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Le 28 juin 1934 naît à Tunis Georges Wolinski
de son nom complet Georges David Wolinski, mort assassiné, à 80 ans, le 7 janvier 2015 à Paris lors de l'attentat contre Charlie Hebdo est un dessinateur de presse français. Ses Œuvres principales sont : Elles ne pensent qu'à ça, Sales gosses Il a collaboré au journal Hara-Kiri, versions mensuelle et hebdomadaire, ainsi qu'à Action, Paris-Presse, Charlie Hebdo, La Gueule ouverte, L'Humanité, Le Nouvel Observateur, Phosphore, et enfin Paris Match. Il a également été rédacteur en chef de Charlie Mensuel, et président du prix de la bande dessinée du Point.
En bref
Jeune dessinateur né le 28 juin 1934 à Tunis, Tunisie, Georges Wolinski entre en 1960 au journal Hara-Kiri. Il y parodie les grandes œuvres de la littérature dans un style qui rappelle celui des dessinateurs du magazine américain Mad. Une partie de ces récits sera publiée en album sous le titre Histoires lamentables 1965. Son dessin va progressivement se simplifier, et il quittera sa manière descriptive pour créer des scènes comportant, le plus souvent, deux personnages. Il fait siens les thèmes de l'équipe du journal : l'attaque systématique des tabous sexuels et des grandes institutions de la société, armée, politique, etc. Le titre de plusieurs de ses recueils, Je ne pense qu'à ça, à partir de 1968, résume bien le caractère obsessionnel que prend la sexualité dans ses œuvres comme dans celles de ses amis. Cette série fera l'objet en 1960 d'une adaptation théâtrale mise en scène par Claude Confortès. La représentation qu'il donne des relations entre hommes et femmes n'est pas, sous son aspect provocateur, dénuée d'une certaine critique à l'égard de lui-même et, à travers lui, à l'égard du comportement masculin en général. En 1968, il collabore au journal contestataire Action, puis crée, avec Siné, L'Enragé — publication dont la périodicité est incertaine, Nous ne savons pas encore si L'Enragé sera hebdomadaire, mensuel, quotidien ou interdit. De toute évidence, les deux caricaturistes veulent ressusciter la violence satirique de L'Assiette au beurre. Dans ce brûlot, né à l'occasion des événements de mai, ils se déchaînent contre le général de Gaulle avec un acharnement inouï jusqu'à ... l'interdiction annoncée dans l'éditorial du premier numéro. C'est à la suite de ces événements que Wolinski lancera la formule qui connaîtra une certaine fortune : Je ne veux pas mourir idiot. La pièce portant ce titre a été créée en 1968. De 1970 à 1980, il est rédacteur en chef du mensuel de bandes dessinées Charlie Mensuel. Dans ce magazine, il collabore en tant que scénariste à une série dessinée par Pichard, Paulette, créature aux formes provocantes qui sème le désordre par les désirs qu'elle soulève. Il participe au lancement de Charlie Hebdo, après l’interdiction d’Hara-Kiri Hebdo en 1970 par le ministère de l’Intérieur. L'efficacité de Wolinski tient avant tout à la mise en images du discours de ce qu'il est convenu d'appeler la majorité silencieuse — discours qui semble débité au mètre par des personnages pleins de suffisance, satisfaits de n'avoir aucune idée personnelle et, du même coup, à peu près certains de rencontrer l'approbation du plus grand nombre : gens anonymes mis en place pour énoncer une parole également anonyme. Et les célébrités qui s'appuient sur cette parole font figure d'êtres encore plus anonymes que les autres. L'œuvre de Wolinski est faite de contrastes : elle a peu à peu trouvé sa place dans l'équipe de Charlie Hebdo en opposant sa rondeur aux formes heurtées, corrosives produites par Cabu, Gébé, Reiser, Willem... Dans ses séquences, le dessinateur présente moins des caractères que des formes qui ont des fonctions d'opposition ou de complémentarité. De 1974 à 1981, à la grande surprise de ses lecteurs et de ses amis, Wolinski collabore au quotidien communiste L'Humanité. Contraint de suivre l'actualité et de mettre en scène des personnages « ressemblants », le dessinateur ne parvient pas toujours à assurer la continuité d'un style devenu très populaire. De plus, les propos qu'il prête aux hommes politiques sont trop évidemment marqués par des convictions de fraîche date. De toute évidence, l'artiste force sa propre nature. La série de caricatures publiées dans L'Humanité et réunies en album sous le titre Dessins en l'air 1979 trahit parfois l'influence de Jacques Faizant. Cette activité ne l'empêchera pas de poursuivre sa collaboration à Charlie Hebdo jusqu'à la disparition provisoire de cette publication, en 1981. De 1984 à 1990, Wolinski remplace son ami Reiser, décédé en 1983, comme caricaturiste du Nouvel Observateur. Son parcours est aussi éclectique qu'imprévisible, puisqu'il a travaillé pour Lui de 1972 à 1994, et qu'il a également collaboré au Journal du dimanche et à Paris-Match. Wolinski participe avec Philippe Val, Cabu et Cavanna, notamment, à la recréation de Charlie Hebdo en 1992. En 2012, la Bibliothèque nationale de France lui consacre une rétrospective retraçant ses cinquante années de carrière à travers des dessins de presse, des illustrations, des carnets de croquis, des affiches à caractère publicitaire et culturel. Dans son roman graphique Le Village des femmes 2014, il met en scène un lieu utopique où les rôles portés par les hommes et les femmes sont inversés.
Wolinski est mort assassiné le 7 janvier 2015, lors de l’attaque armée survenue dans les locaux de Charlie Hebdo et revendiquée ultérieurement par Al-Qaida dans la péninsule arabique.Marc Thivolet
Sa vie
Né d'une mère juive franco-italienne, Lola Bembaron, et d'un père juif polonais, Siegfried Wolinski, à la tête d’une entreprise de ferronnerie d’art à Tunis, il est élevé par ses grands-parents maternels pâtissiers, son père étant mort assassiné lorsqu'il a 2 ans4 et sa mère tuberculeuse envoyée en sanatorium en France. Il rejoint à l'âge de 13 ans sa mère remariée. Au lycée de Briançon, où il étudie de 1946 à 1952, il anime un journal, le "Potache libéré". Il y rencontre sa première femme, Jacqueline, épousée en 1961, avec qui il aura deux filles, et qui mourra en 1966 des suites d'un accident de voiture en voulant éviter un chien, alors qu'il se reposait à l'arrière. Il travaille d'abord dans l’entreprise de tricot de son beau-père à Fontenay-sous-Bois, puis publie ses premiers dessins dans Rustica en 1958. Après avoir envoyé ses dessins à François Cavanna, il entre en 1960 dans l'équipe de Hara-Kiri, puis en 1968 dans Le Journal du dimanche où il rencontre sa seconde femme Maryse, il devient rédacteur en chef de Charlie Hebdo de 1970 à 1981. Wolinski oscille au début entre des styles très différents, pour se fixer à terme sur un graphisme évoquant au départ celui de Copi. Rapidement, il acquiert la patte spécifique de l’auteur, qui met l’accent sur l’expressivité de ses personnages là où au contraire Copi les voulait neutres. Les événements de mai 1968 font connaître son travail par l’éphémère revue Action, où il dessine régulièrement. C’est alors la gloire. Les personnages si typiques de Wolinski plaisent et sont sollicités pour des campagnes de publicité d’envergure nationale : Immeuble Le Broca, rue Broca, près du canal Saint-Martin, à Paris. IBM Wolinski dessine un de ses personnages qui balance ses papiers à l’ordinateur en lui disant : Tiens, débrouille-toi! Mars barre chocolatée Rizla+, papier à cigarette, une jeune femme sort d'un paquet en déclarant "je suis dans les petits papiers de Riz la +"; une jeune femme s'habille de petits papiers etc. Ces publicités seront reprochées à Wolinski par les puristes. Il les choisit pourtant au compte-gouttes, n’acceptant que celles qui lui donnent prétexte à faire des choses qui l’inspirent.
Carrière Hara-Kiri
En février 1969, sort le premier numéro de Hara-Kiri dans lequel apparaît un personnage de Wolinski s'esclaffant en citant divers sujets, dont les pendus de Bagdad.
L'Enragé
Pendant les événements de Mai 68, Wolinski — qui a commencé par dessiner dans Action — fonde avec Siné le journal L’Enragé, dans lequel ses dessins prennent une coloration politique. Le journal disparaîtra vite, mais le ton du futur Hara-Kiri Hebdo puis Charlie Hebdo commence à apparaître.
France Soir
Après la parenthèse d’Action, Wolinski est sollicité pour tenir une page de contestation dans le quotidien France-Soir de Pierre Lazareff, où il prend l’habitude de ne pas seulement y contester la société, comme tout le monde, mais aussi le directeur du journal, comme il le résume. La collaboration prendra vite fin.
Charlie Hebdo
C’est dans Hara-Kiri hebdo devenu par la suite Charlie Hebdo, que Wolinski prend sa pleine mesure en dessinant de façon pratiquement hebdomadaire deux personnages repris d’Action : un gros sûr de lui et dominateur, et un maigre d’allure timide, qui tiennent des propos de café du commerce, mais toujours présentés de façon humoristique. Commençant imperturbablement par un Monsieur, qu’on devine prononcé avec emphase, les bandes présenteront ces morceaux de bravoure typiques du style wolinskien : Monsieur, je suis pour la liberté de la presse à condition que la presse n’en profite pas pour dire n’importe quoi ! Monsieur, il y a des moments où je me demande si ça valait la peine de gagner la guerre contre un homme qui nous aurait débarrassés du communisme. Le socialisme, c’est comme la marijuana : c’est peut-être inoffensif, mais ça peut conduire à des drogues plus dures comme le communisme. La bande hebdomadaire se nomme au début L’évolution de la situation. Elle inspirera ensuite plusieurs revues théâtrales de Claude Confortès, toutes nommées Le roi des cons. Ce roi des cons est aussi une trouvaille de Wolinski. Avant lui, l’expression était certes usitée, mais personne n’avait jamais eu l’idée de donner au personnage un visage et moins encore un costume. Le dessinateur lui donnera celui d’un benêt invariablement coiffé d’une couronne et revêtu d’un manteau d’hermine. Ce personnage apparaît pour la première fois lorsque le Shah d’Iran organise des fêtes immenses pour les « 2 500 ans de monarchie ininterrompue à Persépolis, seule la monarchie d’Éthiopie incarnée à l’époque par Haïlé Sélassié fait mieux). Tous les chefs d’État ou presque y sont conviés. Tous hésitent à assister en raison du caractère peu démocratique de ce pays (Pompidou se défaussera et enverra son premier ministre Jacques Chaban-Delmas. Un dessin soulagera d’un seul coup la tension et déclenchera l’hilarité générale. Il est titré : « Le Shah au roi des cons : Vous avez bien fait de venir
L’Humanité
Appréciant l'humour de Wolinski, Roland Leroy, le directeur de L'Humanité - journal auquel il collaborera de 1977 à 1984-, lui propose de devenir dessinateur officiel du quotidien, en lui garantissant qu’il pourra y caracoler en toute liberté. Au grand désespoir de François Cavanna, Wolinski accepte en donnant comme excuse que ça l’amuse d’être honnête. Mais il ne donne plus à ses dessins le caractère militant et parfois agressif qu’ils avaient dans Action, et opte au contraire pour un style bon enfant où il se moque presque de lui-même et où percent parfois des allusions au style du dessinateur du Monde à l’époque, qui se nomme alors Konk. Bien que dénués de ce côté grinçant qui était sa marque de fabrique, ses dessins de l’époque ne perdent rien de leur drôlerie ; et puis la collaboration avec Charlie Hebdo et Hara-Kiri continue pour ce genre de dessins-là .
Paris-Match
Wolinski franchira une dernière étape de sa carrière en devenant également dessinateur de presse à Paris-Match : son mode de contestation a fini par faire partie du paysage français, et Wolinski, dorénavant, de l’establishement, comme un Sempé.
Bande dessinée
Wolinski a également été auteur de bande dessinée. Il a été le scénariste de la série des Paulette, dessinée par Georges Pichard et publiée notamment dans la revue italienne Linus dont il rencontre le fondateur Giovanni Gandini à l'époque où Wolinski est rédacteur en chef de Charlie Mensuel11. Outre ses dessins humoristiques politiques, a signé dans des journaux comme Charlie Mensuel plusieurs séries mettant en scène des personnages récurrents, comme Georges le tueur ou Cactus Joe.
Hannukah Harry
Associé avec Pierre Barkats, un avocat américain, Georges Wolinski s'est lancé dans une nouvelle aventure. Un petit personnage universel qui parcourt les époques interpelle le lecteur sur l'état de la planète. C'est lui qui a apporté le feu aux sauvages dans leurs grottes et il se sent un peu coupable quelque part du réchauffement climatique.
Décès
Georges Wolinski meurt le 7 janvier 2015, abattu par des terroristes lors de l'attentat contre Charlie Hebdo à Paris2. Il est incinéré et ses cendres sont inhumées au cimetière du Montparnasse le 15 janvier 2015. Le 13 juin 2015, la commune de Fenouillet décide de baptiser sa médiathèque Georges-Wolinski en son hommage, en présence de Gilles Broquère, Jean-Luc Moudenc et de sa femme Maryse12.
Vie personnelle
Georges Wolinski perd en 1966 sa première femme dans un accident de voiture. Il avait eu avec elle deux filles, Frederica et Natacha14. Il rencontre en 1968 Maryse, avec qui il a une fille, Elsa.
Récompenses
En 1998, a reçu le Prix International d'Humour Gat Perich. En janvier 2005, Wolinski a reçu la Légion d'honneur. Lors de l’édition 2005 du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême, Wolinski a reçu le Grand prix de la ville d'Angoulême.
Å’uvre Style
Le style de Wolinski possède quelques constantes : de fréquents doubles sens, souvent à connotation coquine. Une présentation si convaincante des positions de la droite que ses lecteurs peuvent parfois se demander s’il s’agit de caricaturer des positions ou si Wolinski n’est pas réellement de droite certains de ses dessins, sous condition qu’on les prenne au premier degré, auraient très bien trouvé leur place dans Le Figaro. Et en fait cette ambiguïté voulue sera elle aussi une caractéristique du travail de Wolinski : au fond, il ne hait pas la droite, il la comprend. Elle l’amuse. Elle n’a plus à ses yeux, ou plus toujours, ce caractère borné qu’il lui trouvait du temps d’Action. Elle fait partie de son paysage comme il fait d’ailleurs partie de la sienne, car les dessins de Wolinski, perçus comme plus gaulois, égrillards, irrévérencieux et frondeurs que proprement politiques sont appréciés maintenant par toute une France qui retrouve un peu d’elle-même dans ses personnages. À l’initiative de Jérôme Duhamel, Wolinski collaborera à un livre commun avec le dessinateur du Figaro Jacques Faizant. C’est mon bon facho, dit Wolinski. C’est mon bon gaucho, dit Faizant. Et tous deux ajoutent en commun qu’ils n’en pensent pas un mot, mais qu’au cas où il y aurait une épuration, ils préfèrent se faire des relations dans l’autre camp à tout hasard !! Wolinski ne se veut pas dans la vie aussi libertin que ses personnages. Il est l’auteur d’une émouvante Lettre ouverte à ma femme, déclaration d’amour à Maryse Wolinski où il s’émerveille que sur dix ans de vie commune ils n’aient passé que trois nuits séparés. Dans sa réponse quelques années plus tard, Chambre à part, celle-ci précisera qu'ils dormaient dans le même logement, mais pas systématiquement dans le même lit. Invité à Apostrophes16 où Bernard Pivot lui demande : Mais enfin, lorsque vous draguez une minette ?. Il répond avec le plus grand sérieux : Je suis marié, monsieur Pivot. Donc je ne drague pas des minettes. Je fais l’amour avec ma femme. Info, ou intox ? Déclaration en tout cas typique de l’ambiguïté toujours voulue par l’inclassable Wolinski. Dans Apostrophes, en 1984, réunissant Jean d'Ormesson, Wolinski et Siné, à 41 min 54 s, Jean d'Ormesson: quand vous sautez une fille, ça vous amuse encore ou vous croyez que vous êtes au bureau? , Wolinski: je ne saute pas une fille, je fais l'amour avec ma femme . Georges Wolinski a été le parrain d'honneur du Salon l'Automne 2014 où il a exposé plusieurs planches, croquis et peintures.
Albums
Histoires lamentables, 1965 Ils ne pensent qu'à ça, 1967 Je ne veux pas mourir idiot, 1968 Hit parade, 1969 Je ne pense qu'à ça ! 3 tomes, 1969 à 1972 Il n'y a pas que la politique dans la vie... 1970 La Vie compliquée de Georges le tueur 1970 Paulette sept tomes, 1971 à 1984 ; dessin de Georges Pichard On ne connait pas notre bonheur 1972 C'est pas normal 1973 Il ne faut pas rêver 1974 Les Français me font rire 1975 Giscard n'est pas drôle 1976 C'est dur d'être patron 1977 Cactus Joe 1977 Wolinski dans l'Huma 3 tomes, 1977 à 1980 Dessins dans l'air 1979 J'étais un sale phallocrate 1979 Mon corps est à elles 1979 La Reine des pommes 1979 ; d'après le roman de Chester Himes Dessins dans l’air 1979 À bas l'amour copain ! 1980 Ah, la crise ! 1981 Carnets de croquis 1965-1966 1981 Les Pensées 1981 La Divine sieste de papa 2 albums, 1981 et 1987, scénario avec Maryse Wolinski Les Romans photos du professeur Choron 1981, co-scénariste uniquement Tout est politique 1981 À gauche, toute ! 1982 La Bague au doigt 1982 Junior 1983 Aïe ! 1984 On a gagné! 1985 Tu m'aimes? 1985 Je cohabite ! 1986 Le Programme de la Droite 1986 Bonne Année 1987 Gaston la bite 1987 Il n'y a plus d'hommes ! 1988 Plus on en parle ... 1989 Tout va trop vite! 1990 Elles ne pensent qu'à ça ! 1991 J’hallucine ! 1981 Les Socialos 1991 Vous en êtes encore là , vous ? 1992 La Morale 1992 Le Bal des ringards 1993 Dis-moi que tu m'aimes ! 1993 Les Cocos 1994 Enfin, des vrais hommes ! 1994 Scoopette 1994 Il n'y a plus de valeurs ! 1995 Nous sommes en train de nous en sortir 1995 Sacré Mitterrand! 1996 Sexuellement correct ! 1996 Viva Chiapas 1996 Cause toujours! 1997 Fais-moi plaisir 1997 Monsieur Paul à Cuba 1998 Trop beau pour être vrai ! 1998 Pauvres chéries ! 1999 Sales gosses 1999 Brèves sucrées et salées de salons de thé 2000 Salut les filles ! 2000 Mes aveux 2000 Le Sens de l'humour 2000 Je montre tout ! 2001 Pauvres mecs ! 2001 Tout est bon dans l'homme 2001 Les Droits de la femme et de l’homme 2002 Le Meilleur de Wolinski 2002 Les Secrets d'un couple heureux 2003 Demain, il fera jour 2004 Une vie compliquée 2004 C'est la faute à la société 2006 Carnets de voyage 2006 La Success story du président 2006 Bonne fête Nicolas 2007 Merci Hannukah Harry 2007 ; scénario : Pierre-Philippe Barkats La France se tâte 2008 Les Femmes sont des hommes comme les autres 2009 Pitié pour Wolinski 2010 La Sexualité des français 2010 Vive la france ! 2013 Les Village des femmes 2014
Cinéma
Scénariste et dialoguiste du film Le Cowboy 1985.
Citations
« Si tout le monde était comme moi, je n'aurais pas besoin de détester les autres. » « L'humour est le plus court chemin d'un homme à un autre. » « Je suis un con, mais quand je vois ce que les gens intelligents ont fait du monde… »
Posté le : 27/06/2015 20:01
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