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De Montpellier
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Le 7 septembre 1726, Dreux naît François-André Danican Philidor
surnommé le Grand, compositeur et joueur d'échecs français qui mena de front ces deux activités toute sa vie. Il est le fils d'un second lit d'André I dit l'Aîné et le frère d'Anne, tous deux musiciens.Il meurt le 31 Aout 1795 à Londres
En bref
François-André Philidor, fils d'André l'Aîné, est le plus illustre de la dynastie. Il mourut à Londres dans l'émigration. Élève de Campra, il fit entendre ses premières œuvres à Versailles. Il écrivit beaucoup pour le théâtre : dix opéras-comiques, dont Blaise le savetier 1759, Sancho Pança 1762, Le Bûcheron 1763, Le Maréchal-Ferrant (1761), Le Sorcier 1764, Tom Jones 1765, Le Diable à quatre 1756, Le Soldat magicien 1760 Le Jardinier et son seigneur 1761, Ernelinde, princesse de Norvège 1767, modifiée en Sandomir, prince de Danemark 1769, La Nouvelle École des femmes 1770, Persée 1780, L'Amitié au village 1785, La Belle Esclave 1787, Le Mari comme il les faudrait tous, ou la Nouvelle École des maris 1788. Il collabora avec Rousseau aux Muses galantes et au Devin de village. Son œuvre théâtrale suit l'évolution de l'opéra-comique tout au long du XVIIIe siècle. Elle est, tour à tour, vaudevillesque, bourgeoise, fantastique, philosophique. Les qualités de l'orchestration manifestent le talent du compositeur, ainsi que celles de l'écriture vocale, tant pour les solistes que pour les chœurs. Dans sa musique religieuse, on peut retenir, à côté de ses motets, un Requiem 1766 et un Te Deum 1786. C'est en Angleterre que furent créés le Carmen saeculare 1779, sorte d'oratorio profane, et les Odes anglaises. Dans sa musique, Philidor sait user d'effets dramatiques puissants et sûrs. Il connaît parfaitement la technique de l'écriture harmonique et contrapuntique, bien mieux en tout cas que ses rivaux Monsigny ou Duni. Dans Le Jardinier et son seigneur apparaît une touche de satire sociale ce qui est nouveau pour le temps au milieu des idylles imaginaires de la vie pastorale. Son chef-d'œuvre est certainement la comédie lyrique Tom Jones. Philidor sut lui donner le ton qui convenait grâce à une vigueur, une sensibilité, une vivacité et un pittoresque qui ont rarement été atteints dans tout l'opéra-comique du XVIIIe siècle, D. J. Grout ; on en retiendra notamment le septuor du deuxième acte, et l'air Ô toi qui ne peux m'entendre du troisième acte. Enfin, Philidor fut l'un des grands joueurs d'échecs de l'histoire de ce jeu. Il publia une Analyse du jeu d'échecs 1748, et l'on a donné son nom à une ouverture classique, appelée la défense Philidor. Diderot réserve une place de choix à cet étonnant personnage dans son spirituel Neveu de Rameau.
Sa vie
François-André Danican est issu d'une dynastie de musiciens célèbres au XVIIe siècle et au XVIIIe siècle, qui portèrent tous le surnom de Philidor. Le plus ancien d'entre-eux, Michel, hautboïste virtuose, avait enthousiasmé Louis XIII, lui rappelant le talent de l'Italien Filidori
À dix ans, il est page à la chapelle royale de Versailles où il est l'élève de Campra. Il compose son premier motet à l'âge de douze ans. À quatorze ans, il donne des leçons de musique à Paris et exerce le métier de copiste. Il rencontre Rameau pour lequel il a une grande admiration. Mais ce dernier lui reproche de dévoyer la musique française avec des formes italiennes. De son côté, Jean-Jacques Rousseau apprécie sa collaboration pour parachever les Muses galantes. À dix-huit ans, il a des démêlés avec la police pour des propos audacieux sur la liberté d'expression. Il est même incarcéré pendant deux semaines.
Échaudé, il accompagne une troupe de musiciens avec Francesco Geminiani et Lanza en Hollande, puis se rend à Londres 1745 où il se lie avec le comte de Brühl, ministre de Saxe à Londres, qui deviendra avec Diderot, son ami le plus fidèle. Haendel se montre plus favorable à sa musique que Rameau. C'est à Londres qu'il est initié franc-maçon, il sera membre de la Société Olympique à Paris en 1786. Rentré en France en 1754, il ne peut pas obtenir le poste vacant à la Chapelle de Versailles. Il épouse en 1760 Angelica Richer, fille d'un musicien, qui lui donnera sept enfants. Ses œuvres sacrées, teintées d'italianisme, sont fraîchement accueillies par le public français. Il se résout à diriger sa carrière vers les voies de la musique dramatique et devient l'un des créateurs de l'opéra-comique français. Il y fait preuve de réelles qualités musicales : écriture orchestrale soignée, souvent descriptive ; écriture vocale aisée et témoignant d'une verve légère, parodique, pouvant s'élever jusqu'à une expression déjà dramatique ; les chœurs sont abondants dans une écriture audacieuse. Ses nombreux opéras-comiques montrent de l'inventivité, et le premier d'entre-eux, Blaise le Savetier, créé à l'Opéra-Comique de la Foire le 9 mars 1759, est un éclatant succès. L'opéra Ernelinde est son chef-d'œuvre et lui permet d'obtenir une pension de Louis XV. Il composa également de la musique de chambre, un oratorio, Carmen seculare et un Te Deum, qui fut exécuté lors des funérailles de Rameau. Son nom figure sur la façade ouest de l'Opéra Garnier à Paris.
Le champion d'échecs Carrière
Aujourd'hui, son nom reste davantage associé au jeu d'échecs. Très jeune, il fréquente le Café de la Régence où il rencontre Jean-Jacques Rousseau. Dans Le Neveu de Rameau, Denis Diderot donne une description de ce café : Paris est l'endroit du monde, et le café de la Régence est l'endroit de Paris où l'on joue le mieux à ce jeu ; c'est chez Rey que font assaut Legal le profond, Philidor le subtil, le solide Mayot. Philidor montre une grande maîtrise dans la pratique, démonstration de jeu en aveugle et se montre très en avance sur la théorisation du jeu. Il surclasse rapidement le Sire de Legal, meilleur joueur du Café de la Régence. À Londres, il dispute un match en 1747 contre le Syrien Stamma fixé à Londres depuis 1742. Il le bat 8 à 2 et il est dès lors considéré comme le plus fort joueur du monde. Il retourne à Londres 1771-1773 où il fréquente le St. James Chess Club, gagnant sa vie en faisant des parties d'exhibitions. Vivant des pensions du roi et partisan d'une monarchie constitutionnelle, il s'exile en Angleterre en 1792. Il est inscrit sur la liste des suspects et, malgré les efforts de sa femme et de son fils aîné, restés en France, un passeport pour rentrer lui est refusé après Thermidor.
Il meurt à son domicile londonien et est inhumé à St. James de Picadilly.
L'analyse du jeu des Échecs L'édition originale de L'Analyse
Philidor publie L'Analyze des Echecs en 1749, à l'âge de 22 ans, un des premiers traités d'échecs en langue française et un classique du genre. L'ouvrage sera édité une centaine de fois et traduit rapidement dans de nombreuses langues : anglais Analysis of the Game of Chess, 1790, allemand, espagnol Análisis del juego de ajedrez, 1827, russe, yiddish, etc. Cet ouvrage est le seul témoignage des conceptions échiquéennes de Philidor, les parties qu'il a joué à l'apogée de sa carrière n'ont pas été conservées et il n'a jamais rencontré d'adversaires de son niveau, il pouvait battre les plus fort joueurs de son temps avec un handicap d'un pion et du trait. Le terme d'Analyse marque d'entrée la rupture avec les conceptions antérieures. Alors que le jeu reposait essentiellement sur des qualités d'intuition et d'imagination, Philidor l'élève au statut de science et constitue un système rationnel dont il fournit le premier les lois essentielles. Il insiste sur l'importance des pions, et notamment des chaînes de pions. Richard Réti qualifie Philidor de grand philosophe des échecs, trop en avance sur son temps pour être compris.
La défense Philidor.
On lui doit la fameuse maxime « Les pions sont l'âme des échecs » et la position de Philidor, très importante pour la fin de partie Tour et pion contre Tour. Son analyse de la fin de partie Tour et Fou contre Tour fait encore autorité. Dans son ouvrage L'Analyse du Jeu des échecs, il étudie l'ouverture qui porte son nom la défense Philidor : 1. e4 e5 2. Cf3 d6
Philidor et la théorie des ouvertures
Articles détaillés : Défense Philidor et Ouverture échecs. L'Analyse des échecs n'est pas un livre étudiant les ouvertures. Contrairement à ses prédécesseurs italiens et à ses contemporains de l'École de Modène, qui cherchaient à obtenir un gain rapide en comptant sur une erreur de l'adversaire dans les complexité de la partie italienne et du gambit du roi, Philidor cherche à établir des règles générales sur la conduite d'une partie d'échecs :
"Je reviens à Don Pietro Carrera qui, selon toute apparence, a servi de modèle au Calabrois et à d'autres Auteurs; Cependant ni lui, ni aucun d'eux ne nous ont donnés, malgré leur grande Prolixité que des instructions imparfaites, et insuffisantes pour former un bon joueur. Ils se sont uniquement appliqués à ne nous donner que des ouvertures de jeux, et ensuite ils nous abandonnent au soin d'en étudier les fins; de sorte que le joueur reste a peu près aussi embarrassé que s'il eut été contraint de commencer la Partie sans instruction. Cunningham et Bertin nous donnent des Gambits qu'ils font perdre ou gagner en faisant mal jouer l'adversaire. Il n'est pas douteux qu'ils n'aient trouvé leur compte dans une méthode si facile et si peu laborieuse, mais aussi, quelle utilité un Amateur peut-il tirer d'une instruction semblable? J'ai connu des Joueurs d'Echecs qui savaient tout le Calabrois et d'autres auteurs par cœur, et qui après avoir joué les 4 ou 5 premiers coups, ne savaient plus où donner de la tête; mais j'ose dire hardiment que celui qui saura mettre en usage les règles que je donne ici, ne sera jamais dans le même cas." Cependant Philidor expose dans son livre des parties complètes. Les ouvertures de ces parties sont choisies pour illustrer ses conceptions stratégiques. Dans le Jeu ouvert il préfère à la sortie du Cavalier du Roi le début du fou, car en général on doit éviter de sortir les pièces devant les pions. Après 1. e4 e5 2. Cf3, au lieu de 2... Cc6 qui était considéré comme le meilleur coup depuis Damiano, il préconise 2... d6, la défense Philidor, qui est selon lui la réfutation de 2. Cf3 :
"en jouant le Cavalier du Roi au second Coup, c'est tellement mal joué, que l'on ne peut éviter de perdre l'attaque et de la donner à son Adversaire". L'idée de Philidor était d'attaquer ensuite le pion e4 en jouant 3... f5, quel que soit le troisième coup des Blancs. Mais seule la variante 1. e4 e5 2. Cf3 d6 3. d4 f5 porte aujourd'hui le nom de gambit Philidor, et elle est réfutée, alors que contre les autres coups blancs, 3... f5 reste jouable. Dans L'analyse des échecs, sont aussi présentées d'autres ouvertures, plusieurs variantes du gambit du roi, dont une défense moderne 3... d5 que Philidor considère comme fausse, une défense sicilienne et un gambit dame, qu'il dit avoir le premier étudié sérieusement :
" je me flatte d'en avoir trouvé la véritable défense ". Cependant les variantes données dans L'analyse ne sont plus jouées au haut niveau, elles ont été la plupart du temps réfutées par les progrès de la théorie des ouvertures dès l'époque de la Pléiade berlinoise.
Dans le début du Fou, les coups 1. e4 e5 2. Fc4 Fc5 3. c3 caractérisent la variante Philidor, 1. e4 e5 2. Fc4 c6 la contre-attaque Philidor. Dans le gambit du roi, le gambit Philidor s'obtient après les coups 1. e4 e5 2. f4 exf4 3. Cf3 g5 4. Fc4 Fg7 5. h4 h6 ou 3... h6 4. Fc4 g5 5. h4 Fg7.
Les études de finales. Position de Philidor et Étude d'échecs La position de Philidor peu importe qui a le trait.
Dans son Analyse du Jeu des échecs, Philidor fait l'étude de plusieurs positions de finales. L'une de ces positions, une finale de tour et pion contre tour est appelée position de Philidor. Les finales de tours étant les plus fréquentes aux échecs, la position de Philidor est avec la position de Lucena une notion fondamentale de la maîtrise des fins de parties. Philidor expose ce qui est toujours considéré comme la technique la plus simple pour annuler une finale de tour et pion contre tour. Le défenseur place son roi sur la case de promotion du pion et sa tour sur la sixième rangée pour empêcher le roi de son adversaire de passer devant son pion. Pour tenter de progresser, celui-ci est forcé d'avancer son pion sur la sixième rangée. Le défenseur place alors sa tour sur la première rangée et obtient l'annulation de la partie par des échecs successifs sur le roi de son adversaire. Une autre position étudiée par Philidor est une finale tour et fou contre tour, et est également parfois qualifiée de position de Philidor. Ce type de finale est théoriquement nulle, cependant, malgré les progrès des techniques défensives,La grande complexité de la lutte et le fait que le défenseur ne peut se permettre une imprécision ... font qu'elle se termine souvent par un gain dans la pratique des tournois. La position étudiée par Philidor est gagnante, son analyse montre la profondeur de la compréhension du jeu par son auteur. Xavier Tartakover parle à ce sujet de beauté universellement reconnue de l'analyse . La Position de Philidor est le titre d'un roman policier de René-Victor Pilhes
Les conceptions stratégiques de Philidor Stratégie échiquéenne. Exemple de partie
Sheldon - Philidor, Londres, 1790 Philidor joue à l'aveugle
1. e4 e5 2. Fc4 c6 3. Cf3 d5 4. exd5 cxd5 5. Fb3 Cc6 6. d4 e4 7. Ce5 Fe6 8. 0-0 f6 9. Cxc6 bxc6 10. f3 f5 11. Fe3 (11. fxe4 fxe4 12. Dh5+ est meilleur selon Vukovic, cité par Juraj Nikolac dans L'héritage de Philidor, éd. Olibris, où cette partie est commentée) Cf6 12. Cbd2 Fd6 13. c4 0-0 14. Fa4 Dc7 15. f4 Cg4 16. De2 Cxe3 17. Dxe3 c5 18. Cb3 dxc4 19. Cxc5 Fxc5 20. dxc5 Tac8 21. c6 Tfd8 22. Tfd1 Td3 23. Txd3 cxd3 24. Fb3 Fxb3 25. axb3 Db6 26. Rf2 Dxe3+ 27. Rxe3 Txc6 28. Txa7 Td6 29. Rd2 e3+ 30. Rxe3 d2 31. Ta1 d1=D 0 - 1.
Philidor les Danican dits les . XVIIe-XVIIIe s.
Dynastie de musiciens français depuis Louis XIII jusqu'à la Révolution, dont certains furent illustres. Après Michel Danican, hautboïste sous Louis XIII lequel l'aurait comparé à un artiste italien du nom de Filidori, d'où le pseudonyme adopté), une douzaine de compositeurs ou d'instrumentistes virtuoses portent ce nom. Jean 1620 env.-1679, hautboïste et fifre de la Grande Écurie, est aussi virtuose sur le cromorne, la trompette marine et la timbale. André 1647 env.-1730, ou Philidor l'Aîné, fit partie de la Grande Écurie, de la Chapelle et de la Chambre du roi ; ses fonctions de bibliothécaire musical près le roi à Versailles 1684 furent importantes. De ses compositions, on peut signaler seulement les onze opéras-ballets, ses Pièces à deux basses de viole, basse de violon et basson 1700 et sa Suite de danses pour les violons et les hautbois 1699. Après Alexandre, frère du précédent, qui appartint à la musique du roi basse de cromorne, trompette marine, Jacques le Cadet 1657-1708, son frère, occupa les mêmes fonctions à la Grande Écurie ; il entra aussi à la Chapelle et à la Chambre. Anne, fils d'André l'Aîné 1681-1728, fut flûtiste Grande Écurie, Chapelle, Chambre, et surintendant du prince de Conti ; il dirigea les concerts de la duchesse du Maine. C'est lui qui fonda le célèbre Concert spirituel des Tuileries 1725, première association permanente de concerts publics, qu'il dirigea pendant deux ans et dont l'activité artistique se poursuivit jusqu'à la Révolution. Il a laissé notamment un Premier Livre pour la flûte traversière, flûte à bec, violon et basse 1712, des pastorales, des motets, un Te Deum et une messe. Pierre 1681-1731, fils de Jacques le Cadet, fut violoniste et flûtiste à la Chambre du roi. Il écrivit une pastorale, exécutée à Versailles 1697, trois recueils de Suites à deux flûtes traversières 1717, 1718 et Six Suites de trios pour flûte 1718. Michel 1683-apr. 1722, frère d'Anne, fut percussionniste timbalier des gardes du corps et tambour de la Chambre ; il devint le gendre de Delalande. Jacques 1686-1709, lui aussi fils de Jacques le Cadet, fut musicien de la Grande Écurie et timbalier du duc d'Orléans, qu'il suivit en Espagne. François, son frère 1695-1726, fit partie de la Chapelle basse de cromorne, trompette marine, de la Chambre hautboïste et de la Grande Écurie, basse de viole ; il laissa plusieurs pièces pour la flûte traversière, 1716-1718. Nicolas 1699-1769, son frère, fut violiste à la Chambre et hautboïste à la Grande Écurie. Il joua aussi du serpent à la Chapelle.
Principales œuvres Opéras
Le Diable à quatre 1756 Blaise le savetier 1759 L'Huître et les Plaideurs 1759 Le Quiproquo ou le volage fixé 1759 Le Soldat Magicien 1760 Louis Anseaume Le Jardinier et son seigneur 1761 Le Maréchal-Ferrant 1761 Sancho Pança dans son île 1762 Le Bûcheron ou les trois souhaits 1763 Le Sorcier 1764 paroles Antoine-Alexandre-Henri Poinsinet Tom Jones 1765, basé sur le roman de Henry Fielding Ernelinde, princesse de Norvège 1767, révisé en 1769 sous le titre de Sandomar, prince de Danemark Le Jardinier de Sidon 1768 L'Amant déguisé ou le jardinier supposé 1769 La Nouvelle École des femmes 1770 Le Puits d'amour 1779 L'Amitié au village 1785 Thémistocle 1786 La Belle Esclave 1788 Bélisaire 1796, opéra posthume
Autres Å“uvres musicales importantes
1754 : Lauda Jerusalem motet écrit en 1754 1769 : L'Amant déguisé, ou le Jardinier supposé, comédie en 1 acte mêlée d'ariettes, représentée pour la première fois par les Comédiens italiens ordinaires du Roi le 2 septembre 1769. Carmen saeculare tiré des odes d'Horace
Livres
Analyse du jeu des échecs 1749, rééd. 1803, 1988, rééd. fac-simile 1988 par les éditions Neumann et Jean-Jacques Pauvert
Liens
http://youtu.be/cvP4ragVcto Quatuor http://youtu.be/_WgLmT2e8aM March du régiment de la calotte http://youtu.be/jDR7Ie1Lcow Pavane pour la petite guaire http://youtu.be/OHzPduZ-hxE Sancho Pança opéra bouffon http://youtu.be/mpnFU3Bzy3A marche de triomphe[img width=600]http://cdn3.volusion.com/nbj2a.qe2p7/v/vspfiles/photos/bologan-philidor-2.jpg?1370586826[/img]
Posté le : 06/09/2014 23:23
Edité par Loriane sur 07-09-2014 10:58:07 Edité par Loriane sur 07-09-2014 14:39:18
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