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De Montpellier
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. Le 20 Octobre 2008 meurt Madeleine Ciquin dite Soeur Emmanuelle 2008
Sœur Emmanuelle était une personnalité très aimée de l'opinion publique en raison de son engagement humanitaire, de sa personnalité, de son caractère exubérant et de son franc-parler, souvent en contraste avec le ton employé par l'Église ou la simplicité d'autres religieux comme l'Abbé Pierre ou Mère Teresa qui s'étaient eux aussi engagés en faveur de plus pauvres et bénéficiaient d'un fort soutien populaire. Elle était très médiatisée depuis son passage en 1990 à l'émission La Marche du siècle de Jean-Marie Cavada13 et s'était construit une image caractéristique avec sa blouse, son fichu, ses baskets et son habitude de tutoyer sans distinction hommes politiques et journalistes.
Sa vie
C'est le 16 novembre 1908 que naît, à Bruxelles, Madeleine Cinquin d'un père français, originaire de Calais, et d'une mère belge, bruxelloise. Elle a des origines juives alsaciennes par sa grand-mère, née d’un père juif du nom de Dreyfus et d’une mère chrétienne au début du XVIIIe siècle. La jeune Madeleine deviendra sous le nom de sœur Emmanuelle, la religieuse la plus populaire auprès des Français, véritable icône de la solidarité. Madeleine est la deuxième de leurs trois enfants. La famille, aisée, appartient à la bourgeoisie textile et mène une existence tranquille, la jeune fille partage ses jeunes années entre Paris, Londres et Bruxelles.. Survient, en septembre 1914, le drame qui marquera à jamais la petite Madeleine : la mort, sous ses yeux, de son père, lors d'une baignade. En 1914, alors qu'elle n'a que six ans, elle est fortement marquée par le décès accidentel de son père, noyé sous ses yeux à Ostende le 6 septembre. Elle était sur la plage et l'a vu nager au loin puis disparaître dans la mer houleuse. Cette expérience la traumatisé profondément et l'a fait se rapprocher de Dieu. Elle déclare que, dans son inconscient, sa vocation de religieuse date de cet accident. Réfugiée dans le nord de la France le temps de la guerre, la famille retrouve la Belgique en 1918. Jolie et coquette déjà , Madeleine va y vivre une jeunesse privilégiée. Elle pratique le tennis et le patinage et prend goût, aussi, à la mode et à la danse. À l'école, on se souvient plus de ses pitreries et de son insolence que de son travail. Pourtant, un trait profond de sa personnalité frappe de plus en plus son entourage. Généreuse, la jeune fille est d'une piété profonde, qu'elle n'affiche pas mais dont elle ne fait pas mystère. Elle se passionne pour l'aventure des missionnaires qui consacrent leur vie aux plus pauvres sur des terres lointaines. À quatorze ans, elle recopie sur ses cahiers les Pensées de Pascal. Il sera, comme elle l'écrit plus tard, son Notre-Dame de Sion à Paris, Quelques années plus tard, Madeleine Cinquin souhaite aller à l'Université catholique de Louvain mais sa mère s'y oppose car elle estime qu'elle y serait trop oisive. Elle remarque alors que sa fille se tourne vers le Christ et tente de l'en détourner en lui faisant rencontrer la supérieure du couvent de Notre-Dame de Sion à Londres. Ceci ne fait que renforcer ses convictions et accentue la quête de toute sa vie, l'aide à l'enfance malheureuse. Après avoir voulu initialement rejoindre les Filles de la Charité, Madeleine entre finalement comme postulante à la congrégation de Notre-Dame de Sion le 6 mai 1929. Après des études de sciences philosophiques et religieuses, elle prononce ses vœux de religieuse le 10 mai 1931 et choisit le nom de Sœur Emmanuelle, qui signifie Dieu avec nous en hébreu.
Une nouvelle vie commence.
La carrière d'enseignante de sœur Emmanuelle commence tout d'abord à Istanbul en Turquie, dans une école pour jeunes filles d'un quartier pauvre de la ville. Sœur Emmanuelle attrape alors la typhoïde et toutes les autres sœurs lui proposent leur sang afin de l'aider à combattre la maladie. Une fois rétablie, en guise de remerciement, sœur Emmanuelle donne une conférence sur la vie de Soliman le Magnifique et impressionne la directrice du collège, Mère Elvira, qui décide alors de l'affecter dans son établissement. Bien que celle-ci se soit engagée à envoyer Sœur Emmanuelle au service des pauvres, elle la convainc qu'elle sera plus efficace si elle enseigne à des jeunes filles aisées, appelées à avoir un rôle influent dans la vie turque. Elle enseigne alors les lettres au Lycée Notre-Dame de Sion. Après la mort de sa supérieure, Sœur Emmanuelle ne s'entend pas avec sa remplaçante et elle est envoyée à Tunis. De 1954 à 1959, elle enseigne en Tunisie pendant cinq ans où elle s'occupe de filles de Français installés dans le pays mais ce nouveau poste ne lui convient pas. En pleine décolonisation du pays, les filles dont elle a la charge lui semblent plus superficielles et l'environnement général la fait doucement sombrer dans une dépression. Ce n'est qu'au bout de trois ans que les responsables de Sion se rendent compte de son état et se décident à la déplacer. Après avoir décroché sa licence ès lettres à la Sorbonne à Paris, Sœur Emmanuelle est de nouveau affectée à Istanbul en 1959 pour une courte durée. De 1964 à 1971, elle est envoyée en Égypte pour enseigner au collège de Sion à Alexandrie. Cette expérience s'avère de nouveau négative pour elle car les élèves dont elle est en charge sont peu ouverts sur la pauvreté. Elle décide donc d'arrêter d'enseigner la philosophie et s'occupe à la place des filles du quartier défavorisé de Bacos. C'est durant cet épisode qu'elle tombe amoureuse de l'Égypte.
En 1971, l'enseignante à la retraite commence son véritable destin.
C'est au Caire, où elle a enseigné huit ans et où elle a éprouvé un véritable malaise face aux inégalités entre riches et pauvres, qu'elle décide de vivre. Non pas pour mais avec les chiffonniers. Elle décide de partir, à l'instar du Père Damien, qu'elle vénère, pour s'occuper des lépreux au Caire mais doit renoncer face à des complications administratives car le lazaret se trouve en zone militarisée. Elle décide alors de partager la vie des plus démunis et, avec l'autorisation de sa congrégation, part s'installer à Ezbet-El-Nakhl, un des bidonvilles les plus pauvres du Caire en Égypte, au sein de la communauté majoritairement copte chrétienne des zabbalines, chargée de la récupération des déchets. En collaborant avec plusieurs églises locales, elle parvient à établir une communauté et lance de nombreux projets de santé, d'éducation et de protection sociale visant à améliorer les conditions de vie. Chrétiens coptes pour la plupart, ces "zabbalines" : parias, vivent des rebuts des autres. Chaque matin, après avoir vidé les poubelles dans leurs charrettes, ils trient les détritus et récupèrent ce qui sera leur nourriture et celle de leurs enfants. Sœur Emmanuelle, devenue "Ableti" la grande sœur, se lève, elle aussi, à cinq heures, attrape un train pour aller à la messe puis patauge avec eux dans les immondices. Avec une énergie farouche et son sens du concret, elle se bat pour ses chiffonniers. En 1976, elle rencontre Sarah Ayoub Ghattas : Sœur Sarah, alors supérieure de la congrégation copte-orthodoxe des Filles de Marie de Béni-Souef. Francophone et issue d'une famille de la bourgeoisie, elle obtient l'autorisation de l'évêque Athanasios, fondateur de la congrégation, pour rejoindre Sœur Emmanuelle à Ezbet-Al-Nakhl dont elle partage la cabane. Soeur emmanuelle lutte pied à pied pour trouver les médicaments contre l'épidémie de tétanos qui tue, à l'époque, quatre bébés sur dix. Mais il lui faut de l'argent pour développer ses projets. En 1977, elle publie son premier livre, Chiffonnière avec les chiffonniers dans lequel elle raconte son combat. En compagnie de Sœur Sarah, elle part en 1978 aux États-Unis afin de récolter des fonds. À leur retour, avec l'argent amassé, elles peuvent investir et en 1980, le Centre Salam est inauguré par l'épouse du président Sadate et propose des dispensaires, des écoles, des jardins d'enfants, des centres de formation et un club socia En 1982, après avoir confié la gestion d'Ezbet-Al-Nakhl à des jeunes religieuses de l'ordre des filles de Sainte-Marie, elle s'occupe des chiffonniers de Mokattam représentant, avec plus de 23 000 personnes vivant au milieu des détritus, la plus grande communauté de zabbalines du Caire. En 1984, elle entreprend une tournée de conférences en Europe et aux États-Unis : elle a besoin de 30 000 dollars pour construire une usine de compost et des logements. Son leitmotiv : faire entrer de l'humanité dans les bidonvilles En 1984, Sœur Emmanuelle vient en aide à cinq familles pauvres et leur permet à chacune de se construire un abri, séparé du lieu où sont triés les déchets. Elle fera plus tard construire ce même type d'abris à plus grande échelle afin d'accueillir le plus de monde possible. Elle continue à utiliser son charisme afin de récolter des dons et mobiliser les pouvoirs. Elle permet de raccorder le bidonville à l'eau et l'électricité et poursuit la construction de nombreuses habitations et d'une usine de compost. En 1985, elle s'installe dans le bidonville de Meadi Tora puis se rend à Khartoum Soudan la même année pour créer des foyers, écoles, fermes et dispensaires. En 1991, on lui suggère de prendre une retraite bien méritée. Elle se rebelle encore, tant elle aimerait mourir au milieu de ses chiffonniers. A l'occasion de la célébration des noces de diamant de sa vie religieuse, le président Moubarak lui remet la nationalité égyptienne en reconnaissance de son œuvre en Égypte.
Retour en France
En 1993, à la demande de sa congrégation, Sœur Emmanuelle quitte définitivement l'Égypte et rejoint sa communauté en France, elle accepte finalement de laisser son assistante, sœur Sara, reprendre les rênes, et s'installe dans la maison de sa communauté, dans le Var. Sa retraite commence dans le silence du recueillement et de la prière. Mais rien ne peut retenir cette communicante hors du commun, cette femme libre et généreuse. Elle n'hésite donc pas à se mêler aux puissants et aux stars du show-biz. Elle court d'un studio de télévision à un autre pour clamer, encore et toujours, la richesse de la pauvreté. Sœur Sarah dirige alors l'entreprise caritative et continue seule le développement du bidonville de Mokattam. Depuis, un lycée pour filles a été créé grâce à l'opération Orange et des écoles techniques ont été ouvertes pour les garçons. Un hôpital a même été construit grâce au prince Albert de Monaco. En 22 années de présence, l'œuvre de Sœur Emmanuelle a permis de scolariser 85 % des enfants, de faire diminuer la violence et de permettre aux femmes de se libérer8.' un Orange et des écoles techniques ont été ouvertes pour les garçons. Un hôpital a même été construit grâce au prince Albert de Monaco. En 22 années de présence, l'œuvre de Sœur Emmanuelle a permis de scolariser 85 % des enfants, de faire diminuer la violence et de permettre aux femmes de se libérer
Son action depuis la France
À son retour en France, Sœur Emmanuelle continue de se battre pour plus de solidarité. Elle écrit des livres, notamment avec sa nièce Sofia Stril-River, rencontre des jeunes dans les lycées et les écoles, s'occupe également de l'association Les Amis de Paola à Fréjus en aide aux SDF et donne des conférences aux côtés de son association pour sensibiliser le public à l'engagement solidaire. Parallèlement, Sœur Emmanuelle continue à donner un souffle à son association. Elle lui transmet ses principes d'actions qui sont chaque jour mis en pratique sur le terrain : "éduquer un homme c'est éduquer un individu, éduquer une femme, c'est éduquer un peuple".écrit soeur Emmanuelle. En 1995, avec Geneviève de Gaulle-Anthonioz, elle est à l'origine de l'orientation de la campagne présidentielle de Jacques Chirac sur le thème de la fracture et de l'exclusion sociale. Le 1er janvier 2002, Sœur Emmanuelle est promue par Jacques Chirac au grade de commandeur de la Légion d'honneur avant d'être élevée, par Nicolas Sarkozy, le 31 janvier 2008 grand officier de la Légion d'honneur. En Belgique elle devint en 2005 grand officier dans l'Ordre de la Couronne. Elle joint le comité d'honneur de Philanthropos, institut d'études anthropologiques fondé en 2003 par le père Nicolas Buttet.
Depuis 1993, elle vivait à la Maison de repos des religieuses de Notre-Dame de Sion à Callian dans le département du Var, où elle est décédée le 20 octobre 2008 à l'âge de 99 ans.
Elle a été inhumée dans la plus stricte intimité, selon ses propres volontés, le 22 octobre 2008 au cimetière de Callian. Le même jour a eu lieu à Paris en la cathédrale Notre-Dame une messe requiem pour lui rendre un hommage collectif. Le lendemain, le 23 octobre 2008 avait lieu à Bruxelles en la cathédrale Saints-Michel-et-Gudule une messe commémorative. Les textes et les chants avaient été choisis par Sœur Emmanuelle elle-même quelques mois plus tôt pour ce qui aurait dû être normalement une messe à l'occasion de son centenaire. Le roi Albert II des Belges ainsi que le prince Laurent et la princesse Claire ont assisté à la cérémonie. Les chants y ont été interprétés par une jeune chorale belge : "la Schola". Plusieurs membres de cette chorale font partie de l'association belge "Les Amis de Sœur Emmanuelle". Les Mémoires de Sœur Emmanuelle paraissent dans le livre Confessions d'une religieuse le 23 octobre 2008, rédigés depuis près de vingt ans et publiés après sa mort, selon ses dernières volontés. Aujourd'hui, une éventuelle possibilité de Procès en Béatification pourrait être ouverte pour le cas de Sœur Emmanuelle
Association et fondation
Afin de poursuivre son œuvre à plus grande échelle, Sœur Emmanuelle a fondé l'association « Les Amis de Sœur Emmanuelle » (devenue ASMAE - association Sœur Emmanuelle) et à l'initiative des Amis de Sœur Emmanuelle Belge (ASBL) a été créée la « Fondation Sœur Emmanuelle ».
ASMAE - Association SÅ“ur Emmanuelle
Article détaillé : ASMAE - Association Sœur Emmanuelle. Afin de la soutenir dans son œuvre, de développer des actions humanitaires en Égypte et dans d'autres pays comme le Sénégal, le Liban, le Soudan, etc. et d'assurer sa relève, Sœur Emmanuelle a fondé deux associations, Les Amis de sœur Emmanuelle en 1980 et ASMAE en 1985, qui ont fusionné en 1987.
Fondation SÅ“ur Emmanuelle
Article détaillé : Fondation Sœur Emmanuelle. Fondation créée en 1993 à l'initiative des Amis de Sœur Emmanuelle, de l'université catholique de Louvain et de la Katholieke Universiteit Leuven. Un prix est donné tous les deux ans à une œuvre qui va dans le sens de l'action de Sœur Emmanuelle en faveur des femmes, des enfants et des plus défavorisés.
Elle court d'un studio de télévision à un autre pour clamer, encore et toujours, la richesse de la pauvreté. Jusqu'à sa mort, le 20 octobre 2008.
Å’uvres
œuvres écrites par Sœur Emmanuelle
Sœur Emmanuelle (préf. Jean-Marie Cavada), Chiffonnière avec les chiffonniers, Ivry-sur-Seine, Éditions de l'Atelier, 1989 et 2007 (ISBN 978-2-7082-3900-5) Sœur Emmanuelle, Une vie avec les pauvres, Paris, Éditions de l'Atelier, 1991 (ISBN 978-2-7082-2897-9) Sœur Emmanuelle, Yalla, en avant les jeunes, Paris, LGF - Livre de Poche, 1999 (ISBN 978-2-253-14567-7) Sœur Emmanuelle, Les Mots du Rosaire, Arles, Actes Sud, 2001 (ISBN 978-2-7427-3442-9) Sœur Emmanuelle, Un pauvre a crié, le Seigneur l'écoute, Paray-le-Monial, Emmanuel, 2005 (ISBN 978-2-915313-50-5) Sœur Emmanuelle, Vivre, à quoi ça sert ?, Paris, J'ai lu, 2005, 149 p. (ISBN 978-2-290343-66-1) Sœur Emmanuelle, Agenda 2009. Une année avec Sœur Emmanuelle, Presses de la Renaissance, 21 août 2008 (ISBN 978-2-7509-0436-4) Sœur Emmanuelle, 365 Méditations de Sœur Emmanuelle, Paris, Presses de la Renaissance, 9 octobre 2008 (ISBN 978-2-7509-0435-7) Sœur Emmanuelle, Je Te Salue Marie, Bordeaux, Elytis, 15 octobre 2008 (ISBN 978-2-35639-007-3) Sœur Emmanuelle, Les Confessions d'une religieuse, Flammarion, 23 octobre 2008 (ISBN 978-2-08-212519-2
Œuvres en collaboration avec sœur Emmanuelle
Sofia Stril-Rever et Matthieu Ricard (préf. Sœur Emmanuelle), Enfants du Tibet : De cœur à cœur avec Jetsun Pema et Sœur Emmanuelle, Desclée de Brouwer, 2000 (ISBN 978-2-220-04810-9) Sœur Emmanuelle et Edmond Blattschen, L'Évangile des chiffonniers, Bruxelles, Alice, 2000 (ISBN 978-2-930182-30-8) Sœur Emmanuelle et Philippe Asso, Richesse de la pauvreté, Paris, Flammarion, 2001 (ISBN 978-2-08-210054-0) Sœur Emmanuelle et Marlène Tuininga, Jésus tel que je le connais, Paris, J'ai lu, 2003 (ISBN 978-2-290-32873-6) Sœur Emmanuelle et Philippe Asso, Vivre, à quoi ça sert ?, Paris, Flammarion, 2004 (ISBN 978-2-08-210341-1) Sœur Emmanuelle et Marlène Tuininga, Le Paradis, c'est les autres, Paris, J'ai lu, 2004 (ISBN 978-2-290-34315-9) Sœur Emmanuelle et Sofia Stril-Rever, La Folie d'Amour. Entretiens avec sœur Emmanuelle, Flammarion, 2005 (ISBN 978-2-08-210528-6) Jacques Duquesne, Annabelle Cayrol et Sœur Emmanuelle, J'ai 100 ans et je voudrais vous dire…, Plon, 20 août 2008 (ISBN 978-2-259-20921-2) Sofia Stril-Rever, Mon testament spirituel:De Sœur Emmanuelle, Paris, Presses de la Renaissance, 2008 (ISBN 978-2-7509-0489-0)
Œuvres consacrées à Sœur Emmanuelle
Pierre Lunel (préf. Bernard Kouchner), Sœur Emmanuelle, la biographie, Paris, Anne Carrière, 2006 (ISBN 978-2-84337-364-0) Sœur Emmanuelle, Mille et Un bonheurs : Méditations de Sœur Emmanuelle, Paris, Carnets Nord, 2007 (ISBN 978-2-35536-004-6) Documentaire Sœur Emmanuelle, le cœur et l'esprit (réalisé par Elisabeth Kapnist) - diffusé sur France 5 en 2007. Spectacle de Pierrette Dupoyet intitulé "L'Amour plus fort que la mort ou une Fleur chez les chiffonniers" (création Festival d'Avignon 1997)- texte paru aux Éditions La Traverse année 1999 = issn 1262-3423
Distinctions
Grand officier de la Légion d'honneur, en 2008 (France) Commandeur de la Légion d'Honneur, en 2002 (France) Officier de la Légion d'honneur en 1996 (France) Grand officier dans l'ordre de la Couronne en 2005 (Belgique) Officier de l'Ordre de Léopold en 1993 (Belgique) Médaille d'Or de l'Académie de Médecine en 1995 Ordre du Mérite en 1980 Doctorat honoris causa de l'université catholique de Louvain en 1987 Remise en 1991 de la nationalité égyptienne par le président Moubarak en remerciement de son œuvre En décembre 2005, elle est élue au 5e rang "du plus Grand Belge de tous les temps" par le public de la RTBF
Liens
http://youtu.be/MqEtgK7hs3s leçon de vie de soeur Emmanuelle http://youtu.be/bmYt-iyE1sg interview sur KTO http://youtu.be/7tcDxYu2yFM chez Pivot http://youtu.be/z9BO3hAo6p0 PPDA parle de soeur Emmanuelle
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Posté le : 19/10/2013 18:57
Edité par Loriane sur 20-10-2013 12:57:52
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