuite, le jeune homme descendit à la cave puis il choisit un numéro de lot, celui d’un vieux sénile qu’il aidait quelquefois à ranger les affaires de sa défunte épouse. Il crocheta la serrure, un exercice facile vu qu’elle était fort rouillée et datait de l’époque où personne ne volait le bien des honnêtes gens, du moins dans ce quartier. Il arrangea les cartons, les vieilleries et les vestiges d’une vie de couple minable, formant une cavité où il pourrait cacher le corps sans risque de le voir resurgir un soir de pleine lune. La dernière partie de son ménage macabre consista à transporter l’enveloppe corporelle du grossier personnage qui l’avait énervé et poussé hors de lui. Ce fut une formalité. Il ne resta plus qu’à nettoyer le salon des quelques fragments d’os, des morceaux de méninges et des gouttes de sang qui émaillaient un peu le sol déjà crasseux. En deux temps et trois mouvements, Alexandre s’acquitta de son rôle impromptu de fée du logis. Le tour était joué. En fin de journée Alexandre regardait les dieux du stade austral tourner dans leur arène, finissant dans la douleur leurs quarante deux kilomètres de martyre. Sa chère et tendre hôtesse, peu passionnée par le sport, préparait leur repas du soir, un plat que son amoureux adorait : de la cervelle aux morilles. Le dîner fut convivial et Alexandre rit à pleines dents aux histoires de collègues de sa chérie d’amour. Il se sentit revivre. Plus rien ne l’atteignait et il allait même lui faire drôlement sa fête, la prendre dans tous les sens, à commencer par derrière allongée sur cette table, soumise et désirable tellement il était fort et tant il transpirait la puissance. Elle ne lui refuserait pas les faveurs du guerrier, la récompense ultime, le plaisir sauvage d’un homme des cavernes revenant de la chasse au mammouth. En s’endormant très tard, aux côtés de sa compagne assouvie, Alexandre se mit à rêver de son salaud de patron qu’il devrait très bientôt envoyer ad-patres maintenant qu’il s’était qualifié en tueur de cons sous les traits d’un jeune homme bien sous tous rapports.
Posté le : 01/11/2015 11:13
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Re: Défi du 31 octobre 2015 |
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Modérateur
Inscrit: 21/03/2013 20:08
De Belgique
Niveau : 44; EXP : 15 HP : 215 / 1078 MP : 1072 / 37060
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Titi,
Tu m'as bien eue. Mais ce saint devrait se lancer en politique humaine. Il aurait un succès fou ! J'aimerais bien parfois croiser sa route et lui adresser quelques doléances.
Merci
Couscous
Posté le : 01/11/2015 16:59
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