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Re: Défi thème d'écriture du 23 septembre
Plume d'Or
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Violette, tu l'as échappé belle, c'est incroyable cette histoire , c'est vrai ?

Posté le : 28/09/2013 16:51
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Re: Défi thème d'écriture du 23 septembre
Plume d'Or
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Trop fort le pharmacien !

Posté le : 28/09/2013 16:46
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Re: Les belgicismes
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Lettre B

Babeler : bavarder
Babelute : sucre d’orge ou bavard
Bac : poubelle ou bac de bières
Baise : baiser affectueux
Ballotin : carton à pralines
Bande : voie de circulation
Baquer : verser, jeter
Barraque à frites : friterie
Bardaf ! : patatras !
Barrière Nadar : barrière Vauban
Bas-collant : bas, collant
Bassin de natation : piscine
Lait battu : babeurre
Bel-étage : rez-de-chaussée surélevé
Berdouille : boue
Berloquer : vasciller
Berme : Terre-plein central. En Belgique, la berme désigne l'espace qui sépare les 2 chaussées d'une autoroute. En France, la berme est un sentier étroit aménagé entre le pied d'un rempart et un fossé ou encore entre une levée et un canal.
Biesse ou biète : idiot
Biloute : appellation affectueuse, rendue célèbre par le film de Dany Boon
Bisbrouille : fâcherie, brouille
Bisser : doubler une classe
Biture : grosse cuite
Bleffer : baver
Bleu de : fou de
Blinquer : briller
Bloquer : étudier
Bobonne : Grand-Mère
Boentje : béguin
Boiler : chauffe-eau
Bomme : poutre de gym
Boudine : nombril, ventre
Boudoir : biscuit à la cuiller
Boule de Berlin : beignet à la crème
Bourgmestre : maire
Boyaux : intestins
Braire : pleurer
Brayette : braguette
Breyoû : qui a la larme facile
Bricaillons : gravats
Brol : désordre
Brosser : sécher les cours
Brusselair : bruxellois
Buse : échec à un examen

Mise en pratique :

« Chérie, enfile tes bas-collants. On sort manger chez les Vandeputte.

- Les brusselairs ? Je ne les aime pas trop. Elle n’arrête pas de babeler et elle est biesse. Et lui, il bleffe en mangeant. Je pense qu’il a un problème aux boyaux. Bêk ! Dis … je viens de blinquer mon vélo et la roue berloque. Tu peux la réparer.

- Demain.

- T’as plus le temps de rien depuis qu’t’es bourgmestre. Un jour, je pédalerai et patatras dans la berdouille ou les bricaillons !

- Pas de bisbrouille ! Je le ferai demain. On leur ramène un truc ? Un ballotin de pralines, des boules de Berlin, des babelutes ou des boudoirs ?

- Tu vas leur donner et ils vont tout baquer. T’as parlé avec le gamin ? Il a encore brossé les cours jeudi. Déjà qu’il a bissé ! Il aura que des buses en fin d’année et il va braire que c’est pas de sa faute. Tu as vu le brol dans sa chambre ?

- Pendant les examens, on n’aura qu’à l’enfermer dans sa chambre. Il sera obligé de bloquer.

- T’as toujours de bonnes idées. Je suis bleue. Viens me faire une baise.

- J’ai toujours eu un boentje pour toi. Tant pis pour les Vandeputte. On va à la barraque à frites ?

- D’accord mais ferme ta brayette. »

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Posté le : 28/09/2013 14:57

Edité par couscous sur 18-01-2014 14:13:53
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Re: Défi thème d'écriture du 29 septembre : Une sensation étrange
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Cette incroyable sensation d'avoir basculé dans l'impossible, l'irrationnel , le délirant ! Ces quelques secondes où tout devient différent et inexplicable.
Puisque c'était à moi de choisir le thème, il est assez naturel que celui-là me soit venu à l'esprit. Je suis assez souvent plongé dans des réflexions qui, sans que je m'en rende compte, m'écartent de la réalité suffisamment longtemps pour que quelque chose intervienne sans que je m'en aperçoive . Le retour sur terre, quelques instants plus tard, semble se produire dans un autre espace-temps. Un exemple:

Hourtin 1959 . Centre d'incorporation de la Marine Nationale .
Ma compagnie vient de s'installer dans une nouvelle chambrée agencée pour l'accrochage des hamacs que nous venons de recevoir L'idée que vous vous faites des hamacs n'a probablement rien à voir avec les véritables hamacs des marins, mais c'est une autre histoire..
Nos hamacs pliés sur la travée d'accrochage, nous avions tout le reste de la matinée pour vider nos sacs et ranger nos placards, avant la sonnerie pour la soupe. Donc 2 ou 3 heures à rester dans la chambrée.
Comme je recevais chaque jour un abondant courrier de mes copines éplorées ( c'est elles qui le disaient, les menteuses..), je me suis dit que j'avais tout le temps pour aller le chercher au bureau du vaguemestre.Ce que j'ai fait.
Vous dire si mon retour vers la chambrée a été faite à petits pas..
J'étais en train de lire une lettre en en passant la porte. C'est le silence complet qui m'a fait lever les yeux. Personne ! tout le monde disparu ! Mon esprit a aussitôt cherché une raison rationnelle à cette brusque disparition, en quelques minutes, de tous mes camarades. La plus logique était qu'une soudaine décision de manoeuvres avait été prise par notre formateur et qu'ils étaient tous sur l'esplanade en train de s'entraîner.
Mais, bon sang, pour cela, il avait fallu qu'ils se mettent en tenue ! et comme je les avais quittés alors qu'ils étaient plutôt en calcif, je n'imaginais pas comment ils avaient pu faire aussi vite.
Qu'importe, je décidais de vite me préparer et de foncer les rejoindre. En retard, d'accord, mais qu'est-ce qu'on allait me faire ? me priver de dessert ? au pire, me mettre de faction ? Ben j'aurai le temps de lire mon courrier.
Je me dirigeais vers mon caisson, la clé de mon cadenas à la main. Stupeur ! on avait remplacé mon cadenas ! la bouche béante et les yeux écarquillés, j'ai contrôlé le nom sur la porte du caisson. Pas d'erreur, c'était bien mon nom et mon prénom !
Vous voyez ce que je veux dire en parlant de troisième dimension ? Je me suis réellement demandé où j'avais été transporté...
La stupeur m' immobilisait. Je ne peux même pas dire que je réfléchissais. Réfléchir à quoi ? Un néant d'incompréhension m'habitait et je laissais le temps passer.
Mes yeux ont tout de même enregistrer le passage en courant d'un type qui fonçait probablement vers les toilettes. mais c'était un gars de ma compagnie !
Le fait de me trouver devant mon caisson ne m'a pas aidé à comprendre la situation, mais il s'était tout de même passé quelque chose de concret.
Alors, je suis sorti pour voir d'où il pouvait bien venir.... Et j'ai entendu un brouhaha de voix, venant de la chambrée d'à côté. J'y entrais , et tout était en place.
Toujours intrigué, j'allais vite vers le caisson censé être le mien. Il était là ! avec MON cadenas et...toujours mon nom et prénom posés dessus.
J'ai expliqué mon histoire à mes copains qui se sont payé ma tête, mais c'était bien normal, et nous sommes tous allés voir le fameux caisson, dans la chambrée d'à côté.
Il y avait bien un autre marin, ayant mon nom et mon prénom, qui occupait le caisson au même emplacement que le mien, à côté.
Je suis allé faire sa connaissance, dans la soirée.
Nous n'avions absolument rien de commun : ni le physique, ni la région d'origine, ni les projets. Simplement notre prénom, notre nom et.... deux caissons jumeaux.


Posté le : 28/09/2013 13:44
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Re: Les expressions
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« Mener une vie de bâton de chaise »


Avoir une vie désordonnée, agitée, une vie de plaisirs et de débauche.


S'il est vrai que les chaises en bois sont en partie un assemblage de 'bâtons', pourquoi auraient-ils une vie trépidante à l'origine de l'expression ?

En réalité, il faut remonter dans le temps, à l'époque des chaises à porteurs, comportant deux grands bâtons latéraux servant à porter la chaise et son contenu humain.

Après, les avis divergent sur l'origine de l'expression.

Elle pouvait venir du fait que les bâtons étaient constamment manipulés, soulevés, posés, tirés pour dégager la porte de la chaise, remis en place...
Ces bâtons avaient une existence très peu reposante, ce qui explique l'expression dans laquelle l'idée d' "activité excessive" a peu à peu fait place à l'idée de "vie désordonnée".

Mais elle pouvait aussi venir de la vie que menaient les porteurs, toujours en déplacement puis à attendre le retour du propriétaire de la chaise, de préférence dans les lieux de débauche, tripots, bordels...dans lesquels ils transportaient leurs bâtons avec eux pour ne pas se les faire voler, la vie des bâtons étant alors assimilée à celle des porteurs.

Posté le : 28/09/2013 11:42
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Défi thème d'écriture du 29 septembre : Une sensation étrange
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Vous avez certainement, au cours de votre vie, éprouvé l'impression de vivre un moment aberrant, illogique et vous avez eu l'impression d'avoir changé de planète ?
Racontez-le !

Posté le : 28/09/2013 10:18
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Re: La rubrique de BACCHUS : Quand sa lyre délire.
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Quelle bagout ! Je ne te connaissais pas cette capacité à lever les foules. Tu leur fait un bras d'honneur et ils t'acclament !

Un Derrick dans chaque cité, mais il y a pas assez d'épisodes. Et puis, les gens vont s'endormir ...

Je serai présente lors de ton prochain discours. N'oublie pas d'apporter un bon couscous

A bientôt !

Posté le : 28/09/2013 06:45
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Re: Faut pas se moquer des papys
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Je partage bien ton avis ! FAUT PAS SE MOQUER DES PAPYS !

Posté le : 27/09/2013 21:22
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La rubrique de Bacchus : Quand sa lyre délire.
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La tribune hebdomadaire de Bacchus


Cette semaine : Bacchus commence à s'écouter !

Loriennes, Loriens, chers citoyens pas aussi bêtes qu'on le dit,
je me suis rendu compte récemment, durant mes méditations nocturnes, que j'avais, tout comme nos têtes pensantes et dirigeantes, une certaine capacité et une aisance me permettant d'inventer des promesses nouvelles, inédites, plaisantes et si irréalisables que personne n'aurait l'idée de me demander de les concrétiser.
Toutefois, comme elles entrent dans le cadre de ce que vous aimeriez entendre,j'ai jugé utile et profitable, pour moi d'abord, de vous les soumettre, après les avoir testées devant une foule d'électeurs en puissance, venus m'écouter grâce à l'affichage racoleur de quelques promesses aussi nébuleuses que démagogiques, ce qui résume bien le contenu de mon programme.
Voici les termes de mon discours :

- Amies, amis et ami ( j'en avais un dans la salle ),
Votre étonnement de me voir devant vous ce soir, en ce lieu, n'a d'égal que ma surprise de vous y trouver.
Attendez-vous à ne pas entendre tout ce qu'il est coutumier de dire durant ce genre de rencontres: seule l'habitude m'y fera parvenir. Toutefois, je peux vous assurer, la main sur le coeur, que je ne vous ferais jamais de promesses outrageant le bon sens et dont la possible réalisation par d'autres, plus entreprenants que moi, est envisageable.

Le brouhaha que j'entendis me fit comprendre que chacun finissait de s'installer.

D'emblée, j'engageais mon auditoire à me poser des questions, n'ayant rien de mieux à proposer que des réponses éventuelles, et vagues, si possible.
Un petit premier de sa classe se leva et attaqua durement :
- Monsieur, que compteriez-vous faire contre la hausse incessante du prix du pétrole ?
Bonne question..Je crois qu'il l'avait bien mérité, son vélo neuf.
- Vous me prenez au dépourvu, mais je vais vous répondre. Le pétrole ? mais le pétrole est à un prix qui, somme toute, nous est bénéfique !
Je me suis réjoui un moment devant les mâchoires qui s'affaissaient, devant moi, puis je plaçais mon petit couplet :
- Etes-vous conscients des avantageuses retombées économiques du prix élevé du pétrole ? Ne voyez-vous pas les bénéfices que nous en tirons ? : La rénovation des châteaux de notre beau pays ? La modernisation de nos hôtels-palaces et des restaurants de renom ainsi que des boutiques de luxe ? Le fort impact stimulant sur nos sportifs ?
Non, en vérité, je vous le dis- j'avais alors une force intérieure dont je ne savais la provenance- je vous le dis, plutôt que de nous en plaindre, que cela, au contraire, nous dynamise. Sachez-le bien : en France, nous n'avons pas de pétrole, mais nous avons des cités ! Je préconise la mise en chantier de derricks, dans chaque cité .
Qu'un souffle de fraîcheur s'étende sur nos villes. Forez ! Forez ! qu'un air nouveau vous environne !

Je compris que je venais de gagner la partie.
Quelques exclamations enthousiastes fusèrent, un désir intense se manifesta :
- Du vent !
- Tu manques pas de souffle ! constata un petit gars, admiratif.
- Tu nous pompes l'air, reconnut un autre, reconnaissant.
Et la voix d'un poète s'éleva :
- Tu noues les brises !
J'appréciais sa formule imagée.
J'enchaînais dans l'esprit de poésie qui venait de s'instaurer :
- Je vous reconnais bien là, O vous, amis poètes de France. Ce que vous ne pouvez obtenir sur terre, vous l'avez bien dans la lune . Et bien ce soir, l'homme que je suis, l'adulte majeur, s'adresse à vous. Et ce majeur se dresse, ferme et levé bien droit, devant cet auditoire, pour vous affirmer qu'il peut combler pleinement le sombre gouffre devant lequel nous nous trouvons. Faisons un grand pas en avant . Croyez-le, votre bonheur sera le mien. Ce bras, que vous voyez tendu, sera là pour vous aider et, croyez-le bien, ce bras est un bras d'honneur et de soutien.

C'est alors que mon auditoire, soulevé par un enthousiasme délirant, me fit l'offrande, par voie des airs, malgré la faiblesse de ses moyens,d'une large part du repas qu'il avait apporté.
Aussitôt mes sbires, je veux dire mes assistants, ramassèrent, avec précaution, tous ces aliments dans le but de les redistribuer de la même façon, en réponse à leurs prochaines offrandes, à tous les affamés qui viendront m'honorer de leur présence, à mon prochain meeting.

Loriennes, Loriens, je crois que mon action a bien démarré.
Rejoignez-moi à l'occasion de mon prochain discours.
N'apportez rien : le repas vous sera fourni.

Posté le : 27/09/2013 20:09

Edité par Loriane sur 06-10-2013 00:05:05
Edité par Bacchus sur 06-10-2013 21:47:14
Edité par Loriane sur 14-10-2013 21:42:36
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Re: Jeliane, enchantée (courbette).
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Salut Jane !

Je suis très heureuse que tu aies enfin pu nous rejoindre ici après de longues tribulations techniques

J'ai hâte de te lire !

Je te souhaite la bienvenue et que ta route soit longue avec nous.

Couscous

Posté le : 27/09/2013 17:17
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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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