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#501 Re: Défi du 27 mai
Titi Posté le : 30/05/2017 20:31
Délicieux, délicat et terriblement vrai mon cher Isté.

La tendresse du Bourguignon apparaît sous son vrai jour, et comme cela fait du bien!!!

“ est-ce que j’ai quelque chose à moi, Maman qui ne soit pas à vous ?” disait Zola,


Si tous les hommes de la terre avait la tendresse des Mamans,sans doute notre monde serait plus affable et plus doux.

merci Isté pour ce merveilleux hommage à celles qui restent dans nos cœurs , et pour lesquelles une fois qu'elles nous ont quitté, nous font regretter de ne pas leur avoir suffisamment dit combien on les aimait!!!

Amitiés Jacques.


#502 Re: Défi du 27 mai
Titi Posté le : 30/05/2017 20:20
Donald, est ce bien sérieux et responsable de ''chauffer'' ainsi le lecteur lambda???


Pour autant ,il et vrai que l'amour à la plage!!!!!!!!!! si ce n'était pas le sable dans les interstices intimes.......!!



Tu vois, ma mémoire, au contraire d' autres organes........, fonctionne encore très bien ....


On ne peut pas être et avoir été comme disait, d'ailleurs le quidam poète.

-Erreur lui rétorque son contradicteur: Regarde, nous deux, cela fait 30 ans que l'on se connaît, eh bien il y a 30 ans t'étais cocu, et aujourd'hui tu l'es encore!!

Allez Bonne soirée ,mon bon Donald, et si tu vois Cazeneuve, donne lui le bonjour de Mélenchon!!!

Titi



#503 Re: Publication des textes
Loriane Posté le : 28/05/2017 21:35
Je ne vois ton message que maintenant, pardon.
Mais je vois que tu as réglé ton problème, je te félicite.


#504 Re: Hourra!
Loriane Posté le : 28/05/2017 21:34
Bravo ! Tu es un chef.


#505 Re: Défi du 27 mai
Istenozot Posté le : 28/05/2017 19:24
Cher Donald,
Chères amies et chers amis,

Voici ma réponse sans doute une peu émouvante au défi de ce jour. C'est le jour de la fête des mères. Alors je vous avouerais que l'émotion m'a un peu saisi et je la partage avec vous.

Le titre de ma réponse au défi de la semaine est : Maman merci.


En ce jour où tant d’enfants fêtent leur maman,
J’entends la musique de ton âme, de ton cœur.
Elle est une colombe au vol annonciateur.
De tous ses souvenirs, je fais des talismans.

Ils s’éloignent et reviennent ma chère Maman.
Tu es un rêve éveillé dont je suis l’auteur.
Ainsi tu me manques moins dans ma vive ardeur
De voir notre vie intérieure être un roman.

Entends tu monter en moi la chanson Mama,
Elle dit bien ce que je ressens, sans cinéma.
Elle me conquiert, elle m’envahit et elle m’émeut

Merci ma chère maman pour ce que je suis
De rêve en rêve, avec toi, j’ai beaucoup acquis.
Souffle en moi le vent de ces mots : Jacques le peut !

https://youtu.be/Utm4T6lT7pE

Amitiés de Dijon.

Jacques


#506 Hourra!
aile68 Posté le : 27/05/2017 20:43
Tout va bien! J'ai réussi à publier mon texte. Hourra!


#507 Re: Défi du 27 mai
Donaldo75 Posté le : 27/05/2017 20:28
Je me devais de répondre à mon propre défi par une chanson dédiée à Muriel Moreno, la chanteuse du fameux groupe Niagara, l'égérie de nombreux adolescents de mes jeunes années.

Niagara mon amour

Je ne sais pas d'où sort cette musique
Chantée par une poupée de plastique,
La sculpturale Muriel Moreno
Et son look plus starlette que sténo.

Elle m'invite à danser avec elle,
Son cha cha cha attaque ma cervelle,
Descend plus bas à me rendre dingo,
Jusqu'au point où fusionne mon ego.

Elle me parle d'amour à la plage,
Tord sa bouche de fille pas très sage,
Brille de tous les feux du mascara,
Et me noie dans le fleuve Niagara.

Cette mélodie va me poursuivre
Et je vais errer tel un bateau ivre,
Hors de ce monde de seconds couteaux,
Mon univers réel et ses oripeaux.

Allez, je n'hésite pas, je me lance,
Lève haut les bras et mets l'ambiance,
D'abord timide, dansant crescendo
Devant mes collègues sans libido.

Je connais la fin, et surtout sa claque,
Quand mon patron me traitera de braque,
De forte tête ou fana du disco,
Et décrétera la fin du fiasco.



#508 aile68
aile68 Posté le : 27/05/2017 20:25
Ah! je crois avoir compris!
Je vais faire un nouvel essai.
aile68


#509 Publication des textes
aile68 Posté le : 27/05/2017 20:23
Bonsoir, je n'arrive plus à publier mes textes. Comment faire?
Merci d'avance pour votre aide.
Aile68


#510 Re: Défi du 27 mai
Istenozot Posté le : 27/05/2017 17:37
Cher Donald,

Je ne résiste pas au désir de te proposer à nouveau ce poème au cours duquel quelques chansons et musiques m'avaient obsédé et que j'avais intégrées.
Mais je te promets, je te proposerai un autre poème répondant encore mieux à ton défi.


Je suis étonné de me voir près du laurier,
Tenant dans la main une fleur de genévrier.
Es-ce donc bien l’enfant que je fus à sept ans?
N’en doute pas me dit-il, en me taquinant,
« Je me suis fait tout petit », et pour bien t’instruire,
Ecoute maintenant ce que j’ai à te dire.

https://youtu.be/jlHh_Opj090

Regrette tu les temps si doux de ton enfance,
Où, en Algérie, tu coulais une existence,
Entre guerre et paix, sans penser au lendemain,
Mais au milieu de quelques soucis, de chagrins,
Dont tu ne connaissais pas vraiment la noirceur.
Tu ne préférais voir, des fleurs, que leurs senteurs!
Je ne voulais déjà admirer que le beau,
Sans doute avec le regard d’un petit agneau!
Reconnais- le donc! Dans ce temps de ton enfance,
Devant les horreurs, vues avec indifférence,
Tu voulais te faire tout petit, être secret,
Et te réfugier dans ton univers discret.

Le laurier s’efface, un lagerstroemia prend place,
Je vois alors un adolescent sans audace,
Qui me regarde, sans désir d’être loquace.
Avec un regard fuyant, il dit à voix basse :
O tendre jeunesse, où est donc mon allégresse,
Qui a été remplacée par une détresse.
Je regrette vraiment, avec effervescence,
Les jours heureux de l’enfance à l’adolescence.

https://youtu.be/M-ByYTeYr3Q

Après ces quelques mots, il retourne au silence,
Et me scrute intimement avec connivence.
Et puis sans plus rien me dire, il s’évanouit,
Et laisse la place à une femme qui me séduit.
Je m’attendais sûrement à voir un jeune adulte
Me révéler mes traumatismes si occultes.
Il n’en est rien! J’en serais donc pour mes frais!
C’est alors qu’avec grâce, la femme me dit :
Et si tu n’existais pas, … pourquoi j’existerais ».

https://youtu.be/qmqruqnj99M

Ces mots m’encouragent à m’éloigner du non dit.
Les souffrances ont été brûlées par ce soleil
Qui m’a fait cheminer vers un nouveau réveil.
Les ailes de mes chimères ont bien disparu,
Et mon âme a crié : l’amour m’est apparu.
J’ai tant voulu inventer l’amour avec toi,
Me dit-elle, avec une voix fleurie d’émois.
Notre amour était si tendre et intemporelle
Nous entraînant dans quelque passion charnelle !
Je me vois alors dans ce temps et je lui libelle :
Auprès de toi, j’ai l’impression d’être un grand roi,
De galoper comme un chevalier d’autrefois.

https://youtu.be/LCbvF55VMmY

Te souviens-tu, me dit-elle, de nos prouesses?
Du kamasutra, pratiqué avec adresse!
Que d’ébats floraux fécondés tout en finesse :
La lavande bleue avec beaucoup de tendresse,
Le tournesol, la position enchanteresse,
Le chrysanthème qui a créé tant de liesse,
La renoncule qui nous amène à l’ivresse,
La campanule qui offre tant de largesse,
La rose pourpre où je me comportais en ogresse,
Et le camelia, me faisant devenir diablesse.
Oh, oui, que je t’ai tant aimé avec passion
A en perdre radicalement la raison.

https://youtu.be/nQsF2hH5q8w

Mon âme sensuelle était couverte d’or.
Que tes notes florales d'agrumes et fruités,
M'ouvraient la voie des délices sans ubiquité.
En partant, la femme me dit avec raison :
Jacques, l’amour qui dure n’est pas la passion.
Sa voix s’adoucit et j’entends le mot souffrances,
Mais qu’avait-elle voulu dire, avec assurance?
J’entends alors une voix douce qui me parle
Je regarde autour de moi et ne vois personne.
Je suis là me dit-il, dans ta glace centrale,
Ne me vois-tu pas, je te fais signe en personne.
J’ai tant à te dire des souffrances de l’amour.
C’est donc de toi que venait ce mot, sans détour.
De moi, de la femme, de toi, me répondit-il,
Avec perfidie, tout en fronçant les sourcils.
Si l’amour peut te conduire à l’extase, dit-il,
La mort d’un être très cher t’envoie dans l’exil
D’une souffrance égoïste et si pernicieuse.
Te rappelles-tu du décès de tes parents,
Dont la proximité t’avait paru odieuse.
Pourquoi les avoir aimé d’un amour ardent,
Et connaître ainsi des émois inconsolables?
Je les tant aimé, en suis-je donc blâmable.
« Mes yeux se sont voilés à force de pleurer »

https://youtu.be/tEGGvlLTuh0

Si aimer, c’est devoir souffrir, alors sangloter
Doit faire partie de nos désirs, sans nous blâmer.
Et puis aimer est si doux à notre équilibre,
Ne le pensez vous pas, mon double si fébrile!
Loin de mon aimée, je suis en langueur sans elle,
A chercher en bien des évènements querelle.
L’amour aurore construit un bel avenir,
L’amour au zénith appelle des souvenirs.
De souvenirs en souvenirs, il n’y a que toi,
Loin de toi, je ne connais que le désarroi,
Je ferme les yeux et je vois ton seul visage
Qui est de mon affection pour toi le présage.

https://youtu.be/hlk0T9GSlKc

Eloigne toi de moi, mon double, qui se trompe,
Certes les souffrances peuvent altérer l’amour,
Qui connaîtra des hauts et des bas, certains jours,
Mais la culture d’un amour don sans artifice,
Peut le conduire à de puissants feux d’artifice.

https://youtu.be/GyBl-EQ1hn0

Je veux un amour coloré en jaune, en rouge,
M’abandonner librement à sa force ultime,
Et qu’au fond de mon âme, dans mon cœur tout bouge,
Comme dans la musique où tout est si intime.

Je regarde dans la glace et ne vois personne.
Je me dis à moi-même : je suis là en personne.

Je te souhaite un magnifique week end.

Amitiés de Beaulieu.

Jacques



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Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
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Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
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