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Re: Devinettes
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Qui suis-je ?

Posté le : 14/10/2014 19:43
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Re: Les expressions
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« Rire comme une baleine »


Rire très fort, sans retenue, à gorge déployée.


En général, lorsqu'elle se trouve à côté d'un baleinier japonais, islandais ou norvégien, une baleine n'est pas vraiment d'humeur à rire, à supposer qu'elle soit encore en vie.
Mais même loin d'un tel navire, est-ce qu'une baleine rit ?
On sait qu'il existe au moins une vache qui rit , mais la question reste posée pour la baleine.

On imagine bien que, si elle rit vraiment et lorsqu'elle le fait, les secousses d'une baleine font forcément plus de vagues qu'une vache qui rit.
Alors, en l'absence de toute étude scientifique avancée sur le rire de la baleine, pourquoi cette expression ?

Quand quelqu'un rit comme une baleine, il le fait en ouvrant très grand la bouche
Or, à quelle bouche immense pourrait faire penser celle de cette personne qui se marre comme un bossu ? Certainement pas à celle d'une petite bestiole comme une mite, un termite ou un bernard-l'ermite.
Non, ceux qui ont imaginé cette expression ont logiquement ? pensé à la gueule béante du plus grand de nos mammifères, la baleine , cétacé pouvant atteindre 30 mètres de long, avec une bouche en proportion.
Cette expression a une autre forme qui est "se tordre comme une baleine". Certains évoquent alors la torsion d'une baleine de parapluie pour justifier l'expression.
Mais quel pourrait bien être le lien entre cette baleine-là et le rire ?

Posté le : 14/10/2014 12:24
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Re: Les expressions
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« Avoir un nom à coucher dehors »


Avoir un nom très difficile à prononcer et/ou à retenir.


Aujourd'hui, que vous vous appeliez Andreszjw Kraszwieskichigawa ou Hildegarde von Geschwätzschwarzwaldzahnartz, on vous accepte à l'hôtel sans aucune difficulté.

Mais autrefois, au Moyen Âge et bien après, en ces temps reculés où les sirènes des patrouilles de police ne résonnaient pas encore, où il était impossible de mettre deux litres de super dans sa mobylette et où les brigands troussaient la gueuse et détroussaient le gueux, les aubergistes étaient d'un naturel extrêmement méfiant.

Une fois la nuit tombée, pour se faire admettre dans une auberge, il fallait montrer patte blanche, c'est-à-dire d'abord énoncer son patronyme. Et celui qui n'avait pas un nom très 'chrétien' avait de fortes chances de se voir éconduire et de devoir passer son chemin ou coucher à l'écurie.
Ensuite, une fois admis, la tenue vestimentaire et la noblesse du nom avaient leur importance pour l'affectation des plus belles ou plus inconfortables chambres

Quand on sait que les auberges étaient nettement moins répandues que les hôtels ou motels aujourd'hui et qu'il y avait de très faibles probabilités de pouvoir se faire prendre en stop pour tenter de se faire accepter au suivant, celui ayant un nom à coucher dehors avait intérêt à avoir de quoi bien se couvrir pour passer la nuit.


Il existe la variante "un nom à coucher dehors avec un billet de logement", le billet de logement étant, pendant la guerre, un mode de réquisition imposant à un habitant de loger le soldat porteur du document et frappant à sa porte.

Mais il semble que ce complément ait été rajouté par la suite à l'expression déjà existante.
D'autre part, le billet de logement étant une forme de réquisition, l'hôte désigné volontaire n'avait pas à demander le nom de son 'invité' ni à se soustraire à l'obligation qui lui était faite d'héberger le porteur du billet.

Posté le : 13/10/2014 19:57
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Re: Les plus beaux sites abandonnés du monde
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Vraiment extraordinaire. Quel gâchis !!

Posté le : 13/10/2014 16:12
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Re: Les plus beaux sites abandonnés du monde
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La gare centrale du Michigan, Detroit, Etats-Unis






Cliquez pour afficher l







Construite entre 1912 et 1913 pour la ville de Detroit, cette gare était à l'époque la plus haute du monde. Fermée en 1988, plusieurs projets de restauration ont échoué jusqu'ici.

Posté le : 13/10/2014 00:25
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Re: Défi du 11/10/2014
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Salut Kjtiti,
Eh bien, tu m'as surpris avec ce poème.
Je suis content de te revoir dans ces défis; je trouve que c'est un excellent moyen de se dépasser.
En plus, faire rimer Christine Boutin et os dans le boudin, cela ne pouvait que me plaire.
A bientôt mon cher poète.
Donald
PS: Tu as assuré.

Posté le : 12/10/2014 22:08
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Re: Défi du 11/10/2014
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Cher Kjtiti,

N'aurais-tu pas vidé quelques bonnes bouteilles afin d'y trouver l'inspiration au fond ?

Ton avenir devait être tout tracé mais le destin en a décidé autrement. Pour choisir le chef, vous n'avez qu'à tirer à la courte paille. N'y vois rien de grivois bien sûr !

Merci pour ton retour dans nos défis.

à bientôt pour de nouvelles folies littéraires.

Bises

Couscous

Posté le : 12/10/2014 17:31
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Re: Défi du 11/10/2014
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Quand, le père posait, en rentrant du turbin
Le salaire du mois, sur la table commune.
Maman était heureuse, de la dive fortune
Qui sera épuisée,…….. le 15 du mois prochain.

Nous affichions, dés lors, pour notre géniteur
Des yeux admiratifs, pour le père argentier
Qui grâce à son boulot, à son noble métier
Mettait dans les patates, une noisette de beurre.

Et Maman pardonnait, quand le soir un peu tard
Papa, un peu hagard, revenant du bistro,
Gueulait jusqu'à plus soif( ?) : alors là, ça en trop
La table n’est pas mise, et sort donc le pinard.

C’était la belle époque, chacun avait sa place
Les femmes à la maison, s’occupant des moutards
Du ménage, des courses, la couture, les devoirs,
La cuisine, c’était tout, pas de quoi être lasse.

Le chef de la famille, respectueux des coutumes
Jamais ne s’occupait des taches ménagères,
Il aimait trop sa femme pour privait sa bergère
De l’ouvrage quotidien, qu’elle adore, je présume.

Mon devenir, dés lors, fut comme une évidence :
Chef de famille, voila, tel sera mon futur,
Seul, puisqu’étant le chef, conduirais la voiture,
Ma femme se pâmant, devant ma grande aisance.

Mais en 2014, l’amour, j’ai rencontré
Le vrai, celui qui dure et fait fondre le cœur
Dés le premier instant, Cupidon fut vainqueur
La passion,par sa flèche, m'avait pénétré

Aussi, me direz-vous, pas d’os dans le boudin
Tu peux en tant que mâle imposer ton dictat
Pourtant j’ai un problème, (elle) ,il, s’appelle Jacques,
Aussi vais-je appeler ce jour, Christine Boutin……. !!

Par avance, mes excuses à toutes les femmes délicieuses et talentueuses de L’Orée, ceci n’est qu’un mauvais poème, dont je ne pense pas le traitre mot…..

Ce que je pense est encore pire !!!!

Milles baisers de Touraine à vous toutes ORésiennes, pour cet écrit machiste et rétrograde qui mériterait de na pas paraître.

PS pour Donaldo:j'ai fais ce j'ai pu


Posté le : 12/10/2014 16:25
_________________

Le bonheur est une chose qui se double,..…..si on le partage …

Titi
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Re: Défi du 11/10/2014
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Excellent !
Le plus drôle, c'est que des gars comme Canard Boiteux, j'en croise tous les jours et ce sont des grands chefs à plumes dans leur boite mais des toutous dans leur tipi.
Je sens que ce défi va inspirer les esprits de la tribu orienne.
Bravo, Couscous.
Ugh !
Donald le cow-boy.

Posté le : 12/10/2014 16:24
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Re: Défi du 11/10/2014
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La guerre des chefs

Je m’appelle Canard Boiteux. Vous trouvez cela étrange comme prénom ? C’est pourtant courant chez nous, les indiens. Vous connaissez sûrement les plus célèbres d’entre nous comme Sitting Bull ou Little Horse. Lorsque je suis né, mes parents ont tout de suite été étonnés par la grandeur de mes panards et mon patronyme me fut attribué.
À l’âge adulte, il a fallu choisir une épouse. Tout cela s’est fait lors d’une cérémonie organisée avec tous les jeunes gens du village, prêts à se mettre en couple. Après de longues agapes, des danses endiablées autour du feu, il nous a fallu choisir. J’avoue avoir un peu abusé du blé fermenté et du calumet fourré aux longues feuilles venant du sud. J’ai jeté mon dévolu sur la première qui m’a souri, avant d’aller faire plus ample connaissance sous la chaude couverture en peau de bison. Le lendemain matin, je me suis réveillé avec un mal de crâne et une épouse. Le premier allait rapidement se dissiper mais pas la seconde.
« Bonjour, moi c’est Canard Boiteux.
– Je le sais !
– Cela se voit tant que cela ?
– Non, tu me l’as dit hier soir lors des présentations.
– Je n’étais pas trop dans mon assiette. Comment te nommes-tu ?
– Louve Grincheuse.
– Ah ! Enchanté !
– Bon, va chasser, j’ai faim.
– Mais moi j’aimerais qu’on apprenne un peu plus à se connaître. Viens près de moi, je vais te réchauffer.
– Non ! Tu as eu ta chance hier soir mais tu as préféré ronfler ! Va et ramène de quoi mettre au-dessus du feu.
– Femme ! Tu n’as pas d’ordre à me donner. Je suis l’homme ici et c’est moi le chef. »

Elle me regarde avec des yeux écarquillés avant de mettre à rire bruyamment. Lorsque son corps cesse d’être secoué par des soubresauts joyeux, elle reprend son souffle pour me dire :

« Toi, un chef ? Parviens déjà à mettre un pied devant l’autre sans tomber pour aller me chercher de la viande et on en reparle !
– Allume le feu. Je reviens très vite. »

Vexé, je me rends dans la forêt toute proche, muni de mon arc. Après une longue traque, trois flèches dans des troncs d’arbres et deux autres dans des buissons, je jette l’éponge. Afin de ne pas rentrer bredouille, je cueille quelques champignons. Je passe l’entrée de ma tente et tends ma récolte à mon épouse.

« C’est tout ? me lance-t-elle.
– Je suis encore fatigué de notre soirée d’hier.
– Je savais que je ne pouvais pas compter sur toi. Heureusement que mes pièges sont efficaces. »

Je constate amèrement qu’un beau lièvre dore au-dessus du feu. Elle jette un œil à mes champignons avant de les jeter dans le brasier.

« Mais, que fais-tu ?
– Tu veux déjà m’empoisonner ?
– Non… je…
– C’est bon. Pose tes fesses là, Monsieur le chef de famille. »

Et ce ne fut que le début d’une longue série de déceptions. Elle était décidément meilleure que moi en tout. Dans notre couple, elle portait la culotte en croûte de cuir. Je suis devenu la risée de mes amis.

Un jour, notre chef, Grand Cerf Volant, nous annonce qu’il veut passer le flambeau. Il faut donc sélectionner un nouveau leader. Il demande alors qui se porte volontaire. Après une longue hésitation, je lève la main, ce qui génère des petits rires parmi mes concurrents. Nous sommes donc quatre en lice pour hériter du grand chapeau à plumes et la responsabilité du village. Pour cela, il nous faut passer quatre épreuves. Je dois prouver à tous, et surtout à ma femme, que j’ai l’étoffe d’un chef.

La première épreuve consiste à ramener au village la plus belle prise à la chasse. En pleine nuit, je me faufile vers le village voisin. Après une longue tractation avec Sanglier Sauvage, il accepte de me céder un de ses caribous. Le lendemain, je m’engage dans la forêt en même temps que les trois autres. Pendant qu’ils partent plus loin, j’en profite pour aller dénicher ma proie dans sa cachette afin de la ramener triomphalement autour de mon cou.

La seconde doit évaluer notre capacité à invoquer les esprits. Pendant la nuit, je tire quelques cheveux de la longue tignasse de ma dulcinée. Je les accroche à une couverture grâce à une aiguille en os de chien. Au lever du jour, nous sommes tous invités dans la tente centrale. Un grand feu brûle en plein milieu. Nous sommes recouverts de peinture rouge et les incantations commencent. Je dépose la couverture que je porte sur le dos juste devant moi. Tout en faisant courir mes mains sur l'étoffe, je cherche discrètement les poils de crinière de ma louve. Les saisissant entre mes doigts, je commence à faire bouger lentement la couverture. J'entends le chef s'écrier : « Regardez ! Les esprits de nos ancêtres sont parmi nous. ». Je continue mon cinéma quelques minutes jusqu'à ce que les fils invisibles cèdent. Je fais alors mine d'une sortie de transe laborieuse.

La troisième épreuve est la lutte. Ma carrure étant largement inférieure à celle de mes concurrents, il faut que je me creuse les méninges. Une promenade en forêt m'apporte la solution. Au matin, je me retrouve face à Gros Minet. Malgré son patronyme bien sympathique, c'est un coriace. Mais une poignée d'herbe à chat relevée d'épices me permet de lui faire perdre ses moyens et de prendre le dessus. Par contre, face à Bison Fumant, c'est une autre histoire. Il parvient à me porter un mauvais coup au visage. Mais lorsqu'il se met à tenter de m'étrangler, je sors mon arme secrète. Ma main droite part chercher dans mon pantalon un peu de déjections de moufette que je lui colle sous le nez. Écœuré, il recule pour vomir. Je n'ai plus qu'à lui faire une clé de bras musclée pour obtenir son abandon.

Vient le dernier test, celui de la bravoure. Toute la journée, un feu nourri a brulé. Le soir, les braises sont étalées sur plusieurs mètres. Nous sommes invités à les traverser, pieds nus. Les autres le font en courant et en grimaçant, tandis que ma traversée s'apparente à une promenade, sourire aux lèvres.

Au terme de cette dernière épreuve, le chef réunit la tribu. J'ai juste le temps de me débarrasser discrètement de l'écorce collée sous la plante de mes pieds. Après une longue méditation, Grand Cerf Volant retire sa coiffe imposante et vient la déposer sur mon crâne. Je n'en reviens pas. Enfin la reconnaissance de mes pairs et avec la bénédiction des esprits de nos ancêtres en prime !

Fier de ma promotion, je m'empresse de fuir les mondanités pour pénétrer dans ma tente en annonçant triomphalement :

« Incline-toi devant le nouveau chef du village ! »

Ma femme me dévisage et me lance nonchalamment :

« Retire tes mocassins pleins de boue. C'est toujours moi le chef ici !
– Oui Mamour. »

Posté le : 12/10/2014 13:48
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Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
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Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
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A bord de ce cahier volant
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A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
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Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
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A bord de ce cahier volant
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