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L'Ecran Mystérieux |
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Plume d'Or
Inscrit: 23/10/2013 18:00
Niveau : 32; EXP : 86 HP : 0 / 796 MP : 493 / 24935
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Je viens de rencontrer l'écran mystérieux. Vous ne savez sans doute pas ce qu'est cet horrible écran! Alors voici. J'ai un ordinateur HP. Il y a une semaine lorsque j'ai appuyé sur le bouton pourle faire demarrer, je n'ai obtenu qu'un écran NOIR. Rien ne marchait. J'ai tout essayé. J'ai été voir le réparateur.Il l'a fait marcher pour une minute. Arrivé chez moi, RIEN: L'ecran NOIR. J'ai enfin réussi à le faire démarrer une fois sur 10 grace à des compresses chaudes et des bains de pieds, mais finalement j'ai décidé d'acheter un autre ordi. Mais quand? Quekqu'un a-t-il eu affaire avec "l'écran noir"? Exem désespéré.
Posté le : 05/01/2014 03:19
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Charme ( Belafonte) |
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Administrateur
Inscrit: 14/12/2011 15:49
De Montpellier
Niveau : 63; EXP : 93 HP : 629 / 1573 MP : 3166 / 57801
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Posté le : 05/01/2014 00:35
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Re: Ceux qui ont inspiré les beatles Everly brothers |
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Administrateur
Inscrit: 14/12/2011 15:49
De Montpellier
Niveau : 63; EXP : 93 HP : 629 / 1573 MP : 3166 / 57801
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Idem pour moi Tu te souviens comme ces sonorités étaient nouvelles ? " bird dog" m'a beaucoup marqué, c'était si différent de tout ce que l'on entendait et quand les Beattles sont sortis, j'ai pensé qu'ils étaient les fils spirituels des Everly brothers. J'étais aussi très Elvis, Little Richard, Amstrong, Bill Halley, Bobby Helms, ... Les platters, Ray Charles, Fats domino, los machucambos, toute cette musique c'était une drogue et je me pâmais sous la voix de Harry Belafonte. Je les ai presque tous vus en concert à Paris. J'ai toujours étudié en musique, et je me faisais toujours engueuler. http://youtu.be/FFjGsYvB8oc
Posté le : 04/01/2014 23:22
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Re: Premier défi de l'année |
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Modérateur
Inscrit: 03/05/2012 10:18
De Corse
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09h... j'ouvris un oeil et, le manque de relief m'agaçant, je pris la première décision de la journée : j'ouvris l'autre. Effectivement, on voit les choses autrement. Comme chaque matin, j'essayais de me souvenir du rêve d'où je venais d'émerger. C'était très flou. J'avais le très vague souvenir d'un pays étrange que j'avais survolé, par la seule concentration de ma volonté. C'était un type de voyages que je faisais très souvent, depuis mon enfance. Par contre, je me souvenais vaguement aussi que je m'était posé dans un pays bizarre dans lequel j'avais eu des problèmes. Me souvenais plus de quel ordre et je me dépêchais vite de penser à autre chose car, me connaissant, j'étais sur d'y passer une partie de ma matinée. Ce fut donc en prenant bien soin de ne pas me gratter le ventre, ni quoi que ce soit, que je fis mon entrée dans la cuisine où mon épouse se livrait à ses petits jeux favoris devant l'évier. Ben oui ? Pour y mettre autant de persévérance, faut bien qu'elle trouve la part ludique d'une telle occupation, non ? Elle me regarda en souriant et me posa sa question matinale : - " ça va ? " Je me grattouillais un peu la tête ( c'est un tic, chez les hommes : le matin, il faut qu'ils grattent quelque chose ) et lui fis la réponse qui s'imposait : - " Buirk...Je chblidais peinard dans un zangrin, et pis vlan ! j'ai cramahuché mon zigouile en permougnant un pardijon! J'aurais pourtant engluminer pouffigner le darlu... - " Bah, t'en fait pas, tu finiras ton rêve la nuit prochaine..." - " Ah mais que chtoque ! un zangrin qui me chniffe le fouchtrine , je bigougnerai plus qu'achtard ! ça m'a perlichicoter..." - " Tu dis ça, mais je te connais, tu réussis toujours à reprendre le fil de tes rêves. Je sais pas comment tu t'y prends . " - " fastorliche ! L'embrise du permuche, quand tu l'amezingues, il te chouguignave le permuché et tu filbêches fastorlie en falmouniant les chtroumpffs !" -" Qu'est-ce que les chtroumpffs viennent faire dans ton histoire ! là , je ne te suis plus .." - " Heu ? J'ai perchuminé des chtroumffs ? Valde groume ! je dois parnifler du zagaltar ... Nan...Je gloudais , si je motoglive encore des prignetons, en blouvant, c'est le , comment te dire... le fagaltrin qui s'enchipote les pernilles. Non ? " - " Non..ça, ça n'arrive pas deux fois. Bon. Va prendre ta douche pendant que je prépare ton lait. " J'allais à la salle de bain et me retenant courageusement de me gratter et, chemin faisant, je haussais la voix pour continuer la conversation: - " On peut dire ce qu'on veut, y'a des rêves vraiment étranges, hein ? " - " On parlera tout à l'heure, je ne te comprends plus ! "
Posté le : 04/01/2014 22:55
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Umberto Eco |
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Administrateur
Inscrit: 14/12/2011 15:49
De Montpellier
Niveau : 63; EXP : 93 HP : 629 / 1573 MP : 3166 / 57801
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Le 5 janvier 1932 à Alexandrie dans le Piémont Italie, naît Umberto Eco, universitaire,
érudit et romancier italien.
Passionné de Linguistique, herméneutique, épistémologie, esthétique, littérature, Signe, encyclopédie, métaphore, lecteur modèle, sémiosis illimitée, ses Œuvres principales sont Le Nom de la rose Le Pendule de Foucault, Lector in fabula, Sémiotique et Philosophie du langage, Les Limites de l'interprétation Reconnu pour ses nombreux essais universitaires sur la sémiotique, l’esthétique médiévale, la communication de masse, la linguistique et la philosophie, il est surtout connu du grand public pour ses œuvres romanesques. Il est influencé par Aristote, Abélard, Thomas d'Aquin, Guillaume d'Ockham, Charles S. Peirce, Karl R. Popper, Structuralisme. Titulaire de la chaire de sémiotique et directeur de l’École supérieure des sciences humaines à l’université de Bologne, il en est professeur émérite depuis 2008. Sémiologue de renommée internationale, auteur de nombreux essais sur l'esthétique et les médias, figure tutélaire des lettres italiennes, Umberto Eco est venu tardivement au roman avec Le Nom de la rose, qui connut un succès considérable. Le Moyen Âge, les relations entre cultures haute et basse, la réflexion sur les rapports entre signes et sens ne constituent pas pour autant chez lui des champs distincts. Au contraire, ils convergent dans une même méditation, à la fois érudite et ludique, sur l'homme éternel producteur de fables.
Sa vie
Umberto Eco fait ses études supérieures à Turin, où il soutient en 1954 une thèse de fin d'études sur l'esthétique chez saint Thomas d'Aquin, qui sera publiée en 1956 sous le titre "Il Problema estetico in San Tommaso". Il travaille d'abord comme assistant à la télévision, de 1955 à 1958 ; il s'intéresse dans un premier temps à la scolastique médiévale, Sviluppo dell'estetica medievale, 1959, puis à l'art d'avant-garde, L'Œuvre ouverte, 1962 et à la culture populaire contemporaine, Apocalittici e integrati, 1964. Il rencontre un succès immédiat en Italie. Devenu ensuite un pionnier des recherches en sémiotique, La Structure absente, 1968, Trattato di semiotica generale, 1975, il développe une théorie de la réception Lector in fabula, Le rôle du Lecteur qui le place parmi les penseurs européens les plus importants de la fin du XXe siècle, à partir de 1956, il collabore aux revues Il Verri et Rivista di estetica. Il réalise ensuite pour la maison d'édition Bompiani une histoire illustrée des inventions, puis, en 1960, devient directeur d'une collection d'essais philosophiques. En 1963, avec de jeunes intellectuels comme Nanni Balestrini et Alberto Arbasino, il participe à la fondation du Groupe 63. La réflexion sur une esthétique nouvelle qui y est conduite se place notamment sous le signe de Joyce, Borges, Gadda – des auteurs qui resteront centraux pour Umberto Eco. De 1966 à 1970, il enseigne successivement à la faculté d'architecture de Florence, à la New York University et à la faculté d'architecture de Milan. Il obtient en 1971 la chaire de sémiotique à la faculté de lettres et de philosophie de l'université de Bologne et, en 1992, devient titulaire de la chaire européenne au Collège de France. Il dirige également l'Institut des disciplines de la communication et est le président de l'International Association for Semiotic Studies.
Son premier roman, Le Nom de la rose 1980 connaît un succès mondial avec 17 millions d'exemplaires vendus à ce jour et des traductions en vingt-six langues, malgré un contenu dense et ardu. Umberto Eco met en application dans ce policier médiéval ses concepts sémiologiques et ses théories du langage, ceux-là mêmes qu'il enseigne à Turin. En 2002, le quotidien La Repubblica le vend comme supplément au journal tirage spécial à cette occasion : 2 millions d'exemplaires. Son deuxième roman, Le Pendule de Foucault 1988 connaît également un énorme succès, quoique pour des raisons inverses : le public, guidé par Eco, part à la découverte de symboles énigmatiques ou prophétiques, à rebours de la dénonciation de l'ésotérisme qui est pourtant le propos de l'auteur, mais celui-ci démontre par la même occasion que le lecteur est libre de ses interprétations théorie qu'Eco continue de développer dans ses œuvres théoriques sur la réception, Les Limites de l'interprétation en 1990. Le livre tourne d'ailleurs en ridicule l'interprétation à outrance des faits avérés ou légendaires de l'histoire, en tirant avec un égal succès des dimensions d'un simple kiosque à journaux le même genre d'informations de portée cosmique que certains se croient fondés à lire dans celles de la pyramide de Khéops. Umberto Eco donne ensuite plusieurs conférences sur ses théories de la narration en littérature, Six promenades dans les bois du roman et d'ailleurs 1996, sur la traduction, Experiences in translation 2000, et sur la littérature, De la littérature 2003. Tout au long de sa carrière, il écrit régulièrement dans des quotidiens et des hebdomadaires des chroniques sur des sujets de l'heure, avec un souci de débusquer du sens là où on serait porté à ne voir que des faits. Plusieurs recueils, dont seulement certains ont été traduits, regroupent les textes les plus amusants, Pastiches et Postiches 1988 Diario minimo, 1963 et Comment voyager avec un saumon 1998 Il secondo diario minimo, 1992. Certains autres recueils regroupent des textes plus polémiques, Croire en quoi 1998, Cinq questions de morale 2000, Islam et occident 2002. Parmi ses activités les moins connues, Umberto Eco est membre du Forum international de l'Unesco 1992, de l'Académie universelle des cultures de Paris 1992, de l'Académie américaine des arts et des lettres 1998 et a été nommé au conseil de la bibliothèque d'Alexandrie 2003. Il a assuré en 1992-1993 un cours à la chaire européenne du Collège de France sur le thème La quête d'une langue parfaite dans l'histoire de la culture européenne. Fin octobre 2009, Umberto Eco propose l'ouvrage Vertige de la liste qui est traduit par Myriem Bouzaher. En 2010, il est titulaire de plus de trente doctorats honoris causa. Il est élu membre associé de l’Académie royale de Belgique, Classe des Lettres et des Sciences morales et politiques le 7 mars 2011.
Le monde des signes
Ses premières expériences à la télévision italienne ont mis très tôt Umberto Eco en contact avec la communication de masse et de nouvelles formes d'expression, comme les séries télévisées ou la variété. Il y découvre le kitsch, les vedettes du petit écran et, plus généralement, certains aspects de la culture populaire abordés, entre autres, dans Appocalittici e integrati 1964, La Guerre du faux, recueil publié en France en 1985 à partir d'articles écrits entre 1963 et 1983, et De Superman au surhomme 1978. Dans ApocalittÃci e Integrati, notamment, il distingue, dans la réception des médias, deux positions : l'apocalyptique, tenant d'une vision élitaire et nostalgique de la culture et l'intégré qui privilégie le libre accès aux produits culturels sans s'interroger sur leur mode de production. À partir de là , Eco plaide pour un engagement critique à l'égard des médias. Par la suite, ses recherches l'amèneront à se pencher sur les genres considérés comme mineurs tels que le roman policier ou le roman-feuilleton, dont il analyse les procédés et les structures, mais également sur certains phénomènes propres à la civilisation contemporaine, comme le football, le vedettariat, la mode ou le terrorisme.
Si la curiosité et le champ d'investigations d'Umberto Eco connaissent peu de limites, le centre constant de son intérêt reste la volonté de voir du sens là où on serait tenté de ne voir que des faits. C'est dans cette optique qu'il a cherché à élaborer une sémiotique générale, exposée, entre autres, dans La Structure absente 1968, Le Signe 1971, Traité de sémiotique générale 1975, et qu'il a contribué au développement d'une esthétique de l'interprétation. Il se préoccupe de la définition de l'art, qu'il tente de formuler dans L'Œuvre ouverte 1962 : il y pose les premiers jalons de sa théorie en montrant, à travers une série d'articles qui portent notamment sur la littérature et la musique, que l'œuvre d'art est un message ambigu, ouvert à une infinité d'interprétations dans la mesure où plusieurs signifiés cohabitent au sein d'un seul signifiant. Le texte n'est donc pas un objet fini, mais au contraire un objet ouvert que le lecteur ne peut se contenter de recevoir passivement et qui implique, de sa part, un travail d'invention et d'interprétation. L'idée-force d'Umberto Eco, reprise et développée dans Lector in fabula en 1979, est que le texte, parce qu'il ne dit pas tout, requiert la coopération du lecteur. C'est pourquoi le sémiologue élabore la notion de "lecteur modèle", lecteur idéal qui répond à des normes prévues par l'auteur et qui non seulement présente les compétences requises pour saisir ses intentions, mais sait aussi interpréter les non-dit du texte. Le texte se présente comme un champ interactif où l'écrit, par association sémantique, stimule le lecteur, dont la coopération fait partie intégrante de la stratégie mise en œuvre par l'auteur.
Eco romancier
Dans Les Limites de l'interprétation 1991, Umberto Eco s'arrête encore une fois sur cette relation entre l'auteur et son lecteur. Il s'interroge sur la définition de l'interprétation et sur sa possibilité même. Si un texte peut supporter tous les sens, il dit tout et n'importe quoi. Pour que l'interprétation soit possible, il faut donc lui trouver des limites. Elle doit être finie pour pouvoir produire du sens. Umberto Eco s'intéresse là aux applications des systèmes critiques et aux risques de mise à plat du texte, inhérents à toute démarche interprétative. Dans La Recherche de la langue parfaite en 1993, il étudie les projets fondateurs qui ont animé la quête d'une langue idéale. L'idée développée est que la langue universelle n'est pas une langue à part, langue originelle et utopique ou langue artificielle, mais une langue idéalement constituée de toutes les langues.
Professeur, chroniqueur et chercheur, Umberto Eco est également romancier. Ses œuvres de fiction sont d'une certaine façon l'application des théories avancées dans L'Œuvre ouverte ou Lector in fabula. Ses deux premiers romans, Le Nom de la rose en 1980 et Le Pendule de Foucault en 1988, se présentent comme des romans où se mêlent ésotérisme, humour et enquête policière. À chaque page, l'érudition et la sagacité du lecteur sont sollicitées par une énigme, une allusion, un pastiche ou une citation. Le premier roman, situé en 1327, sur fond de crise politique et religieuse, d'hérésie et d'Inquisition, se déroule dans une abbaye où a lieu une série de crimes qu'un prêtre franciscain tentera d'élucider. À partir de là , trois lectures seront possibles, selon qu'on se passionnera pour l'intrigue, qu'on suivra le débat d'idées, ou qu'on s'attachera à la dimension allégorique qui présente, à travers le jeu multiple des citations, "un livre fait de livres". L'Umberto Eco lecteur de Borges et de Thomas d'Aquin est plus que jamais présent dans ce roman qui connut un succès mondial et fut adapté en 1986 par Jean-Jacques Annaud. Le Pendule de Foucault mêle histoire et actualité à travers une investigation menée sur plusieurs siècles chez les Templiers et au sein des sectes ésotériques, tandis que L'Île du jour d'avant e,n 1994 est une évocation de la petite noblesse terrienne du XVIIe siècle. Il s'agit du récit d'une éducation sentimentale, mais également, à travers une description de l'identité piémontaise, d'un roman nostalgique et en partie autobiographique : l'auteur se penche sur ses propres racines, comme il le fera dans cette manière d'autoportrait, et peut-être son livre le plus personnel, qu'est La Mystérieuse Flamme de la reine Loana 2004. Amnésique à la recherche de son passé, Yambo reconstruit son identité en s'appuyant sur ses lectures de jeunesse des années 1930, quand les romans d'aventures français et les bandes dessinées américaines croisaient la propagande fasciste.
Chez Umberto Eco, le romancier et l'érudit ne sont jamais loin du sémiologue passionné de par la littérature.
Travaux
Il fonde en 1988 avec Alain le Pichon l'Institut international Transcultura, réseau universitaire international. Depuis 20 ans, ensemble avec ses partenaires chinois, africains ou indiens, l’Institut développe une approche de la connaissance réciproque et des méthodologies qu’elle suscite. Il s’agit, en considérant la réalité des forces et des ressources culturelles en présence, de proposer des scénarios d’échanges culturels et artistiques, fondés sur ce principe de réciprocité.
L'abduction Umberto Eco distingue quatre niveaux d'abduction.
Oeuvres
Romans
Tous les romans sont traduits en français par Jean-Noël Schifano 1980 : Le Nom de la rose (Il nome della rosa) - Grasset, 1982 - (prix Strega, prix Médicis étranger) dont a été tiré un film de Jean-Jacques Annaud, avec notamment Sean Connery et Christian Slater. Le roman a été augmenté d'une Apostille, traduite par M. Bouzaher. 1988 : Le Pendule de Foucault (Il pendolo di Foucault) - Grasset, 1990 1994 : L'Île du jour d'avant (L'isola del giorno prima) - Grasset, 1996 2000 : Baudolino (Baudolino) - Grasset, 2002 - Prix Méditerranée Étranger 2002 2004 : La Mystérieuse Flamme de la reine Loana (La misteriosa fiamma della regina Loana) - Grasset, 2005 2010 : Le Cimetière de Prague (Il cimitero di Praga) - éditions Grasset, 560 pages, 2011
Essais
Le Problème esthétique chez Thomas d'Aquin (1993) (traduction de Il problema estetico in Tommaso d'Aquino, 1970, édition revue et développée de Il problema estetico in San Tommaso, 1956, sa thèse de doctorat) Art et beauté dans l'esthétique médiévale (1997) (traduction de Arte e bellezza nell'estetica medievale, 1987, seconde édition de « Sviluppo dell'estetica medievale » in Momenti e problemi di storia dell'estetica, 1959) L'Œuvre ouverte (1965, seconde révision 1971) (version originale révisée de Opera aperta, 1962 et incluant Le poetiche di Joyce, 1965) (extrait) Il Nuovo Medioevo (1972) con Francesco Alberoni, Furio Colombo e Giuseppe Sacco (en espagnol : La Nueva Edad Media) Pastiches et postiches (1996) (version augmentée de Diario minimo, 1963) La Structure absente, introduction à la recherche sémiotique (1972) (édition révisée de La Struttura assente, 1968) Le Signe, histoire et analyse d'un concept, adapté de l'italien par Jean-Marie Klinkenberg (1988) (Segno, 1971). A semiotic Landscape. Panorama sémiotique. Proceedings of the Ist Congress of the International Association for Semiotic Studies, La Haye, Paris, New York, Mouton) 1979 (avec Seymour Chatman et Jean-Marie Klinkenberg). La Guerre du faux (1985 ; 2008 pour la nouvelle édition chez Grasset) (tiré de Il costume di casa, 1973; Dalla periferia dell'impero, 1977 ; Sette anni di desiderio, 1983) Beatus de Liébana (1982) (Beato di Liébana, 1973) La Production des signes (1992) (version partielle de A Theory of Semiotics, version augmentée anglaise de Trattato di semiotica generale, 1975) De Superman au Surhomme (1993) (Il superuomo di massa, 1976) Lector in fabula ou la Coopération interprétative dans les textes narratifs (1985) (Lector in fabula, 1979) Apostille au Nom de la Rose (Postille al nome della rosa, 1983) Sémiotique et philosophie du langage (1988, PUF) (Semiotica e filosofia del linguaggio, 1984, Einaudi) De bibliotheca (1986) (conférence du 10 mars 1981, Milan) Notes sur la sémiotique de la réception (1987) (Actes Sémiotiques IX, 81. Documents de recherche. Centre national de la recherche scientifique - groupe de Recherches sémio-linguistiques (URL7 de l'Institut national de la langue française) École des hautes études en sciences sociales) L'Énigme de la Hanau 1609 (1990) (Lo strano caso della Hanau 1609, 1989) (« Enquête bio-bibliographique sur l'Amphithéâtre de l'Éternel Sapience... de heinrich Khunrath. ») Les Limites de l'interprétation (1992) (I limiti dell'interpretazione, 1990) Comment voyager avec un saumon, nouveaux pastiches et postiches (1998) (traduction partielle de Il secondo diario minimo, 1992) Interprétation et surinterprétation (1995) (Interpretation and overinterpretation, 1992) La Recherche de la langue parfaite dans la culture européenne (1993) (La ricerca della lingua perfetta nella cultura europea, 1993) Six promenades dans les bois du roman et d'ailleurs (1996) (Six Walks in the Fictional Woods, 1994) Incontro - Encounter - Rencontre (1996) (en italien, anglais et français) Croire en quoi ? (1998) (In cosa crede chi non crede ?, 1996) Cinq questions de morale (2000) (Cinque scritti morali, 1997) Kant et l'ornithorynque (1999) (Kant e l'ornitorinco, 1997) (en) Serendipities: Language and Lunacy, Mariner Books, 1999 De la littérature (2003) (Sulla letteratura, 2002) La Licorne et le Dragon, les malentendus dans la recherche de l'universel (collectif, 2003), sous la direction de Yue Daiyun et Alain Le Pichon, avec les contributions d'Umberto Eco, Tang Yijie, Alain Rey. Éditions Charles Léopold Mayer. Histoire de la beauté (2004) (Storia della bellezza, 2004) À reculons, comme une écrevisse (A passo di gambero, 2006) Dire presque la même chose, expériences de traduction (2007) (Dire quasi la stessa cosa, esperienze di traduzione, 2003) Histoire de la laideur (2007) (Storia della bruttezza) Histoire de la beauté (2008) (Storia della bellezza) La quête d'une langue parfaite dans l'histoire de la culture européenne Leçon inaugurale au Collège de France (1992), CD audio, Ed. Le Livre qui parle, 2008. Vertige de la liste (Vertigine della lista), Flammarion, 2009. Cet essai est le pendant d'une exposition et d'une séries de conférences orchestrés par Eco, invité du musée du Louvre en novembre 2009. De l'arbre au labyrinthe (2011) (Dall'albero al labirinto) Confessions d'un jeune romancier (2013)
En collaboration
De consolatione picturae, entretien avec Gianfranco Baruchello, Milan, Galleria Schwarz, 1970 Jean-Claude Carrière et Umberto Eco, N’espérez pas vous débarrasser des livres, Grasset,‎ 2009 (ISBN 978-2246742715, présentation en ligne)
Å’uvres pour la jeunesse
Les trois cosmonautes, avec Eugenio Carmi, Grasset, 1989
Traductions
Umberto Eco a traduit en italien les Exercices de style, l'un des ouvrages les plus célèbres de l'écrivain français Raymond Queneau dont il est ami et admirateur proche, par beaucoup de ses travaux, de l'Oulipo.
Liens http://youtu.be/6K227-Dqhkg Mensonges et vérités http://youtu.be/C8Y0its-bzI Bulle de savoir http://youtu.be/fxMa3IuuDAg Le nom de la rose (espagnol)
Posté le : 04/01/2014 22:05
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Re: Ceux qui ont inspiré les beatles Everly brothers |
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Modérateur
Inscrit: 03/05/2012 10:18
De Corse
Niveau : 30; EXP : 5 HP : 0 / 726 MP : 395 / 25860
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Les Everly brothers ont effectivement bouleversé leur époque ( et la mienne ) avec un style de musique tout à fait nouveau. Ce devait être en 1958 que j'ai entendu leur ' Bird dog ' et je me le passais, sur mon électrophone, du matin au soir. Avec Elvis et Little Richard, je ne voulais plus écouter rien d'autre.
"Johnny is a joker (he's a bird) A very funny joker (he's a bird) But when he jokes my honey (he's a dog) His jokin' ain't so funny (what a dog) Johnny is a joker thats a-tryin' to steal my baby (he's a bird dog) "
Posté le : 04/01/2014 21:46
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Re: Les belgicismes |
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Modérateur
Inscrit: 21/03/2013 20:08
De Belgique
Niveau : 44; EXP : 15 HP : 215 / 1078 MP : 1072 / 35636
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Lettre P (2) pensionné: retraité pesteller: trépigner d'impatience pétant: (temps) très chaud péteux: prétentieux péter (se la -): s'y croire pette : échec à un examen picard : de la région picarde piétonnier : zone réservée au piéton pils : bière pinte, pin'tje : verre de bière pissodrome: urinoir pistier: cycliste sur vélodrome pistolet: petit pain de mie long à Liège, rond ailleurs pitjesbak : piste de dés Cher Marcel, Comment vas-tu ? Je ne comprends pas pourquoi tu as quitté notre Belgique natale pour devenir un picard. Ici, la vie continue. Depuis que je suis pensionné, j’adore flâner dans les rues du piétonnier de Bruxelles, près des galeries de la Reine, au mois d’août. J’y croise des touristes parisiens un peu péteux, des étudiants qui révisent pour les examens où ils ont eu des pettes, des touristes chinois qui pestellent devant les boutiques de souvenirs bondées ou grignotent un pistolet à l’américain en grimaçant. Je finis toujours au café « Le Falstaff », devant ma pint’je, à jouer au pitjesbak avec mon ami Robert, ancien pistier. Après plusieurs pils, je rentre à la maison en n’oubliant pas de passer par le pissodrome à côté de l’église. A la prochaine Raymond
Posté le : 04/01/2014 19:20
Edité par couscous sur 18-01-2014 15:26:17
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Re: Les bons mots de Grenouille |
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Plume d'Or
Inscrit: 22/01/2012 16:15
De Alsace
Niveau : 16; EXP : 64 HP : 0 / 391 MP : 105 / 14246
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Bonne année et surtout …. Bonne santé ! ==============================
Il faudrait manger dix fruits et légumes par jour pour être en bonne santé. En attendant, c'est le moment de déguster ces citations et dictons aussi fruités qu'épicés…
" Une lecture amusante est aussi utile à la santé que l’exercice du corps. » Emmanuel Kant
-" La seule question qui concerne la santé est : " qu'est-ce qu'on fait avec ? " John Rockefeller
-" La santé, c'est l'état de grâce caduque qui fait oublier qu'on est depuis notre naissance en péril. " Marc Gendron
La Santé, C'est Le Silence Des Organes Paul Valéry
-" La santé, c’est ce qui sert à ne pas mourir chaque fois qu’on est gravement malade." Georges Perros
« La santé, c'est d'avoir mal tous les jours à un endroit différent. » de Michel Chrestien et si après 65 ans, on a mal nul part le matin au réveil, c'est qu'on est mort.
Il n'y a rien de si nuisible à la santé que la mort. Savinien Cyrano De Bergerac
« Le meilleur moyen de se guérir, c'est encore d'agir comme si on était guéri. » François Hertel
-" On a beau avoir une santé de fer, on finit toujours par rouiller. » de Jacques Prévert -" Peux pas manger de boeuf: vache folle... Peux pas manger de poulet: grippe aviaire... Peux pas manger d'oeufs: salmonellose... Peux pas manger de porc... peur que la grippe aviaire les affecte... Peux pas manger de poisson... les métaux lourds dans l'eau ont empoisonné leur chair... Peux pas manger de fruits et de légumes : insecticides et herbicides Hmm Je crois bien que ça nous laisse plus que le chocolat ! "
« Ce qui indique avec le plus de vérité le caractère d'un homme, c'est la santé de sa femme. » de Cyril Connolly
« Dieu est vivant et en bonne santé. Il est actuellement au travail sur un projet moins ambitieux. » de Roger Minn
« J'ai décidé d'être heureux parce que c'est bon pour la santé. » de Voltaire ( j'essaie d'en faire ma règle de vie … )
« Si l’on tient à sa santé, lire un dictionnaire de médecine : on s’estimera heureux si l’on peut réussir à ne mourir que d’une seule maladie à la fois. » de Léon Brunschvicg
« L’hypocondrie est la seule maladie que les hypocondriaques croient qu’ils n’ont pas. » de Fred Metcalf
-" Odeur (des pieds) : signe de santé. » Gustave Flaubert
« Je connais un homme qui a arrêté de fumer, de boire, de faire l’amour, et de faire ripaille. Il était en bonne santé jusqu’à ce qu’il se suicide. » de Johnny Carson
L'avantage des médecins, c'est que lorsqu'ils commettent une erreur, ils l'enterrent tout de suite... Alphonse Allais
Le whisky est bon pour les artères, les bulles de champagne améliorent le conditionnement du cerveau, le vin aromatise l'estomac et l'eau de vie tue les microbes... Rien de mieux que la médecine naturelle et que d'économies pour la sécu..
« La forte santé incline aux abus. Voilà pourquoi ce sont les malades qui durent et les bien-portants qui claquent. » Maurice Chapelan
« Mourir en bonne santé, c'est le voeu le plus cher de tout bon vivant bien portant. » Pierre Dac
" A soixante-dix ans, il est meilleur pour la santé d'avoir des femmes dans la mémoire que sur les genoux. ", Maurice Chevalier
« Le secret de la longévité, c’est de continuer à respirer. » Bruce Lansky
« A force d’être malade on finit par devenir un bon médecin. »
« Il y a des médecins si ennuyeux qu'ils vous gâtent une convalescence. » Alfred Capus
Apprendre a mourir! Et pourquoi donc ? On y réussit très bien la première fois! Chamfort
QUELQUES DICTONS ==================
" Deux bras et la santé font le pauvre aisé "
" Langue rouge est signe de santé;
" Vin usé, pain renouvelé est meilleur pour la santé "
" La bragette est l'horloge de la santé " ( LA …... JE SUIS VIRÉE DE L' ORÉE !!! )
Qu'une bonne digestion accompagne votre appétit, et qu'une bonne santé s'en suive." Citation de William Shakespeare ; Macbeth, III, 4 - 1605.
A la semaine prochaine ….. peut -être !
Posté le : 04/01/2014 16:41
Edité par Grenouille sur 09-01-2014 10:45:28 Edité par Loriane sur 16-01-2014 22:59:58 Edité par Loriane sur 16-01-2014 23:02:55
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Re: Premier défi de l'année |
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Modérateur
Inscrit: 21/03/2013 20:08
De Belgique
Niveau : 44; EXP : 15 HP : 215 / 1078 MP : 1072 / 35636
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Ah, un défi à la hauteur !
Merci Arielle.
Couscous
Posté le : 04/01/2014 14:45
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Premier défi de l'année |
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Plume d'Or
Inscrit: 06/08/2013 20:30
De Le Havre
Niveau : 25; EXP : 53 HP : 0 / 613 MP : 268 / 19584
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Bonjour à tous,
Meilleurs voeux pour cette nouvelle année ! c'est moi qui est l'honneur de proposer le tout premier défi, je propose :
"Je me réveille et je parle une langue inconnue de tout le monde"
J'espère que ça va vous inspirer.
Bon courage à tous les participants.
arielleffe
Posté le : 04/01/2014 14:39
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