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Des histoire noires? Faits divers |
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Héléne Gillet suppliciée
L'affaire Hélène Gillet fit date dans la jurisprudence du royaume et fut relatée dans de nombreux traités et manuels de justice tout au long des XVII et XVIIIe siècles. Nous suivrons ici la narration raisonnée de maître Richer, avocat à Paris dans les années 1770. Tout commença à la fin de l'année 1624, dans la petite ville de Bourg-en-Bresse alors que le royaume tout entier s'apprêtait à préparer les réjouissances qui devaient se dérouler à l'occasion du mariage de madame Henriette, sœur du roi Louis XIII avec Charles Ier, roi d'Angleterre. " Le résultat du procès-verbal de visite fut qu'elle avait été délivrée d'un enfant depuis quinze jours... "
Hélène Gillet, âgée de 22 ans, était fille du châtelain de Bourg-en-Bresse. Elle fut soupçonnée en octobre 1624 d'être enceinte mais les symptômes qui avaient occasionnés ce soupçon disparurent au bout de quelques temps. Cette rumeur alimentait toutes les conversations de la ville.
Enfin, le lieutenant particulier, prenant le bruit public pour une dénonciation, ordonna qu'Hélène Gillet serait visitée par les matrones. Le résultat du procès-verbal de visite fut qu'elle avait été délivrée d'un enfant depuis quinze jours. L'accusée fut décrétée et constituée prisonnière. Elle convint, lors de son interrogatoire, qu'un jeune homme qui demeurait dans le voisinage de Bourg et qui venait enseigner à lire et à écrire à ses frères, était devenu amoureux d'elle. Elle avait toujours résisté à ses sollicitations, mais qu'enfin, il avait su gagner une des servantes de sa mère qui l'avait enfermée il y a quelques mois dans une chambre avec ce jeune homme qui l'avait violée. Et que le trouble où cet attentat l'avait jetée ne lui avait laissé ni la force, ni la liberté d'appeler à son secours. Quant aux couches, elle n'en voulait pas convenir. Et ce qui est vraisemblablement l'obligeait à se tenir sur la négative à cet égard, c'est qu'elle ne pouvait rendre compte de l'enfant qu'elle avait mis au monde. Elle était sans doute instruite de l'édite d'Henri II de 1556 qui ordonne que toutes les femmes qui auraient celé leur grossesse et leur accouchement et dont les enfants seraient morts sans avoir reçu le saint sacrement de baptême, seraient présumées coupables de la mort de leurs enfants et condamnées au dernier supplice (...)
" Elle fut condamnée par sentence du 6 février 1625 à avoir la tête tranchée... "
Hélène Gillet pouvait d'autant moins ignorer cette loi que l'on exécutait alors ponctuellement l'édit de 1585 qui enjoint aux curés de la publier aux prônes de leurs messes paroissiales, de trois mois en trois mois et aux procureurs du roi et des seigneurs haut justicier de tenir la main à ce que cette publication soit faite. Le rapport des matrones qui avaient cru remarquer les traces d'un accouchement était sans doute une présomption très forte mais ce n'était qu'une présomption qui ne suffisait pas pour opérer une condamnation au dernier supplice.
Le juge était dans cette perplexité quand un soldat, en se promenant, aperçut un corbeau qui faisait des efforts pour tirer un linge d'un creux qui était au pied d'un mur voisin du jardin du père de l'accusé. Il approcha et trouva dans ce linge le cadavre d'un petit enfant. Il alla sur-le-champ faire sa déclaration en justice. On fit la levée du cadavre et du linge qui l'enveloppait. Il se trouva que ce linge était une chemise qui, par la qualité de la toile et par la grandeur était pareille à celles de l'accusée et était marquée, comme elles, des deux lettres H et G, Hélène Gillet.
Le juge crut trouver dans la réunion de ces circonstances un motif suffisant pour se déterminer. Le public, sur les apparences qui annoncent ordinairement la grossesse, avait accusé hautement cette fille d'être enceinte. Quand les marques de la grossesse eurent disparu, des sages-femmes commises par la justice déclarèrent, sous la loi du serment, que cette même fille, que l'on avait vue grosse, portait tous les symptômes d'un accouchement qui avait tout au plus, lors de leur visite quinze jours de date. Et c'était à peu près l'époque où l'on avait remarqué que Hélène Gillet avait cessé de paraître enceinte. Le viol dont elle était convenue elle-même, était une cause toute naturelle de la grossesse dont le public l'avait accusée et de l'accouchement dont les femmes de l'art avaient trouvé les traces. Et ces présomptions paraissaient d'autant plus déterminantes que les époques s'accordaient parfaitement avec le cours de la nature. Du jour du viol dont Hélène Gillet convenait, à la date que les matrones assignaient à l'accouchement dont elles avaient trouvé des traces, on comptait à peu près neuf mois. Et le bruit de la grossesse produit par les apparences avait commencé à se répandre deux mois ou environ avant le terme que les sages-femmes avaient assigné aux couches.
Toutes ces circonstances réunies étaient encore fortifiées par l'enfant que le soldat avait trouvé dans le voisinage de la maison d'Hélène Gillet et enveloppé dans une chemise qui appartenait constamment à cette fille. Enfin le juge crut sa religion suffisamment instruite par les présomptions contre l'accusée et prit sur lui de la condamner par sentence du 6 février 1625 à avoir la tête tranchée.
" Le bourreau reprend le sabre, en décharge un second coup sur la victime et la manque encore... "
La sentence fut confirmée le 12 mai 1625 par arrêt du parlement de Dijon qui ordonna que l'exécution se ferait dans cette ville. Le bourreau fut averti de se préparer pour le faire le lendemain. Il se confessa le matin et communia. Arrivé au lieu du suppliceavec la malheureuse qu'il devait faire mourir, il donne en public toutes les marques de la pus grande inquiétude. Il chancelle et il se tord le bras. Il les lève vers le ciel, il se met à genoux, se relève, se rejette à terre, demande pardon à la patiente et aux prêtres qui l'assistent, leur bénédiction. Enfin le bourreau, après avoir dit qu'il souhaitait être à la place de la patiente qui se prépare à recevoir le coup, lève le coutelas et la frappe dans l'épaule gauche. Hélène Gillet tombe sur le côté droit. Le bourreau quitte son arme, se présente au peuple et demande la mort. Le peuple s'émeut et fait voler des pierres sur ce malheureux.
Sa femme qui avait été témoin de la répugnance avec laquelle il s'était chargé de cette commission, l'avait accompagné pour l'engager à la conduire à fin. Elle relève la patiente qui s'avança d'elle-même vers le poteau, se remit à genoux et présenta sa tête. Le bourreau reprend le sabre de la main de sa femme, en décharge un second coup sur la victime et la manque encore. La fureur du peuple redouble : le bourreau se sauve dans une chapelle qui était au pied de l'échafaud. Sa femme reste seule avec la patiente qui est tombée sur le coutelas, prend la corde qui avait servi à lier la malheureuse Hélène Gillet et la lui passe au cou. Cette fille se défend, l'autre lui donne des coups sur l'estomac et sur les mains, la secoue cinq ou six fois pour l'étrangler. Se sentant frappée de coups de pierres, elle tire par la tête cette infortunée à moitié morte vers les marches de l'échafaud, prend des ciseaux long d'un demi-pied, veut lui couper la gorge et lui fit jusqu'à dix plaies tant au visage, qu'au cou et à l'estomac.
Enfin le peuple, ne pouvant plus supporter un spectacle si horrible, arrache le corps des mains de cette femme, qu'il massacre ainsi que son mari. On emporte la malheureuse Gillet chez un chirurgien dont les secours lui firent revenir les esprits. Elle s'écrie alors : " Je savais bien que Dieu m'assisterait ! " Le parlement la mit sous la garde d'un huissier jusqu'à ce qu'il en fut autrement ordonné
Le récit est tiré des mémoires du temps et d'autres pièces authentiques. Mais je n'ai pu découvrir quel pouvait être le motif du trouble dont le bourreau fut agité, de la répugnance qu'il témoigna pour cette exécution et de l'acharnement féroce de sa femme contre la malheureuse victime qu'elle voulait immoler. Il peut se faire que cet homme n'exerçât que malgré lui cet infâme métier, que des circonstances l'avaient obligé d'embrasser et que sa femme qui y était attachée par sa naissance, voulut le forcer à l'exercer, l'y excitât par sa présence et voulut le substituer pour ne pas perdre la rétribution attachée à cette horrible fonction. Quoiqu'il en soit, un concours de circonstances heureuses opéra le salut d'Hélène Gillet.
Que se passa-t-il pour l'accusée ?
Un condamné qui a été exécuté et qui survit à son exécution doit être exécuté. Il est réputé mort et le jugement est censé consommé. On ne peut pas dire qu'on lui impose une nouvelle peine pour le même crime puisqu'on ne lui fait subir que celle à laquelle il avait été condamné et qui n'avait pas été exécuté. D'ailleurs les jugements de condamnation à mort portent la clause : tant que mort s'ensuive. Le parlement de Dijon se serait donc trouvé dans la nécessité de faire mourir Hélène Gillet, s'il eut été en fonction. Mais il entra, le lendemain même de cette catastrophe dans des vacances ordonnées par lettres patentes dont le motif était vraisemblablement les réjouissances qui se faisaient par tout le royaume à l'occasion du mariage de Madame Henriette, sœur du roi Louis XIII avec Charles Ier, roi d'Angleterre. Des personnes charitables profitèrent de cette circonstance pour solliciter la grâce de cette malheureuse Hélène Gillet. Elle fut accordée par des lettres d'abolition datées de Paris au mois de mai 1625.
Hélène Gillet était-elle vraiment coupable ?
Il faut convenir que cet officier de justice écouta un peu trop le préjugé qui résultait nécessairement de la réunion de tous ces faits. Il était bien difficile sans doute de ne pas croire qu'Hélène Gillet était mère de l'enfant trouvé par le soldat. Mais les motifs qui peuvent faire naître les soupçons les plus violents de l'esprit d'un homme sage et prudent, qui peuvent même lui servir de guide dans sa conduite et la déterminer ne sont pas suffisants pour fixer la justice et dicter ses ordres. Elle doit rester indécise tant qu'elle n'aperçoit que des présomptions, parce qu'il n'y a point de présomption à laquelle on ne puisse opposer des possibilités qui les balancent ou du moins les affaiblissent. Or, on avait connaissance de la grossesse imputée à l'accusée par la voix publique et les bruits populaires. Ont-ils jamais été et peuvent-ils jamais être regardés comme une preuve juridique ? La dépositions des sages-femmes est-elle infaillible ? Combien de causes naturelles ne pourrait-on pas alléguer qui auraient pu les induire en erreur, sans compter la prévention dans laquelle elles ont pu être induites par la renommée ? La circonstance de l'enfant trouvé enveloppé dans une des chemises de l'accusée peut-être le résultat d'une précaution prise par la vraie coupable pour détourner d'elle les soupçons et les faire tomber sur Hélène Gillet ? Enfin, on sait qu'il s'en faut beaucoup qu'un viol, ou même l'approche d'un homme, fût-elle de concert avec la femme, produise nécessairement et infailliblement une grossesse et un accouchement.
1 Causes célèbres et intéressantes avec les jugements qui les ont décidés ; rédigées de nouveau par M. Richer, Amsterdam, M. Rhey, 1772-1788, tome VII.
Posté le : 13/11/2014 15:01
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Re: Des histoire noires? Faits divers |
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Le Pont d'Overtoun Le tristement célèbre pont où les chiens se suicident
[url= UN PONT ENTRE DEUX MONDES par samandari] C’est en Écosse, près de West Dunbartonshire, que ce trouve un vieux manoir victorien connu sous le nom de Overtoun House. Cet imposant manoir fut construit dans les années 1860 par un dénommé James White. Après la mort de ce dernier, son fils John White, l’héritier des terres, passe un accord avec son voisine et fait bâtir le pont d’Overtoun, qui enjambe maintenant un petit ruisseau peu profond du nom de Overtoun Burn.
Ce pont, désormais célèbre sous les noms de "The Dog Suicide Bridge" ou "Leap Rover", à été le théâtre de plusieurs suicides de chien. Selon les dires de ceux qui habitent la région, au moins une cinquantaine de chiens auraient délibérément sauté dans le vide, généralement toujours au même endroit, trouvant la mort 15 mètres plus bas. On raconte même que certains chiens, ayant survécu au premier saut, auraient remonter sur le pont afin de sauter de nouveau. Les chiens sauteraient presque toujours du même endroit, soit le coté droit du pont, et presqu’à chaque fois c’était durant une journée chaude et ensoleillée.
Les curieux évènements entourant cette histoire commencent durant les années 1950-60, lorsque que certains propriétaires de chien racontent qu’ils ont vu leur chien enjamber la rambarde et délibérément plonger dans le vide, laissant leur maître médusé face au suicide de leur animal. Cette curieuse histoire gagna rapidement en popularité, et nombreux sont les propriétaires de chien qui n’osa plus aller y promener leur animal. On raconte que si tous les chiens ne se suicide pas, ils ont généralement tous une attitude étrange lorsqu’il traverse le pont.
Une cinquantaine de chiens se seraient suicidé depuis le début de cette histoire.
En 1994, un évènement troublant relança la popularité du pont d’Overtoun, lorsque qu’un résident de l’endroit, Kevin Moy, jeta son petit garçon du haut du pont, affirmant que son fils était l'anti-Christ. L’enfant, mortellement blessé, est décédé le lendemain. Son père quand à lui, s’est introduit dans le Overtoun House, pris un couteau de cuisine et tenta de s’ouvrir les veines. Il survécu à ses blessures et est maintenant interné. Selon lui, Satan a posé la marque du diable sur la tête de son enfant, et ce dernier aurait provoqué la guerre du Golfe.
Pour Donna Cooper, une écossaise d’origine, cette histoire doit être prise au sérieux. Son chien Ben, un colley, fait partie des victimes de ce mystérieux pont. C’est en 1995, lors d’une promenade que, sans avertissement, Ben sauté par-dessus un parapet du pont de granite et est tombé 15 mètres plus bas, sur les rochers en contrebas.
«Sa patte et sa mâchoire était cassée et son dos a été brisé. Le vétérinaire a dit que le chien souffrait et ne s’en remettrais pas, nous avons donc dû le laisser partir », se souvient Donna.
Non seulement le cauchemar qu’elle a vécut était complètement horrible, son jeune fils a, lui aussi, assisté à toute la scène. Ce fut une expérience traumatisante pour l’enfant en jeune age.
Kenneth Meikle peut sympathiser avec la famille Cooper parce que, lui aussi, a dû regarder avec horreur que son golden retriever, Hendrix, sauté du pont même à peu près au même endroit. Heureusement pour lui, son chien est attéri sur un lit de mousse, ce qui a amorti sa chute. L’animal va bien et s’est totalement remis de sa chute.
«Je me promenais avec ma conjointe et les enfants quand tout à coup la chien a grimper sur la rambarde et sauté en bas. Ma fille a criée et j'ai couru vers la rive à l'endroit où le chien était couché. Nous avons réussi à le récupérer. »
Une femme du nom de Fiona Craig,qui explique que son compagnon à quatre pattes a courus vers le pont et a sauté. La même chose est arrivée à un autre écossais nommé Ken Low, qui visitait l’endroit et regardait la chute d'eau quand son chien âgé de six ans à monté sur le parapet pour ensuite se jeter en bas.
La popularité de l’endroit ne cessa de s’accroitre et cette histoire devint de plus en plus connue. Rapidement la société protectrice des animaux ainsi que plusieurs enquêteurs des phénomènes paranormaux tentèrent d’élucider ce mystère. Cependant, aucune explication logique ou irréfutable ne fut trouvée.
Certains suggère que le fantôme d’une femme hanterait le pont, et que cette dernière pousserait les chiens à sauter en bas. Le pont s’est d’ailleurs forgé une solide réputation d’endroit hanté et mystérieux, de nombreux touristes font le détour pour venir le voir chaque année. Nombreux sont les médiums et les voyantes qui ont tenté de trouver une explication surnaturelle au problème. Dans la mythologie celtique, Overtoun est connu comme «le point faible» - un domaine dans lequel le ciel et la terre ont la réputation d'être proche. Certes, les chiens ont montré dans le passé à être plus sensibles que les humains. Ont-ils été "effrayés" par une force surnaturelle ou externe émanant du pont, et délibérément sauter à la mort?
D’autres ont avancé l’idée que le pont, étant fait en granite, possède des murets assez hauts, au travers duquel les chiens ne peuvent pas voir. Les chiens pourraient donc êtres tenté de grimper sur le parapet, sans se douter que c’est la mort qui les attends de l’autre coté.
Les recherches d’intensifient
Psychic Mary Armour a pris son propre labrador pour une promenade le long du pont pour tester la théorie. Cependant, elle n'a signalé aucun sensations inhabituelles. Il semblerait selon elle que le problème ne serait pas de nature surnaturelle ou psychique.
«Les animaux sont hyper-sensibles au monde des esprits, mais je ne me sentais pas toute l'énergie négative. »
En effet, Marie a dit qu'elle a éprouvé un sentiment de «calme et de sérénité pur», mais a admis que son chien a tirer vers le côté droit de la structure.
Le Dr Sheldrake prétend que les chiens peuvent sentir des choses qui échappe à a la logique de l’homme. Il cite une expérience dans laquelle la propriétaire d’un chien devait quitter la maison et laisser son chien dans la demeure. Elle devait retournée chez elle dès que le chercheur lui demanderait, mais en utilisant un taxe pour ne pas que son chien puisse reconnaitre le son de sa voiture. Seulement 11 secondes après que le Dr Sheldrake lui a dit de rentrer à la maison, le chien s’est déplacé vers la fenêtre, où il pouvait regarder et d'attendre son arrivée. Il y est resté la totalité des 15 minutes qu'il a fallu à la femme de se rendre à domicile, prouvant, selon le Dr Sheldrake, que les pensées et les intentions peuvent être transmises à des chiens.
Il y a aussi David Sands qui a trouvé un candidat probable pour défier le pont. Il a été chercher Hendrix, le chien connu pour avoir survécu à une chute, pour une promenade le long du pont. Hendrix était indifférent jusqu'à ce qu'ils arrivent à une extrémité du pont, là ou le chien avait sauté plusieurs années auparavant. Hendrix, tendu, a étudié le mur. Mais le chien, age de 19 ans, n’a pas eu la force de faire beaucoup plus que cela, mais c'était assez pour suggérer une enquête plus approfondie. David Sexton, de la Société royale pour la protection des oiseaux et de la faune, a trouvé de nombreux nids de visons. Ainsi, M. Sands mis en place une démonstration informelle avec dix chiens pour voir comment ils réagissent face à ces parfums. Sur un terrain préparé avec des objets contenant les odeurs de souris, d'écureuil, et le parfum de vison. L’un des chiens est allé à l'odeur d'écureuil, deux ont préféré jouer avec leurs maîtres, et les sept autres sont aller tout droit vers l’odeur de vison.
Il serait donc probable que les chiens soient attiré par la forte odeur des visions habitant cet endroit. Fait particulièrement intéressant avec cette théorie, c’est que les visions furent introduit sur ces terres au débuts des années 1950, soit, la période durant laquelle ont été rapporté les premiers suicides de chiens. Aussi, les incidents arrivent généralement par temps chauds et sec, alors qu’on sait qu’une telle température rend les odeurs plus perceptibles. Cependant, il faut beaucoup plus qu’une odeur pour convaincre une chien de sauter d’une hauteur de 15 mètres.
Que ce soit l’architecture du pont, l’odeur des visons, du fantôme d’une femme ou encore de plusieurs de ces facteurs réunis ensemble, cette histoire est des plus mystérieuse.
Posté le : 23/11/2014 11:18
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