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Re: Défi du 30/08/2014
Modérateur
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Je découvre là un de tes fantasmes Arielle. Un gars athlétique en bas collants moulants et tu fonds... J'ai remarqué que tu adores mettre tes héros dans des situations où ils ne sont pas tout à fait à leur place.
La police t'envoie la facture pour les réparations de leur voiture...

merci pour ta participation qui m'a projetée dans ma très petite enfance.

Couscous

Posté le : 05/09/2014 18:52
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Re: Défi du 30/08/2014
Plume d'Or
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Arielle,
Tu avais fumé la moquette et de la bien épaisse le jour où tu as pondue cette histoire. J'ai bien failli croire que tu allais nous le déniaiser, le Thierry la Fronde mais heureusement pour la bienséance tu as préféré en rester là. Quoique, je reste persuadé que tu ne nous as pas tout dit.
A quand la version longue et non coupée par la production ?
Donald

Posté le : 05/09/2014 17:47
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Re: Défi du 30/08/2014
Plume d'Or
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C'est la poupée qui dit nan !

Posté le : 05/09/2014 17:19
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Re: Défi du 30/08/2014
Plume d'Or
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Salut Arielle,
J'ai corrigé le texte et remis le 'i' à la place du 'o'. Cependant, tu a raison, ce n'est pas le héros de Crime et Châtiment qui m'aurait marqué et quitte à apprécier un héros de Dostoievski autant que ce soit un des frères Karamazov (je te laisse deviner lequel, sœur Arielle).
Bon, je m'en vais lire ta version.
Bises
Donald.
PS: Savais tu que Oui-Oui avait pris un râteau avec Nan-Nan ?
http://donaldghautier.over-blog.com/2 ... ui-rencontre-nan-nan.html

Posté le : 05/09/2014 14:31
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Re: Les erreurs rigolottes du cinéma
Plume d'Argent
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Il existe une émission qui traque ce genres de petits défauts rigolos des films. Elle s'appelle Faux Raccord, c'est assez amusant de voir que, parfois dans un film sur l'antiquité, un avion passe, ou un micro se mêle à la foule... (ex : Troie lorsqu'Achille/Brad Pitt tranche la tête de la statue du dieu Apollon, un avion passe.)

Posté le : 05/09/2014 10:37
_________________
Les rêves se manifestes lorsqu'on est inconscient, alors la mort serait-elle un rêve infini ?
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Re: Défi du 30/08/2014
Plume d'Or
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Quand j'ai vu le nom de Raskolnokov, j'avoue que j'ai eu un peu peur, mais le changement de "i" en "o", m'a fait penser que ce n'était pas lui qui t'avait le plus marqué Donald. Par contre je n'aurais jamais pensé à Oui Oui ! Toi un grand gars sérieux, admirateur de Oui Oui !!! Je dois avouer que c'est un très bon choix pour l'ONU, j'espère que tu leur en as touché un mot.

Couscous et Martine c'est une évidence. Heureusement qu'elle est venue te voir parce que je ne m'étais pas rendue compte que tous ses loisirs étaient aussi onéreux. Je la pensais plus raisonnable, on se trompe parfois sur les gens...

Vous m'avez fait bien rire tous les deux.

Posté le : 05/09/2014 10:14
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Re: Les expressions
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« As de pique »


Personne à l'apparence bizarre ou mal habillée...


On dit d'ailleurs principalement de quelqu'un qu'il est "habillé ou attifé, fringué, ficelé... comme l'as de pique".
Allez donc vite chercher un jeu de cartes, sortez-en l'as de pique et regardez sa tenue vestimentaire !
Contrairement aux figures comme le valet, la reine et le roi, ne contient au milieu que son signe, donc ici un gros pique.
Alors pourquoi cette expression ?

Malheureusement, on ne le sait pas réellement !
Au XVIIe siècle, elle était très péjorative car elle désignait un personnage stupide, ridicule ou mal bâti, utilisée entre autres par Molière, mais sans qu'on sache vraiment pourquoi c'est l'as de pique qui a été retenu pour cette désignation.
Au XIXe siècle, la ressemblance approximative du pique à un croupion de poulet a provoqué la naissance de l'argot as de pique pour désigner l'anus. Quelqu'un qui se faisait alors traiter d'as de pique était donc simplement un "trou du cul".

Aujourd'hui, on utilise cette expression surtout en rapport avec l'habillement, pour quelqu'un qui manque de goût, sans qu'on sache vraiment ce qui motive cette comparaison, ni qu'on sache qui, du jugé ou du juge, s'habille vraiment avec mauvais goût...

Littré donne aussi la signification "mauvaise langue".
Cela viendrait de la contraction de as de pique en 'aspic', serpent qui est forcément une mauvaise langue, mais apparemment, d'après Alain Rey, sans qu'aucun texte ne vienne réellement étayer cette interprétation.

Pour en revenir à l'expression argotique, il est étonnant de voir que, après l'invasion de l'Irak, dans le jeu de cartes qu'avaient créé les Américains avec les têtes de tous les Irakiens recherchés, l'as de pique était Saddam Hussein.

Posté le : 05/09/2014 10:05
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Re: Défi du 30/08/2014
Plume d'Or
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Il pleut, on est dimanche, je me cale sur mon canapé. Télécommande en main, je décide de visionner quelques épisodes de Thierry la Fronde. C’est une série que je regardais quand j’étais toute petite, avant même d’aller à l’école. Thierry était beau, courageux et gentil. A l’époque, je pensais qu’un jour je me marierais avec lui. Ca ne faisait aucun doute !

Voici l’histoire : nous sommes en 1360, Jean II Roi de France a été fait prisonnier par les Anglais. Le Prince de Galles, Edward, occupe notre beau pays. Thierry de Janville décide de combattre les envahisseurs, mais il est trahit par Florent de Clouseaules, et fait prisonnier. Il s’évade, et continue son combat, accompagné par des gentils hors la loi : Bertrand, Jehan, Pierre, Judas, Martin, Bousicault et Isabelle. Son arme favorite est la fronde, avec laquelle il est très habile.

Le premier épisode commence avec la musique qui me remet aussitôt un demi-siècle en arrière.
http://www.dailymotion.com/video/x7cka_thierry-la-fronde_music
Ça parait à peine croyable ! Je regarde les premières images, et j’ai trois ans à nouveau !

Mon héros est poursuivi par les vilains Anglais, il ne sait plus où se cacher.
Tout à coup, le beau Thierry s’arrête.
- Attention tu vas te faire attraper !
Je crie comme quand j’assistais aux spectacles de marionnettes à la maternelle.
Il regarde en haut, en bas, sur les côtés. Il semble me fixer. Comme il est beau ! Il s’approche, enjambe l’écran et se retrouve dans mon salon !

- Vite, où puis-je me cacher ?

J’éteins la télévision.

- Ne t’inquiète pas Thierry, tes poursuivants ont disparu.

Il court dans l’entrée et monte les escaliers quatre à quatre. Je pars à sa suite, et je le rattrape, juste avant qu’il ne saute par la fenêtre de la salle de bain. La dame de la maison d’à côté est à sa fenêtre. Elle regarde ce beau jeune homme en collant moulant et tunique verte, et moi qui lui dis :

- Non, je t’en prie Thierry, ne saute pas !
Elle secoue la tête et referme son rideau. Elle doit se dire que sa voisine divorcée a un nouvel amant qui veut se suicider pour ses beaux yeux. Je passe sur la tenue du bellâtre, encore une perversité… Bonjour la réputation !

- Thierry, descends, s’il te plaît, tout le monde nous regarde !

Le pauvre garçon semble perdu, il vient d’apercevoir les voitures garées dans la rue.

- Qu’est-ce que c’est que ces drôles de charrettes ?

Il fronce les sourcils et s’écrie :

- Ce sont des Anglais !

Il ajuste sa fronde et balance un caillou dans la vitre de la Mercedes de Johnny, le dealer du bas de la rue.

- Bien joué ! Quel idiot ! Tu n’es pas assuré en plus ! Johnny va être furieux.

- Je suis très assuré au contraire ! Johnny doit retourner au Royaume d’Angleterre. Je ne les laisserai pas envahir la France !

Bien sûr… On est mal partis, comment lui expliquer ?

- La guerre est finie Thierry, les Anglais sont repartis chez eux, ce sont nos amis maintenant. Et Johnny n’est pas anglais, tu lui as cassé sa voiture, il faut te calmer maintenant. Il n’y a pas de danger, d’accord ?
Par où commencer ?

- Tu as fait un bond dans le temps, tu es passé du 14ème au 21ème siècle, tu comprends ? Je ne sais pas comment c’est possible, mais regarde autour de toi, rien n’est pareil qu’à ton époque.

Thierry voit bien que quelque chose ne va pas. Il regarde la route goudronnée, les réverbères, les drôles de maisons, ce qui meuble ma salle de bain. Il a l’air sonné. Nous redescendons et je lui montre la télévision.

- Je vais l’allumer et tu vas mieux comprendre.

La série réapparaît à l’écran, Thierry voit ses compagnons courir dans les bois et se cacher dans les arbres. Il est encore plus beau qu’à la télévision. Il a des cheveux très noirs, une peau parfaite et un sourire, un sourire ! Hum, il sourit parce qu’il a vu la belle et jeune Isabelle, je ne suis qu’un vieux tromblon pour lui. C’est le monde à l’envers décidément ! N’oublions pas que ce cher Thierry a quand même pas loin de sept cents ans ! En même temps, je me dis qu’au 14ème siècle, à trente ans, on était un vieillard, avec les dents pourries et une espérance de vie à cinq ans. En réalité, il doit penser que j’ai vingt-cinq ans ! Je me redresse, un peu ragaillardie.

- Ecoute Thierry, si tu dois rester ici quelques temps, il va falloir changer de vêtements.

Son collant moulant est très seyant, mais pour sortir, ça va être un peu voyant. Il se lève. Il a les fesses musclées juste ce qu’il faut, il est trop craquant.

- Viens avec moi, on va bien trouver des fringues dans l’armoire de mon fils.

Je lui sors un jean slim, et un tee-shirt blanc. Il est sublime !

- Où se trouve le château ?


- Quel château ?

- Le château de ton seigneur ! Cette maison est étrange, mais je serais curieux de voir la forteresse.

Il n’a pas été long à voir que j’étais une manante. Je lui montre une photographie de l’hôtel de ville, en lui disant que nous avons choisi notre seigneur, et que nous ne travaillons pas pour lui, c’est lui qui travaille pour nous.

- Quelle drôle de peinture, dit-il en caressant la photo. Votre seigneur travaille pour vous ? C’est impossible ! Tu veux dire qu’il vous protège.


- Non, c’est la police qui nous protège. Nous payons des impôts, il touche une indemnité, de l’argent, et décide des travaux qui vont être faits dans notre ville.

- Tu veux dire que votre seigneur est pauvre ?

- Euh non, on le paye décemment tu sais !

- Mais vous êtes riches ?

Il regarde l’intérieur de ma maison bizarre. Ce décor n’est pas celui qu’il espèrerait d’une maison riche.

- Non plus. On travaille, et on paye des impôts, c’est tout.

Une sonnerie le fait sursauter, il se lève et regarde de tous côtés, prêt à utiliser sa fronde. J’ai reçu un sms…

- Tiens Josy m’invite à un barbecue samedi, son mari est anglais, mais il est très gentil, rassure toi !

Le pauvre Thierry est incrédule.

- Où est ton mari ?

- Il m’a quitté il y a longtemps déjà.

Il regarde par la fenêtre.

- Où sont tes légumes ? Tu as des champs, des chèvres, une vache ?

Je souris.

- Quelques framboises dans le jardin, et j’ai préféré prendre un chat comme animal de compagnie.

- Ce monde est très étrange, je vois que les Anglais sont repartis chez eux, et ça me rassure, mais je n’aime pas ton monde, il sent mauvais. Tes vêtements ne sont pas confortables, et j’ai envie de courir dans les bois. Comment faire pour retourner dans le passé ?

Mystère et boule de gomme mon petit chéri !

- On va essayer quelque chose.

Je l’approche de la télévision qui est restée allumée. Ses amis sont dans une espèce de taverne, en train de boire et de manger.

- Essaie de toucher l’écran pour voir. Si ça marche dans un sens, ça doit marcher dans l’autre.

Thierry s’approche, Isabelle lui sourit, il repasse à travers le poste de télévision. Il ne me reste que sa tunique et son joli collant !



http://www.dailymotion.com/video/xyam ... pagnons-de-thierry_webcam

Posté le : 05/09/2014 10:04
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Re: Moi c'est...
Guest_
Merci à vous pour cet accueil chaleureux. Moi aussi, je suis ravie de faire partie de votre communauté.


Posté le : 04/09/2014 14:11
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Re: Les expressions
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« Avoir l'estomac dans les talons »


Avoir très faim.


Il suffit de manger du steack de cheval pour avoir l'étalon dans l'estomac.
Mais qu'en est-il de l'inverse ?

Eh bien malheureusement, voilà encore une expression à propos de laquelle les lexicographes modernes sont revenus bredouilles.
Elle est citée par Joris-Karl Huysmans en 1884 dans "A rebours" mais son origine reste aussi obscure que le mauvais côté de la Force.

Elle se disait aussi autrefois "avoir l'estomac aux talons".
Et il en existait également une version en argot attestée par Gaston Esnault en 1898 : "Avoir l'estom dans les gadins" les 'gadins' étaient les souliers à cette époque, signification argotique aujourd'hui oubliée, puisque le mot 'gadin' signifie maintenant 'chapeau', mais surtout 'chute'.

Que l'estomac devienne le centre de nos préoccupations lorsqu'on a très faim, c'est compréhensible. Mais pourquoi est-il supposé descendre jusqu'aux talons ou donner l'impression de s'étendre jusqu'aux pieds ? Apparemment, cela reste une énigme.

Posté le : 04/09/2014 12:46
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Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
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