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Défi du 26 juillet |
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De France, enfin, je crois
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Cette semaine, je vous propose d'écrire sur "Les Derniers jours de...". Vous avez carte blanche pour écrire sur les derniers jours d'un lieu, un animal, d'une personne (célèbre ou non), d'un mouvement littéraire ou musical ou cinématographique ou même d'un livre, voire les derniers jours d'un pays, de la Terre ou d'une autre planète, d'une entité autre, d'une force métaphysique ou d'un mythe, d'une histoire, peu importe, vous êtes libre autour des derniers jours de... Bonne chance dans votre récit ! Alexis17
Posté le : 26/07/2014 00:45
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Le soleil n'est qu'une étoile du matin. H.D Thoreau
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Alexandre Dumas fils |
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De Montpellier
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Le 27 juillet 1824 à Paris naît Alexandre Dumas fils
romancier et auteur dramatique français, mort à 71 ans, le 27 novembre 1895 à Marly-le-Roi, Il fut comme son père un auteur à grand succès. Il est connu principalement pour son roman La Dame aux camélias, ainsi que pour ses deux pièces Le Fils naturel et Un père prodigue.
En bref
Un des fondateurs de la pièce à thèse, c'est-à-dire d'un drame bourgeois réaliste mettant en scène quelque problème social et suggérant des solutions, Dumas fils, enfant illégitime d'Alexandre Dumas père, avait hérité de ce dernier, mais dans un genre totalement différent, une grande fécondité littéraire. Son premier succès fut un roman, La Dame aux camélias 1848, adapté pour la scène en 1852 ; Verdi en tira La Traviata 1853. Dumas fils se détourna des passions exacerbées du drame romantique pour créer, avec La Dame aux camélias, la comédie de mœurs. Le succès de cette pièce tient à la fusion entre un romantisme passionnel lyrique et l'observation déjà réaliste des modes de vie et des problèmes de la société contemporaine. L'héroïne, Marguerite Gautier, quittant sa vie de demi-mondaine entretenue pour vivre un amour difficile et pathétique qui se clôt sur une mort soudaine, acquiert, d'emblée, une force d'émotion dramatique supérieure à celle de nombre d'héroïnes romantiques, qu'elle éclipsa. Influencé par Diderot, Dumas fils, partisan d'un théâtre utile, introduisit dans ses pièces de longs discours moralisateurs sur le caractère sacré de la famille et du mariage : Le Demi-Monde joué en 1855, par exemple, traite de la menace que constituent les prostituées pour l'institution du mariage. Il attira aussi l'attention sur la triste situation des enfants illégitimes et des filles perdues, et provoqua souvent de la sorte un certain scandale. Parmi ses pièces les plus intéressantes figurent Le Fils naturel 1858 et Un père prodigue 1859. Si le public moderne ne goûte plus guère l'aspect sentencieux et prolixe de son théâtre, les critiques de la fin du XIXe siècle en vantaient précisément le côté sérieux et moralisateur.
Sa vie
Fils d'Alexandre Dumas et de sa voisine de palier, Catherine Laure Labay 1793-1868, il fut placé très tôt en pension. Il fut déclaré enfant naturel, de père et de mère inconnus. Son père le reconnut en mars 1831, alors qu'il est âgé de sept ans. Il garda toute sa vie un profond ressentiment envers lui, lequel se manifesta dans ses œuvres, marquées par le thème de la désagrégation de la famille et inspirées par un certain moralisme et une certaine ténacité. Il parvint tout de même à surmonter sa détresse. Il souffre d'être un fils naturel en butte aux quolibets de ses camarades de pension et lamentablement ballotté jusqu'au sein des tribunaux, entre père et mère. À 18 ans, il se jette à corps perdu dans une existence désordonnée et voluptueuse qu'il partage avec nombre de courtisanes brillantes. De bacchanales en plaisirs d'alcôve, il évolue dans un monde interlope où il fait la seule chose que son père lui avait enseignée : des dettes. Il y parvient si bien qu'il est contraint de suivre jusqu'au bout la voie tracée : après un volume de vers Péchés de jeunesse, 1847, il se tourne vers le roman avec Aventure de quatre femmes et d'un perroquet 1847, bientôt suivi de la Dame aux camélias 1848, qui, inspiré de la vie de Marie Duplessis, développe le thème romantique de la bayadère à laquelle de nombreux amants n'ont su faire connaître l'amour.Mais l'adaptation à la scène la Dame aux camélias en 1852 sera l'un des triomphes les plus éclatants du siècle. Désormais, hormis quelques brochures exposant les théories mises en situation dans ses drames l'Homme-femme, 1872 ; la Question du divorce, en 1880, Dumas fils n'écrira pratiquement plus que pour la scène : quand, après quelques modifications, la Dame aux camélias devient la Traviata, il est mondialement connu ; son œuvre est la première à s'imposer depuis le coup d'État et l'on veut voir en lui le fondateur d'une nouvelle dramaturgie. La comédie de mœurs est née et la vogue de cette fusion, difficilement supportable, du romantisme passionnel et de l'observation sociale à fins édifiantes durera le temps d'un régime. Dumas fils est certainement parmi ses contemporains celui qui croit le plus en la puissance du théâtre, et c'est pour les prémunir contre les attraits dangereux d'un demi-monde où se côtoient verts galants quinquagénaires et femmes aux conjoints invisibles qu'il leur peint dans ses moindres détails cette société où les hâbleries les plus machiavéliques se dissimulent avec grâce dans les dentelles des belles dames et où, parfois, se fourvoient l'innocence et la naïveté. Apôtre de la réhabilitation de la jeune fille séduite et de l'enfant né des amours illégales, il travaille la formule le Demi-monde, 1855 ; Un père prodigue, 1859 ; l'Ami des femmes, 1864 ; Une visite de noces, 1871 ; la Femme de Claude, 1873 et complète son œuvre dramatique par de longues préfaces. Dans celle du Fils naturel 1858, il déclare : Par la comédie, par la tragédie, par le drame, par la bouffonnerie, dans la forme qui nous conviendra le mieux, inaugurons le théâtre utile, au risque d'entendre crier les apôtres de l'art pour l'art, trois mots absolument vides de sens. Admirateur de George Sand, qu'il appelait sa chère maman, il fit de nombreux séjours dans sa propriété de Nohant et adapta pour la scène son roman Le Marquis de Villemer. Il vécut avec la princesse Narychkine, née Nadejda von Knorring 1826-1895 dite Nadine dont il eut une fille née hors mariage : Marie-Alexandrine-Henriette 1860-1934 reconnue en 1864 ; et une fille après son mariage : Olga-Marie-Jeanne, dite Jeannine 1867-1943, future épouse du polytechnicien Ernest Lecourt d'Hauterive 1864-1957. Alexandre Dumas et Nadine ne purent se marier que le 31 décembre 1864, après la mort du prince Narychkine. Cette liaison était désapprouvée par la société bien pensante. Deux mois après la mort de Nadine Dumas, il épouse Henriette Escalier, née Régnier, et meurt peu après. Il se lie d'amitié avec Jules Verne qui lui dédicace en 1885 son roman Mathias Sandorf, transposition balkanique du Comte de Monte-Cristo. À cette occasion, Dumas fils lui répond qu'il l'a toujours considéré comme le véritable fils de son père, Alexandre Dumas. Les deux lettres figurent en introduction du roman de Jules Verne.
Il fut élu à l'Académie française en 1874. Sa mort survint le 27 novembre 1895 dans sa propriété des Yvelines, à Marly-le-Roi, et il fut inhumé au cimetière de Montmartre à Paris. Porte-parole des causes singulières Très marqué par son enfance douloureuse et son illégitimité, il se fera le porte-parole des causes singulières et dénoncera les faits de société choquants. Dans Le Fils naturel1 ou Un Père prodigue, il critique vivement le sort réservé par la société aux femmes délaissées et aux enfants illégitimes. C'est pourquoi il fut catalogué comme auteur à scandales. Pour autant, l'écrivain se fera promoteur de la contestable Loterie des lingots d'or organisée par le pouvoir en 1851. Il écrit en 1872 La Question de la femme pour l'association de L'Émancipation progressive de la femme, créée par Arlès-Dufour et Julie-Victoire Daubié. Ce texte, préfacé par la journaliste Julie-Victoire Daubié, sera interdit au colportage en 1873. Cet engagement n'empêcha pas Dumas fils d'écrire à propos des femmes révolutionnaires de la Commune les "Pétroleuses " : " Nous ne dirons rien de ces femelles, par respect pour les femmes à qui elles ressemblent quand elles sont mortes"
Distinction
Chevalier de la Légion d'honneur le 14/8/1857, officier le 7/8/1867, commandeur le 13/7/1888, grand officier le 29/12/1894
Jugements
Venu après l’affreux théâtre pharmaceutique et procédurier d’Alexandre Dumas, ce Cyrano fut un rafraîchissement, un délicieux verre de vin parfumé et glacé après une longue course dans la poussière des chemins. Remy de Gourmont dans Le Bonheur littéraire : M. Edmond Rostand, Promenades littéraires, 1re série. Je n'aime guère le talent de M. Alexandre Dumas fils. C'est un écrivain extrêmement surfait, de style médiocre et de conception rapetissée par les plus étranges théories. J'estime que la postérité lui sera dure. 1876 Émile Zola (Œuvres complètes, Vol. X11, p. 627). Il a été un des ouvriers les plus puissants du naturalisme contemporain. Puis, il s'est déclaré en lui une sorte d'accès philosophique, qui a empoisonné et détraqué ses œuvres. 1879 Émile Zola
Œuvres
Alexandre Dumas se distingue avec l'écriture de La Dame aux camélias, dont le théâtre réaliste, pour ne pas dire vériste, s'empara. « La Dame aux camélias », Principaux romans Aventures de quatre femmes et d’un perroquet (1847) Césarine (1848) La Dame aux camélias (1848) (ISBN 2-87714-205-1) (Texte en ligne (Gallica)), dont une version illustrée par Albert Besnard Le Docteur Servan (1849) Antonine (1849) Le Roman d’une femme (1849) Les Quatre Restaurations. Série de romans historiques parue en feuilletons dans La Gazette de France sous les titres Tristan le Roux, Henri de Navarre, Les Deux Frondes (1849-1851) Tristan le Roux (1850) Trois Hommes forts (1850) Histoire de la loterie du lingot d'or (1851) Diane de Lys (1851) Le Régent Mustel (1852) Contes et Nouvelles (1853) La Dame aux perles (1854) L'Affaire Clemenceau, Mémoire de l'accusé (1866), dont une version illustrée par Albert Besnard L'Homme-femme (1872)
Principales pièces et adaptations théâtrales
Le Bijou de la reine, comédie en vers en un acte (1845) Le Verrou de la reine, Paris, Théâtre-Historique, 1848, puis théâtre du Gymnase, 1873. Atala, scène lyrique, musique de Varney, Paris, Théâtre-Historique, 1848. La Dame aux camélias, Paris, Le Vaudeville, 2 février 1852. Diane de Lys, Paris, théâtre du Gymnase, 15 novembre 1853. Le Demi-Monde, Paris, théâtre du Gymnase, 20 mars 1855. La Question d’argent, Paris, théâtre du Gymnase, 31 janvier 1857. Le Fils naturel, Paris, théâtre du Gymnase, 16 janvier 1858. Texte en ligne (Gallica) : visualiseur.bnf.fr Un père prodigue, Paris, théâtre du Gymnase, 30 novembre 1859. L’Ami des femmes, Paris, théâtre du Gymnase, 5 mars 1864. Texte en ligne (Gallica) : visualiseur.bnf.fr Les Idées de Mme Aubray, Paris, théâtre du Gymnase, 16 mars 1867. Une visite de noces, Paris, théâtre du Gymnase, 16 octobre 1871. La Princesse Georges, Paris, théâtre du Gymnase, 2 décembre 1871. La Femme de Claude, Paris, théâtre du Gymnase, 16 janvier 1873. Texte en ligne : epelorient.free.fr Monsieur Alphonse, Paris, théâtre du Gymnase, 26 novembre 1873. L’Étrangère, comédie en quatre actes, Paris, Théâtre-Français, 14 février 1876. La Princesse de Bagdad, pièce en trois actes, Paris, Théâtre-Français, février 1881. Denise, pièce en quatre actes, Paris, Théâtre-Français, 19 janvier 1885. Francillon, pièce en trois actes Paris, Théâtre-Français, 17 janvier 1887.
Principales collaborations théâtrales
Avec George Sand : Le Marquis de Villemer, Paris, théâtre de l'Odéon, février 1864. Avec Émile de Girardin : Le Supplice d’une femme, Paris, Théâtre-Français, 29 avril 1865. Avec Armand Durantin : Héloïse Paranquet, Paris, théâtre du Gymnase, 20 janvier 1866. Avec H. Lefrançois : Le Filleul de Pompignac, comédie en quatre actes, Paris, théâtre du Gymnase, 1869. Avec Pierre de Corvin : Les Danicheff, drame en cinq actes, Paris, théâtre de l'Odéon, février 1876. Avec Gustave-Eugène Fould: La Comtesse Romani, comédie en trois actes, Paris, théâtre du Gymnase, novembre 1876. Avec Alexandre Dumas : La Jeunesse de Louis XIV, Paris, théâtre de l'Odéon, 1874. Avec Alexandre Dumas : Joseph Balsamo, drame inédit en cinq actes, Paris, théâtre de l'Odéon, mars 1878. Essais La Question du divorce, éditeur Calmann Lévy, 1880, 417 pages : Réfutation de Famille et Divorce de l'Abbé Vidieu (édit. E. Dentu, 1879) Les femmes qui tuent et les femmes qui votent, éditeur Calmann Lévy, 1880, 216 pages. Texte en ligne (Gallica) : permalien
Œuvres réunies
Théâtre complet avec préfaces inédites (1868-1879) (6 vol.). Édition augmentée, dite des Comédiens (1882-1886) (6 vol.). Entr’actes (1878-1879) (3 vol.) Écrits de jeunesse.
Liens http://www.ina.fr/video/CPF86634887/a ... dre-dumas-fils-video.html Alexandre Dumas jils par André Roussin http://youtu.be/5lgYic3cdEQ La dame aux camélias film Polonais http://youtu.be/J91tw_80LVg La dame aux camélias en Espagnol
http://youtu.be/49UZa0TO2zQ La traviata version musical de la Dame aux camélias
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Posté le : 25/07/2014 22:57
Edité par Loriane sur 26-07-2014 19:35:27 Edité par Loriane sur 27-07-2014 13:35:28
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Posté le : 25/07/2014 22:29
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Re: Défi du 19 juillet 2014 |
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Kjtiti, quel rêve étrange tu nous contes là. Mais il est un beau prétexte pour nous apprendre une belle leçon à la manière de Me De La Fontaine. Chapeau bas et je ne suis pas flatteuse sans raison ...
Exem, un voyage dont on ne revient pas toujours le front ! Pauvre Ninon. Mélancolie, quand tu nous tiens.
Merci
Couscous
Posté le : 25/07/2014 19:47
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Daniel Rops |
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Le 27 juillet 1965, à Chambéry, meurt à 64 ans Henri Petiot, dit Daniel-Rops
écrivain et historien français, né à Épinal le 19 janvier 1901
Le jeune Henri Petiot naît à Épinal où son père, officier, est en garnison. Étudiant des facultés de droit et de lettres de Grenoble, il travaille sous la direction de Raoul Blanchard, le père de la géographie alpine, et son mémoire sur «Briançon, esquisse de géographie urbaine est publié en 1921. Il prépare ensuite l'agrégation d'histoire et de géographie, à laquelle il est reçu à l'âge de 21 ans.
Il est successivement professeur à Chambéry, Amiens et Paris, puis au lycée Pasteur de Neuilly. Dès les années 1920, il débute dans la carrière littéraire : en 1923, il fonde avec Georges Gimel la revue littéraire trimestrielle Tentatives, qui paraîtra de 1923 à 1924. Outre des synthèses sur de grands écrivains, un numéro spécial est consacré à Stendhal. La revue se fait le relais des publications de la NRF et propose des passages traduits de livres en langue étrangère.
En 1924, il épouse Madeleine Bouvier et le couple adopte Francis. Il publie un essai, Notre inquiétude 1927, et un roman, l'Âme obscure 1929, et de nombreux articles dans diverses publications périodiques, dont Le Correspondant, Notre Temps, La Revue des vivants.
À partir de 1931, alors qu'il vient de se rapprocher du catholicisme, il participe, sur le conseil de Gabriel Marcel, aux activités de l'Ordre nouveau, dont il partage les orientations personnalistes. Il contribue activement à en diffuser les idées, dans des livres dont il est parfois difficile de dire ce qu'ils doivent à sa réflexion personnelle ou à la doctrine du mouvement auquel il se rattache et qui font de lui un des représentants de l'effervescence intellectuelle des non-conformistes des années 30 : le Monde sans âme, les Années tournantes, Éléments de notre destin.
Après 1935, ses liens avec l'Ordre Nouveau se distendent quelque peu et il collabore aux hebdomadaires catholiques Sept puis Temps présent. Jusqu'en 1940, il publie plusieurs romans l’Âme obscure en 1929, Mort, où est ta victoire ? en 1934, l’Épée de feu en 1939, biographies et essais Psichari 1922, Notre inquiétude en 1927, le Monde sans âme en 1930, Rimbaud, le drame spirituel en 1935, Pascal et notre cœur, Par-delà notre nuit, Réflexions sur la volonté, dirigeant chez Plon la collection Présences, dans laquelle il édite l'ouvrage la France et son armée du général de Gaulle, dont il devient l'ami.
Entre 1941 et 1944, il écrit le Peuple de la Bible et Jésus en son temps, début d'une œuvre d'histoire religieuse qui se poursuivra avec la monumentale Histoire de l'Église du Christ interrompue par son décès en 1965 14 volumes publiés. Après la Libération, il abandonne l'enseignement pour se consacrer à son travail d'historien et d'écrivain chrétien, assurant la direction de la revue Ecclésia et de la collection encyclopédique Je sais, je crois, chez Fayard. Parallèlement, retrouvant dans cet engagement certains de ses anciens compagnons d'Ordre Nouveau, il participe aux travaux de plusieurs mouvements fédéralistes européens, adhérant au groupe La Fédération, puis au Mouvement fédéraliste français. Il est, de 1957 à 1963, l'un des cinquante gouverneurs de la Fondation européenne de la Culture fondée par Denis de Rougemont. Il est élu membre de l'Académie française le 3 mars 1955 au fauteuil d’Édouard Le Roy, le même jour que Jean Cocteau et François Albert-Buisson.
En 1962, accompagné de Gaston Monnerville président du Sénat, il procède en août à l'inauguration du buste de Lamartine réalisé par David d’Angers dans le village de Tresserve situé sur les hauteurs du lac du Bourget, cher à Lamartine, à côté d'Aix-les-Bains. Son épouse est décédée en 1975. Daniel-Rops était sans doute l'écrivain le plus lu dans les milieux catholiques de la France d'après-guerre, ayant écrit une vingtaine d'ouvrages centrés sur l'histoire du catholicisme. Son choix de pseudonyme serait inspiré par Félicien Rops, graveur et illustrateur belge.
Œuvres
1926 : Notre inquiétude 1926 : Sur le théâtre de H. R. Lenormand 1927 : Le vent dans la nuit 1928 : Le prince menteur 1928 : Carte d’Europe 1929 : L’âme obscure 1930 : Deux hommes en moi 1931 : Fauteuil 24 : Édouard Estaunié 1932 : Les années tournantes 1932 : Le monde sans âme 1933 : Péguy 1933 : Severa 1934 : Mort, où est ta victoire ? 1934 : Éléments de notre destin 1935 : Le Cœur complice 1935 : La Misère et nous 1936 : La Pureté trahie 1936 : Rimbaud, le drame spirituel 1937 : Le Communisme et les Chrétiens 1937 : Ce qui meurt et ce qui naît 1937 : Tournant de la France 1938 : Présence et poésie 1938 : Le Courtinaire 1938 : La Maladie des sentiments 1938 : La Main d’un juste 1938 : La France veut la liberté 1939 : L’Épée de feu 1939 : Le Mystère animal : l’animal cet inconnu 1939 : Une campagne de “Temps présent” : la paix par le Christ 1941 : L’Avenir de la science 1941 : La Femme et sa mission 1941 : Mystiques de France 1941 : L’Ombre de la douleur 1941 : La signification héroïque de Péguy et de Psichari 1941 : Vouloir 1942 : Où passent les anges 1942 : Psichari 1943 : L’Œuvre grandissante de Patrice de La Tour du Pin 1943 : Par-delà notre nuit 1943 : Le Peuple de la Bible 1943 : Comment connaissons-nous Jésus ? 1944 : Trois images de la grandeur 1944 : Péguy et la vraie France 1945 : Jésus en son temps 1946 : Quêtes de Dieu. Trois tombes, trois visages 1946 : Notre histoire. I, Des origines à 1610 1946 : Histoire sainte de mes filleuls 1946 : Un héraut de l’Esprit : Saint Paul 1946 : Boquen, témoignage d’espérance 1946 : Deux études sur William Blake 1947 : Notre histoire. II, De 1610 à nos jours 1947 : Aux silences du cœur 1947 : Ce visage qui nous regarde 1947 : L’Évangile de mes filleuls. Lourdes 1947 : Marges de la prière 1947 : La Nuit du cœur flambant 1947 : Sept portraits de femmes 1947 : Terre fidèle 1948 : Diane blessée 1948 : Histoire de l’Église du Christ. I, L’Église des apôtres et des martyrs 1948 : Pascal et notre cœur 1948 : Le Sang des martyrs 1948 : Les Évangiles de la Vierge 1949 : De l’amour humain dans la Bible 1949 : La Vie du Christ dans la culture française 1949 : Rencontre avec Charles Du Bos 1949 : Histoire sainte illustrée 1949 : Chants pour les abîmes 1949 : Orphiques 1950 : Histoire de l’Église du Christ. II, L’Église des temps barbares 1950 : Le Christ, thème éternel 1950 : L’Histoire sainte des petits enfants 1950 : Légende dorée de mes filleuls 1950 : Toi aussi, Nathanaël 1951 : Le Roi ivre de Dieu 1951 : Noé et son grand bateau 1951 : ABC du petit chrétien 1951 : Les Aventuriers de Dieu. Bartolomé de Las Casas 1951 : Histoire de Jonas. Missa est 1952 : Le Drame des Templiers 1952 : Le Pèlerin à la coquille 1952 : Rome 1952 : La Thérapeutique dans l’Ancien Testament 1952 : Saint Paul, conquérant du Christ 1952 : Histoire de l’Église du Christ. III, L’Église de la cathédrales et de la croisade 1953 : Chemin de Croix. Claire dans la clarté 1953 : Diptyque pour le temps de Pâques 1953 : Jésus disait à ses amis 1953 : Les Miracles du Fils de Dieu 1953 : Le Porche de Dieu fait homme 1953 : Quand un saint arbitrait l’Europe : saint Bernard 1954 : Être des saints 1954 : La Vie du Christ dans les chefs-d’œuvre de la peinture 1954 : Histoire sainte 1954 : L’Évangile de la pierre 1954 : La Passion 1955 : Saint Paul, aventurier de Dieu 1955 : Qu’est-ce que la Bible ? 1955 : Histoire de l’Église du Christ. IV, L’Église de la Renaissance et de la Réforme 1955 : Aux lions, les Chrétiens ! 1955 : Comment on bâtissait les cathédrales 1956 : Apôtres et martyrs 1957 : Claudel tel que je l’ai connu 1958 : Histoire de l’Église du Christ. V, L’Église des temps classiques 1959 : Monsieur Vincent 1960 : Histoire de l’Église du Christ. VI, L’Église des révolutions 1 : En face de nouveaux destins (1789-1870) 1961 : La Vie quotidienne en Palestine au temps de Jésus 1962 : Saint Bernard et ses fils 1962 : Vatican II, le concile de S. S. Jean XXIII 1963 : Histoire de l’Église du Christ. VII, L’Église des révolutions 2 : Un combat pour Dieu (1870-1939) 1964 : Chant pour un roi lépreux 1965 : Histoire de l’Église du Christ. VIII, L’Église des révolutions 3 : Les Chrétiens nos frères
Adaptation filmographique
En 1964, sort le film Mort, où est ta victoire ?, adapté de son roman. Réalisé par Hervé Bromberger, le film est joué par Philippe Noiret, Laurent Terzieff, Michel Auclair, Gabriele Ferzetti, Alfred Adam, Jacques Monod, Madeleine Cheminat, Jean-Paul Moulinot et Arlette Balkis.
Toujours dans le domaine du cinéma, dans le film Le Tonnerre de Dieu le personnage du curé, joué par Daniel Ceccaldi, évoque brièvement le nom de Daniel-Rops dans un échange avec le vétérinaire, incarné par Jean Gabin.
Liens Daniel Rops Et Claudel en séance de signature de vente de charité de livres religieux
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Posté le : 25/07/2014 19:41
Edité par Loriane sur 26-07-2014 18:43:27 Edité par Loriane sur 27-07-2014 13:21:04
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Bourvil |
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Le 27 juillet 1917 à Prétot-Vicquemare en Seine-Maritime, naît
André Robert Raimbourg connu sous le nom de Bourvil
acteur, chanteur et humoriste français, mort à 53 ans, le 23 septembre 1970 à Paris XVIe.Ses films les plus notables sont "La Traversée de Paris", "La Grande Vadrouille", "Le Corniaud", "Le Cerveau", "Le Cercle rouge"
En bref
Sans aucun doute possible, Bourvil a été le plus grand acteur comique de sa génération. Son registre s'étendait à tous les genres, de l'humour bouffon au drame, avec une subtilité qui lui a permis de passer d'un extrême à l'autre en donnant l'impression de rester toujours naturel. Tout au long de sa carrière, il eut, à plusieurs reprises, le courage de ne pas se satisfaire d'un succès trop facile, faisant preuve d'exigence vis-à-vis de lui-même et de son métier de comédien. Bourvil est sans doute le seul fantaisiste de music-hall avec Raimu et Fernandel à avoir réussi au cinéma une carrière qui ait exploité toutes les facettes de sa riche personnalité. Étiqueté amuseur , il parviendra, malgré les réticences des producteurs qui le cantonnèrent pendant plusieurs années dans les emplois de « niais », à prouver qu'il était un interprète d'une absolue diversité. Mais le cinéma accapare Bourvil, qui alterne avec un instinct très sûr les aventures de cape et d'épée Le Bossu, 1959, et Le Capitan, 1960, de Hunebelle, le mélodrame Le Miroir à deux faces, 1958, de Cayatte ; Fortunat, 1960, de Joffé et le drame Les Bonnes Causes de Christian-Jaque, sans oublier les superproductions américaines comme Le Jour le plus long 1961 de Zanuck, où il incarne le maire de Sainte-Mère-l'Église. Il revient toujours, malgré tout, à la comédie. C'est à Gérard Oury, qui a la bonne idée de l'opposer à Louis de Funès dans Le Corniaud (1965), que Bourvil devra son plus grand succès commercial. La gloire et la fortune n'ont pas statufié le paysan-Bourvil : il est le premier comédien prestigieux à faire confiance au jeune cinéaste Jean-Pierre Mocky, pour Un drôle de paroissien 1963, comédie grinçante qui sera un succès. Le public boudera leur Cité de l'indicible peur 1964, avec des dialogues de Queneau, d'après Jean Ray, refusant d'admettre Bourvil en détective anglais : il y était pourtant excellent. La Grande Lessive 1968, satire de la télévision, et L'Étalon 1969 donneront deux preuves supplémentaires du désir de Bourvil de se renouveler, sous la direction de Mocky. Pendant les dix dernières années de sa vie, le comédien accumulera les succès publics, avec des films comme Le Magot de Josépha 1963, Autant-Lara, Les Grandes Gueules 1967, Enrico et Le Cerveau 1968, Oury. Peu de temps avant de disparaître, Bourvil verra exaucé le rêve de sa carrière : jouer le rôle d'un commissaire de police dans Le Cercle rouge 1970 de Jean-Pierre Melville, avec Alain Delon et Yves Montand. Loin des tics comiques de ses débuts, Bourvil s'y montre remarquable de sobriété et de finesse. Sa disparition, à l'âge de cinquante-trois ans, nous a privés de chefs-d'œuvre potentiels.
Sa vie
André Raimbourg, alias Bourvil ou, de 1940 à 1942, Andrel en référence à Fernandel qu'il admirait, n'a jamais connu son père, Albert Raimbourg 1889-1918, tué durant la Première Guerre mondiale. Il passa son enfance avec sa mère, Eugénie Pesquet 1891-1970, et le nouveau mari de celle-ci, un agriculteur nommé Ménard, dans le village de Bourville. Il eut ainsi un demi-frère, Marcel Ménard, futur maire de Bourville. Son cousin germain, Lucien Raimbourg, étant déjà dans le métier, il prit un nom de scène afin d'éviter toute confusion et choisit Bourvil en référence au village de son enfance. Il sera parfois nommé André Bourvil, il existe d'ailleurs un Théâtre André Bourvil à Paris, XIe arrondissement. C'est sous ce nom qu'il apparaît au générique et à l'affiche de l'avant-dernier film qu'il a tourné, Le Cercle rouge.
Apprenti boulanger, il s'amuse à jouer du cornet à piston : une passion qui lui ouvre le chemin du royaume des saltimbanques. À Paris, où il fait son service militaire, en 1937, dans la musique, au 24e régiment d'infanterie, le futur Bourvil pousse volontiers la chansonnette, et hante les caf'conc' de quartier. À la Libération, il tente sa chance dans les radios-crochets en imitant son idole, Fernandel, et débute au cabaret et à la radio. Vêtu, comme le veut la tradition, d'un costume de paysan endimanché, Bourvil mène l'art de la chansonnette faussement naïve jusqu'à un raffinement jamais atteint. Entre ses mains, les couplets assez consternants de Elle vendait des cartes postales... et aussi des crayons deviennent le canevas d'une petite comédie irrésistible : la gestuelle de Bourvil est aussi éloquente que sa parole et ses silences. Il épousa le 23 janvier 1943, Jeanne Lefrique 1918-26 janvier 1986, avec qui il eut deux fils :
Dominique Raimbourg né le 28 avril 1950, avocat pénaliste et député de la Loire-Atlantique ; Philippe Raimbourg né le 18 mars 1953, professeur de finance à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à l'ESCP Europe. Après un apprentissage de boulanger, il partit en région parisienne pour tenter une carrière musicale, qu'il commença par des radio-crochets. Jeune artiste en quête de succès, il s’installe avec son épouse à Vincennes, dans un minuscule appartement du 25 rue des Laitières, au septième étage sous les toits, où il restera jusqu’en 1947. Il enchaîna ensuite avec des numéros de comique-paysan dérivé du comique troupier, mais c'est avec la chanson Les Crayons que sa carrière débuta vraiment en 1945. C'est d'ailleurs avec cette chanson qu'il fit sa première apparition au cinéma, en 1945 dans La Ferme du pendu, de Jean Dréville.
Le succès
Le jeu comique de Bourvil a reposé principalement sur des rôles de gentil, parfois un peu bête ou naïf, comme les rôles qu’il a tenus face à l’énergique Louis de Funès : le personnage incarné par Bourvil parvient toujours, par sa gentillesse, non seulement à faire rire, mais aussi à échapper aux manipulations des personnages machiavéliques interprétés par de Funès.
Très vite, Bourvil débute au cinéma où il se contente de reprendre à l'écran son personnage de music-hall. Pendant cinq ans, et ce dès La Ferme du pendu 1945, Bourvil sera le paysan naïf, plein de bon sens, l'amoureux niais, l'archétype du comique troupier. Sa drôlerie et son ton très personnels rendent visibles des films comme Blanc comme neige, Par la fenêtre ou Le Rosier de Mme Husson. Fort heureusement, Henri Georges Clouzot a l'œil : avec Miquette et sa mère 1949, il lui permet d'affiner son personnage comique. Cette première « mue » de Bourvil sera suivie d'une seconde, encore plus spectaculaire, avec La Traversée de Paris 1956, où Claude Autant-Lara, pressentant les possibilités dramatiques et l'épaisseur humaine de Bourvil, lui confie son premier très grand rôle face à Jean Gabin. Son interprétation lui vaudra le grand prix d'interprétation au festival de Venise. Il n'en néglige pas la scène pour autant : il reste plusieurs années à l'affiche de l'ABC dans La Route fleurie de Lopez et Vinci, avec Georges Guétary et Annie Cordy et connaîtra d'autres succès populaires avec Pacifico, Ouah ! Ouah ! et La Bonne Planque, comédie où il a Pierrette Bruno pour partenaire.
Bourvil a cependant tenu des rôles plus dramatiques, comme l’homme à tout faire dans L'Arbre de Noël, dans lequel il aide un petit garçon atteint d'une leucémie à assouvir sa passion pour les loups. Dans ce film comme dans les films comiques, le spectateur peut facilement s’identifier au personnage joué par Bourvil, car c’est un homme simple. Dans Le Miroir à deux faces, son jeu est méconnaissable : face à Michèle Morgan, il incarne un homme qui manipule une femme laide pour pouvoir l'épouser, puis lorsque celle-ci devient belle grâce à une opération, il devient ignoble avec elle, jusqu'à la harceler et lui retirer ses enfants. On peut enfin citer son rôle de l'odieux Thénardier dans l’adaptation cinématographique des Misérables, ou encore son avant-dernier rôle, celui d’un commissaire de police dans Le Cercle rouge. Ce grand comique arrive même à verser des larmes dans Fortunat à l'annonce de la mort d'une institutrice qu'il considérait comme sa mère.
Bourvil était un homme très cultivé. Dans les années cinquante, aimant le calme de la campagne, il choisit le petit village de Montainville, car bien relié à Paris par l'autoroute de l'Ouest. Son ami Georges Brassens, qui habitait non loin de là, à Crespières au Moulin de La Bonde, confiait qu’il était le parfait honnête homme, façon XVIIe siècle et lui suggérait des lectures. Il partageait avec Brassens une connaissance encyclopédique sur la chanson française. Il connaissait aussi Jean-Paul Sartre et on pensa à lui pour la Comédie-Française.
Il reste aujourd'hui une référence pour de nombreux artistes. François Morel et Antoine de Caunes ont notamment réalisé un portrait de lui, en mars 2005, dans le cadre de l’émission télévisée sur le plus célèbre des Français à travers les siècles, classement dans lequel il arrivait en 7e position, gage d’une très grande popularité, 35 ans après sa disparition. Il parlait le français, l'anglais et un peu l'espagnol dans les films qu'il tournait. Jean-Pierre Mocky a tourné quatre films avec Bourvil dont Un drôle de paroissien, La Cité de l'indicible peur, La Grande Lessive et L'Étalon. Mocky a donné à Bourvil des rôles à contre-emploi.
Derniers films et décès
Puis en 1967, lors du tournage des Cracks, Bourvil apprend qu'il est atteint de la maladie de Kahler, aussi connue sous le nom de myélome multiple. Ses jours sont comptés alors qu'il est au faîte de la gloire. Il vivra encore trois ans, jusqu'au 23 septembre 1970, où il s'éteint à l'âge de 53 ans dans son appartement parisien du boulevard Suchet. Il venait de terminer le tournage du Cercle rouge avec Alain Delon et Yves Montand. Son dernier film, tourné juste après Le Cercle rouge, fut Le Mur de l'Atlantique, dans lequel il jouera en souffrant énormément pendant le tournage. Ces deux films sortirent quelques semaines après sa mort. Bourvil repose à Montainville Yvelines, village où il avait sa maison de campagne. La mort de Bourvil mit fin à plusieurs de ses projets cinématographiques, L'Albatros de Jean-Pierre Mocky ; une Guerre des Gaules et les tribulations de deux frenchies aux États-Unis, avec Louis de Funès, et toujours par Gérard Oury ; les aventures d'un tonique curé de campagne du Pays de Caux imaginées par l'abbé Alexandre… et théâtraux, Le Contrat avec de Funès, écrit par Francis Veber et mis effectivement en scène par Jean Le Poulain.
Seuls La Folie des grandeurs, tirée de Ruy Blas, Yves Montand le suppléant et L'Emmerdeur, issu du Contrat avec Jacques Brel comme premier François Pignon furent ensuite réalisés.
Jeanne Lefrique, son épouse, née en 1918, meurt le 26 janvier 1986 dans un accident de voiture, alors qu’elle se rend de Paris à Montainville sur la tombe de son époux.
Rôles et œuvres
Bourvil a reçu le prix du meilleur acteur du festival de Venise la Coupe Volpi pour son rôle dans le film La Traversée de Paris d’après l’œuvre de Marcel Aymé. Comédien complet, il a choisi à maintes reprises des rôles traitant de sujets de société, notamment en coproduisant les films avec Jean-Pierre Mocky La Cité de l'indicible Peur ou La Grande Frousse, La Grande Lessive !…. Il a également assuré le doublage de ses films en anglais.
Filmographie de Bourvil.
Théâtre, opérettes, opéra, radios, tournées
1937 : L'Anglais tel qu'on le parle, théâtre aux Armées, caserne de la Pépinière 24e régiment d'infanterie, Paris 8e 1937 : L'Arlésienne, à la Gaîté-Lyrique de Paris, théâtre aux Armées 1938 : Le Music-hall des Jeunes Amateurs, sur Radio Cité 1942 : La Revue du Rire, Théâtre de l'Alhambra octobre avec Ouvrard, Roger Pierre… 1943 : Ça sent si bon la Revue, Théâtre de l'Alhambra juillet avec Georges Guétary… 1945 à fin 1947: Pêle-Mêle, sur Radio-Luxembourg, émission de Jean-Jacques Vital (l'inventeur de La Famille Duraton, futur Directeur de Air Production), avec Monsieur Champagne aux jeux, Ray Ventura et ses Collégiens, Henri Génès..; Robert Rocca assure ses textes 1946 : La Bonne Hôtesse opérette de Jean-Jacques Vital et Serge Veber, musique Bruno Coquatrix, mise en scène Fred Pasquali, Théâtre de l'Alhambra 1946 : tournée estivale de trois mois en première partie vedette des Collégiens de Ray Ventura, patronnée par Bruno Coquatrix 1947 : Le Maharadjah opérette de Jean-Jacques Vital et Serge Veber, musique Bruno Coquatrix, mise en scène Fred Pasquali, Théâtre de l'Alhambra 1947 et 1948 : Constellation 48, émission radiophonique de music-hall sur la RDF écrite par Robert Picq et Pierre Ferrary, présenté par Mauricet, avec Ray Ventura et son orchestre, Henri Salvador..; textes de Bourvil encore avec Robert Rocca 1948 : Les Contes d'Hoffmann, opéra de Jacques Offenbach, Théâtre des Champs-Élysées avec l'orchestre de l'Opéra-Comique 1949 : Le Bouillant Achille comédie de Paul Nivoix, mise en scène Robert Dhéry, Théâtre des Variétés 1949 et 1950: Le Café du coin, émission radiophonique sur Radio-Luxembourg par Jean-Jacques Vital, avec des textes de Maurice Horgues et Robert Rocca, patronnée par Verigoud puis Cinzano. Jacques Grello est le Barman, et Bourvil Monsieur Chose 1950 : Quelques Pas dans le Cirage, pour trois mois au Québec, avec Roger Pierre (complice deux ans plus tard dans Le Trou normand), Jean Richard, Darry Cowl, dans le cadre de la troupe Les Burlesques de Paris (dont Louis de Funès fera partie quelques mois plus tard, comme pianiste-comédien) dirigée par Max Révol 1950 : M’sieur Nanar opérette de Jean-Jacques Vital, Pierre Ferrari et André Hornez, musique Bruno Coquatrix, mise en scène Fred Pasquali, Théâtre de l'Étoile 1951 et 1952 : Les Aventures de Bourvil, sur Radio-Luxembourg, réalisées par André Sallée, textes de Robert Picq, patronnées par les pâtes Milliat. Bourvil est Marcel Lapierre 1951 : Soucoupes volantes, sur Radio-Luxembourg avec Jean Nohain, émission de Louis Merlin. Bourvil est alors Le Professeur Soucoupe, aux côtés de Pauline Carton et de André Gillois 1952 : La Route fleurie opérette de Raymond Vincy, musique Francis Lopez, mise en scène Max Révol, avec Georges Guétary, Théâtre des Célestins, Théâtre de l'ABC. L'œuvre durera 4 ans sans interruption. Soit 1302 représentations a Paris, et une tournée en province 1952 : Phi-Phi enregistrement de la célèbre opérette de Albert Willemetz 1956 : Cavalcade avec Georges Guétary, sur Radio-Luxembourg, chacun coachant un groupe d'artistes en compétition, puis 1956 : La Course à l'émeraude, toujours sur Radio-Luxembourg, et Radio Monte-Carlo, et toujours avec Georges Guétary, pour un feuilleton musical cette-fois 1958 : Knock ou le Triomphe de la médecine de Jules Romains, mise en scène Jean-Louis Barrault 1958 : Pacifico opérette de Paul Nivoix, musique Jo Moutet, mise en scène Max Revol, Théâtre de la Porte-Saint-Martin, avec ses principaux complices de La Route fleurie 1962 : La Bonne Planque de Michel André, mise en scène Roland Bailly, Théâtre des Nouveautés 1965 : Ouah ! Ouah ! opérette de Michel André, mise en scène Roland Bailly, musique Étienne Lorin et Gaby Wagenheim, Théâtre de l'Alhambra entre 1969 et 1970 : Paillasson, émission quotidienne matinale sur Europe 1, avec Robert Rocca et Maurice Horgues, sous la direction de Lucien Morisse, durant quelques semaines. Jean Richard lui succéda
Discographie
Article détaillé : Discographie de Bourvil. Article détaillé : Liste des chansons de Bourvil. Un hommage lui a été rendu par Tom Novembre en 2006 par l'interprétation de quatorze chansons dans son CD André.
Sketchs et monologues
L'Histoire du jockey L'ingénieur L'inventeur L'unique mousquetaire La Causerie anti-alcoolique, sketch écrit par Roger Pierre enregistrement audio, transcription Le ministre de l'agriculture La plume Le vélo Les castagnettes Mon chien Une redingote Le conservatoire Quand il pleut Père nourricier Les terrassiers Le charcutier La laide Frédo le porteur Vive la mariée
Musique
Harmonica, mandoline, accordéon, guitare, cornet à pistons, trompette, bugle…:
1934 : harmonie municipale de Fontaine-le-Dun 1935 : trio musical à Saint-Laurent-en-Caux, à la trompette, avec Victor Gemptel mécanicien, à l'accordéon, et le Dr Piory médecin, au violon 1935 : harmonie municipale de Rouen-Saint-Sever 1936 : harmonie municipale de Rouen 1937 : section musique du 24e régiment d'infanterie Paris 1941 et 1942 : cours de trompette du Conservatoire de Paris en candidat libre Accordéoniste de Bordas, la femme à barbe, à l'ABC en 1941, avec Étienne Lorin
Récompenses
1er du concours de Georges Briquet au Poste parisien en 1938 Prix Byrrh du radio-crochet Les Fiancés de Byrrh à Radio Paris en 1938 Grand Prix de l'Académie du disque français en 1953, avec les Pierrots Parisiens et l'orchestre Nelly Marco Comique français le plus populaire de l'année pour Radio-Luxembourg en 1953 sondage Prix d’interprétation masculinenote 1 coupe Volpi à la Mostra de Venise en 1956 pour La Traversée de Paris Prix d’interprétation de l’Académie du Cinéma français Étoile de Cristal en 1957 pour La Traversée de Paris Victoire du Cinéma français du meilleur acteur en 1959 pour Le Miroir à deux faces Prix Georges Courteline de l'humour en 1961 pour Le Tracassin Prix Courteline de l'humour en 1964 pour La Cuisine au beurre également décerné à Fernandel Nommé Chevalier des Arts et des Lettres en 1968 … alors que la même année, il a refusé – toujours par modestie – d'être intronisé dans l'Ordre de la Légion d'Honneur, Charles de Gaulle s'étant proposé en personne pour éventuellement la lui remettre Durant les années 1960, il a aussi obtenu la Médaille d'Honneur de la ville de Paris
Anecdotes
Il fut reçu premier du canton au certificat d’études primaires en 1931 à l'âge de 14 ans. Dans Le Trou normand , film de 1952, 21 ans plus tard, le personnage qu'il incarne (qui est censé avoir 30 ans) réussit cette même épreuve par inadvertance. Il forma d’éphémères duos au cabaret en 1941, avec Étienne Lorin clowns musicaux, puis Jean Richard Bourvil devient un personnage de dessin animé, dans le court métrage Grrr de 1952 Lucien Raimbourg, son cousin germain, tourna avec lui dans Sérénade au Texas en 1958 Il refusa le rôle du commissaire Juve dans Fantômas, confié à Louis de Funès, pour cause d'emploi du temps surchargé Le triporteur du film Les Cracks lui tomba dessus dans un fossé en 1967 : ses douleurs osseuses vertébrales se dévoilèrent alors Un timbre postal « Bourvil » a été édité par la poste française en 1994, dans le cadre d’une série consacrée aux acteurs du cinéma français. L'astéroïde n° 6207 a été nommé en son honneur. Peu de jours avant sa mort, alité, il refusa le cachet qui lui était versé pour son rôle dans Le Cercle rouge.
Autobiographie autre projet
C'est l'Piston : une soixantaine de feuillets manuscrits, inachevés… et perdus
Bibliographie
1949 : Le Miroir des vedettes, no 2, article Bourvil, comique paysan, Jean Polbernar, dans le supplément illustré de Radio-Revue 1951 : Le Film vécu, no 32, mars, spécial Bourvil, éd. Cinémonde sd : Les Grandes stars du grand écran, no 1, spécial Bourvil, Bourvil: le génie du comique, éd. du page 1969 : Notre ami Bourvil, Catherine Claude, éd. Éditeurs français réunis 1972 : André Bourvil, Maurice Bessy, éd. Denoël 1975 : Bourvil, du rire aux larmes, Pierre Berruer, éd. Presses de la cité 1981 : Bourvil, Jacques Lorcey, éd. P.A.C. 1983 : Bourvil, Christian Plume et Xavier Pasquini, éd. Bréa 1990 : Un certain Bourvil, Catherine Claude, éd. Messidor 1990 : Bourvil, Jean-Jacques Jelot-Blanc et James Huet, éd. Stock 1990 : Bourvil, ou la tendresse du rire, Philippe Huet et Élizabeth Coquart, éd. Albin Michel 2000 : Bourvil… c'était bien, Gérard Lenne, éd. Albin Michel 2003 : Chansons de Bourvil en bandes dessinées (coll.), éd. Petit à Petit 2006 : répliques de Bourvil, Jean-Jacques Jelot-Blanc, éd. du Rocher 2006 : Bourvil. De rire et de tendresse, Philippe Crocq et Jean Mareska, éd. Privat 2008 : Dictionnaire des comédiens français disparus, Yvan Foucart, Mormoiron : Éditions cinéma, 2008, 1185 p. (ISBN 978-2-9531-1390-7) 2010 : Bourvil : ça va, ils sont contents, Pascal et Annie Delmotte, Gilles Verlant, préface de Dany Boon, Flammarion.
Documentaires
Légende Bourvil, Air Production (la société de Jean-Jacques Vital, grand ami de Bourvil), 52' (VHS) 1982 : Bourvil, un éclat de rire, réalisateur Catherine Dupuis, scénario Catherine Chanteloup et Jocelyne Triquet (téléfilm) 1996 : Bourvil, réalisateur Jacques Pessis, 25' (téléfilm) 2000 : Sur les traces de Bourvil, évocations avec les Frères Taloche, réalisateur Pierre Dupont, RTBF/ARTE/TSR, 30' (TV et DVD) 2005 : portrait sur France 2 par François Morel et Antoine de Caunes, dans le cadre de l'émission Les 100 plus grands français de tous les temps, (TV - cf. supra) 2006 : Bourvil, l'homme qui s'était fait artiste. Portrait d'une star pas comme les autres, réalisateur Armand Isnard, Cat Productions, 58' (téléfilm) 2007 : L'air du temps, réalisateur Jacques Plessis, 55' (téléfilm) 2013 : "La rage de vaincre" Un jour, Un destin - présenté par Laurent Delahousse
Bourvil vu par son fils, le député Dominique Raimbourg Par AFP, publié le 29/09/2012 à 19:47, mis à jour à 19:47
NANTES - Elu député socialiste de Loire-Atlantique en juin, Dominique Raimbourg, un des deux fils du célèbre acteur Bourvil, a accepté exceptionnellement de livrer sa vision de son père - fantaisiste et travailleur - dans un entretien accordé vendredi à France 3 Pays de la Loire. "J'ai été élu député en juin 2012. Donc, après l'élection, je peux parler de mon père", explique M. Raimbourg, avocat pénaliste de formation, qui avait reconnu publiquement sa filiation en 2001, en accédant pour la première fois à l'Assemblée Nationale comme suppléant, mais souhaitait alors "pouvoir parler d'autre chose". "J'ai considéré que je voulais être estimé sur ma valeur personnelle et non pas en me présentant comme le fils de...". Pour lui, Bourvil est "un acteur qui a incarné, dans presque tous les films qu'il a joués, presque tous les personnages qu'il a joués, au fond la même histoire, c'est à dire qu'il a dit: quel que soit son rang, quelle que soit sa place sociale, dès l'instant où on se comporte correctement, on est porteur d'une part d'humanité". "C'est le message de la Traversée de Paris, où le porteur de valise devient l'égal de l'artiste peintre", et aussi dans "la Grande Vadrouille, le peintre en bâtiment devient l'égal du chef d'orchestre prestigieux", ajoute M. Raimbourg. André Robert Raimbourg, dit "Bourvil", est né en 1917 et décédé en 1970, à 53 ans seulement. Outre Dominique Raimbourg, il a eu un autre fils, Philippe, devenu professeur. Au cours de sa carrière, qui n'a véritablement commencé qu'en 1945, il connu des grands succès populaire, comme, outre "La Grande Vadrouille" ou "La traversée de Paris", "Le Corniaud" ou "Un drôle de paroissien". Bourvil, selon son fils, avait "un goût aussi pour la fantaisie, pour voir derrière les situations les plus solennelles et parfois les plus tristes, le cocasse, mais à l'inverse, derrière les situations drôles, parfois le tragique; et cette capacité, il l'a gardée toute sa vie". "C'est un homme qui a toujours travaillé, qui avait l'amour du travail (...) c'est un homme que j'ai vu répéter des textes des heures.." Il était "comme un père ordinaire, mais c'est vrai que c'était un homme drôle, il aimait la rigolade, moi, je l'ai connu comme ça". "Ce qui est un peu difficile, c'est de se forger une personnalité quand on a un père très célèbre; quand on est dans la jeunesse, c'est une situation un peu écrasante", ajoute le député, qui n'a jamais songé à devenir comédien. "C'était à mon avis infaisable de passer derrière une carrière de ce type-là". Dominique Raimbourg a accepté de donner cet entretien, en ligne sur le site de France 3 Pays-de-la-Loire, pour accompagner la projection samedi soir, dans un cinéma de l'agglomération nantaise, de deux films de Jean-Pierre Mocky avec Bourvil, "Un drôle de paroissien" et "La cité de l'indicible peur" à laquelle il assistera avec le réalisateur.
liens
http://youtu.be/pFwFj6SIMLE Un jour un destin la rage de vaincre http://youtu.be/WizGTZtjgvo?list=PLEF8C081A4ED6CC5E Ses plus belles chansons http://youtu.be/VtXa14O0koQ Un drôle de paroissien film complet http://youtu.be/TLj_5NQwE3s 1970 Un mois avant sa disparition http://youtu.be/C8cq31UOTPc De l'autre côté du miroir avec Annie cordy http://youtu.be/ifWCyhBkAlk La bonne planque Bourvil au théâtre http://youtu.be/9CwP_5ziEn4 Dernier interview http://youtu.be/4A6Wce5YiSw L'eau ferrugineuse http://youtu.be/vpWMAQ2BVcc Le dernier jour de tournage du cercle rouge http://youtu.be/I3H3vtzJbK4 La route fleurie Bourvil est Raphaël http://youtu.be/oHhPUNEArhI C'est la vie de Bohème http://youtu.be/l4v4abYRZaQ Avec Louis de Funès la pêche http://youtu.be/DEmpMsUQeyI Le mur de l'Atlantique bande annonce http://youtu.be/cD2qcN3R5hA Bourvil/de Funès http://youtu.be/fYWGzUZcIr0 La traversée de Paris http://youtu.be/7uuv8siquoA Scène du Corniaud http://youtu.be/m-2thDZpjEo La grande Vadrouille annonce
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Posté le : 25/07/2014 19:10
Edité par Loriane sur 26-07-2014 23:14:35 Edité par Loriane sur 27-07-2014 11:25:03 Edité par Loriane sur 27-07-2014 15:11:35
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Re: Défi du 19 juillet 2014 |
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Plume d'Or ![](http://www.loree-des-reves.com/uploads/ranks/rank4f0d66ab2dd10.gif)
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Voyage
Cet été je vais aller M'allonger sur les galets D'une plage désolée Où mon âme s'est noyée.
J'admirerai l'horizon Posant la même question Et réponse toujours vague Qui repose au fond des vagues.
Qu'as-tu fait sage Ninon ? Je t'avais promis naguère Au moment de notre union
Que je reviendrai du front Lorsque finirai la guerre. Est-ce ce trou à mon front ?
Posté le : 25/07/2014 17:55
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Re: Défi du 19 juillet 2014 |
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Inscrit: 30/05/2013 12:47
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Cher Bacchus, le corse serait il coquin???
Ce dont on est certain, c’est que la qualité de ta plume n'a d'égale que ta faculté à nous conter des histoires qui me ravissent au plus point , à telle enseigne que je reste constamment à l'affut de tes prochains écrits, en délaissant les : MARC LEVY, GUILLAUME MUSSO, et autre MICHEL HOUELLEBECQ …..!!!
Mais, n'en fais je pas un peu trop, mon très cher Bacchus???
Dis moi, Je profite de cet écrit pour te demander un petit service :puisque tu ne sers plus de la lampe, peut tu me la faire passer, j’ai soudainement des envies de camping !!!!
En attendant l'envoi, Amitiés de Touraine Bacchus
Posté le : 25/07/2014 17:50
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Le bonheur est une chose qui se double,..…..si on le partage …
Titi
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Re: Défi du 19 juillet 2014 |
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Salut Donaldo. Je reconnais que je n'ai guère été présent sur le site, ces derniers temps Pas trop de ma faute, hélas. Ah, si cet élixir existait ! J'obtenais un résultat qui s'en approchait un peu, avec le calvados ; mais il manquait un petit quelque chose qui me faisait toujours rater la fin. Amicalement Bacchus
Posté le : 25/07/2014 16:54
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Re: Défi du 19 juillet 2014 |
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De Corse
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Ah Kjtiti ! Fasse le ciel que ce ne soit qu'un mauvais rêve et que de telles associations n'existent pas ! Cela me donne une forme d'urticaire. Et je me gratte beaucoup, en ce moment .
Amitiés Bacchus
Posté le : 25/07/2014 16:44
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